Index: head/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/bsdinstall/chapter.xml =================================================================== --- head/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/bsdinstall/chapter.xml (revision 53085) +++ head/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/bsdinstall/chapter.xml (revision 53086) @@ -1,3240 +1,3246 @@ Installer &os; 9.<replaceable>X</replaceable> et versions suivantes Jim Mock Restructuré, réorganisé, et en partie réécrit par - + Gavin Atkinson Mis à jour pour bsdinstall par Warren Block Allan Jude Mis à jour pour le système de fichiers racine sur ZFS par &trans.a.fonvieille; Synopsis installation - &os; est fourni avec un programme d'installation en mode - texte facile d'emploi. &os; 9.0-RELEASE et les versions - suivantes utilisent un programme d'installation appelé - bsdinstall, alors que les versions - précédentes à &os; 9.0-RELEASE emploient - sysinstall pour l'installation. Ce - chapitre décrit l'utilisation de + A partir de &os; 9.0-RELEASE, &os; est fourni avec un programme d'installation en mode + texte facile d'emploi appelé + bsdinstall + chapitre décrit comment installer &os; en utilisant bsdinstall. Après la lecture de ce chapitre, vous connaîtrez: Comment créer un support d'installation de &os;. - + Comment &os; subdivise et accède aux disques durs. Comment lancer bsdinstall. Les questions que bsdinstall posera, ce qu'elles signifient, et comment y répondre. Avant de lire ce chapitre, vous devrez: Lire la liste du matériel supporté fournie avec la version de &os; qui va être installée, et vérifier que le matériel du système est supporté. Par défaut, ces instructions d'installation sont écrites pour l'architecture &i386; (compatible PC). Où elles seront applicables, les instructions spécifiques à d'autres plateformes seront indiquées. Vous pourrez constater des différences mineures entre le programme d'installation et ce qui est montré ici, il est donc suggéré d'utiliser ce chapitre comme un guide général plutôt comme un manuel d'installation à suivre à la ligne près. - Matériel nécessaire + Configuration matérielle minimale - - Configuration minimale + La configuration minimale pour installer &os; varie avec + l'architecture matérielle concernée. Les architectures + matérielles et les périphériques supportés par une version de + &os; sont listés sur la page d'Information sur les + versions de &os;. La page de Téléchargement de &os; + donne également des recommandations pour le choix de l'image + correcte pour les différentes architectures/ - La configuration minimale pour installer &os; varie avec - la version de &os; et l'architecture matérielle - concernée. + Une installation de &os; nécessite un minimum de 96 Mo + de RAM et 1.5 Go d'espace libre sur le + disque dur. Néanmoins, des quantités aussi faibles de mémoire + et d'espace disque ne sont réellement utilisables que pour des + applications particulières comme les applications embarquées. + Un ordinateur d'usage général aura besoin de plus de ressources. + 2-4 Go de RAM et au moins 8 Go d'espace disque sont un + bon point de départ. - Des informations sur cette configuration sont données dans - les sections suivantes. En fonction de la méthode - choisie pour installer &os;, un lecteur de - CD supporté, et dans certains cas, une - carte réseau peuvent être nécessaires. - Cela sera abordé dans la . + Voici les contraintes sur les processeurs pour chaque + architecture: - - Architecture &os;/&arch.i386; + + + &arch.amd64; + + C'est le type de processeur pour ordinateur de bureau + et portable le plus courant, utilisé dans les systèmes + modernes. &intel; l'appelle Intel64. + D'autres fabricants l'appelle parfois + x86-64. - &os;/&arch.i386; nécessite un processeur 486 ou plus - performant et au moins 64 Mo de RAM. - Au moins un 1.1 Go d'espace libre sur le disque dur est - nécessaire pour l'installation la plus réduite. + Des exemples de processeurs compatibles &arch.amd64; + comprennent: les &amd.athlon;64, &amd.opteron;, + &intel; &xeon; multi-coeurs, + &intel; &core; 2 et processeurs suivants. + + - - Sur d'anciens ordinateurs, augmenter la - RAM et l'espace disque est en général - plus efficace dans l'amélioration des performances que - l'installation d'un processeur plus rapide. - - + + &arch.i386; + + Les ordinateurs de bureau et portables plus anciens + utilisent souvent cette architecture x86 32bits. - - Architecture &os;/&arch.amd64; + Presque tous les processeurs compatibles i386 avec une + unité de calcul en virgule flottante sont supportés. Tous + les processeurs &intel; 486 ou supérieurs sont + supportés. - Il existe deux classes de processeurs en mesure - d'utiliser &os;/&arch.amd64;. La première est - composée des processeurs AMD64, comprenant les processeurs - &amd.athlon;64, &amd.athlon;64-FX, &amd.opteron; et - suivants. + &os; utilisera le support de l'extension d'adresse + physique (Physical Address Extensions ou + PAE) sur les CPUs + avec cette fonctionnalité. Un noyau avec la + fonctionnalité PAE activée détectera la + mémoire au-desus de 4 Go et permettra son utilisation + par le système. Néamoins, utiliser PAE + ajoutera des contraintes aux pilotes de périphériques et à + d'autres fonctionnalités de &os;. Consulter &man.pae.4; + pour plus de détails. + + - La seconde classe de processeurs pouvant utiliser - &os;/&arch.amd64; comprend les processeurs basés sur - l'architecture &intel; EM64T. Comme par exemple, les - familles de processeurs &intel; &core; 2 Duo, - Quad, et Extreme, la série des processeurs - &intel; &xeon; 3000, 5000, et 7000, les processeurs - &intel; &xeon; E3, E5 et E7, ainsi que les - processeurs &intel; &core; i3, i5 et i7. + + ia64 + + Les processeurs actuellement supportés sont + l'&itanium; et l'&itanium; 2. Les chipsets supportés + comprennent l'HP zx1, l'&intel; 460GX, et l'&intel; E8870. + Les configurations mono-processeur (UP) + et multi-processeurs (SMP) sont + supportées. + + - Si le système est basé sur le circuit nVidia - nForce3 Pro-150, l'option IO - APIC doit être - désactivée dans le BIOS. Si l'option - n'existe pas dans le BIOS, désactiver à - la place l'ACPI. - + + &arch.powerpc; + + Tous les systèmes &apple; &mac; utilisant une + ROM New World avec + l'USB intégré sont supportés. Le + fonctionnement SMP (multi-processeurs) + est supporté sur les machines dotées de plusieurs + CPUs. - - Architecture &os;/&arch.powerpc; &apple; - &macintosh; + Un noyau 32bits ne peut utiliser que les 2 premiers Go + de RAM. + + - Tous les systèmes &apple; &macintosh; de type New - World avec l'USB intégré sont - supportés. Un fonctionnement multi-processeurs est supporté - sur les machines dotées de plusieurs processeurs. + + &arch.sparc64; + + Les systèmes supportés par &os;/&arch.sparc64; sont + listés sur la page du Projet + FreeBSD/sparc64. - Un noyau 32bits ne peut utiliser que les 2 premiers Go - de RAM. Le &firewire; n'est supporté que - sur les PowerMac bleu et blanc. - - - - Architecture &os;/&arch.sparc64; - - Les systèmes supportés par &os;/&arch.sparc64; sont - listés sur la page du projet FreeBSD/sparc64 http://www.freebsd.org/platforms/sparc.htm. - - Un disque dur dédié sera nécessaire pour - &os;/&arch.sparc64;. Il n'est pas, pour l'instant, possible - de partager un disque dur avec un autre système - d'exploitation. - - - - - Matériel supporté - - Le matériel et les architectures supportés par une version - de &os; sont listés dans la liste de compatibilité matérielle. - Généralement nommé HARDWARE.TXT, ce - document peut être trouvé sur la racine du support - d'installation. La liste du matériel supporté peut également - être trouvée sur la page du site Web de &os; à propos des - informations sur les versions de &os; (http://www.FreeBSD.org/releases/index.html). - + Le SMP est supporté sur tous les + systèmes possédant plus d'un processeur. Un disque dur + dédié est nécessaire, étant donné qu'il n'est pas, à + l'heure actuelle, possible de partager un disque dur avec + un autre système d'exploitation. + + + Tâches de pré-installation Sauvegarder les données importantes Sauvegardez toutes les données importantes présentes sur l'ordinateur sur lequel &os; sera installé. Testez ces sauvegardes avant de poursuivre. Le programme d'installation de &os; vous sollicitera avant d'écrire sur le disque, mais une fois le processus lancé, il ne sera pas possible de revenir en arrière. Où installer FreeBSD? Si &os; sera le seul système d'exploitation installé, et qu'il utilisera l'intégralité du disque dur, vous pouvez passer cette section. Mais si &os; doit partager le disque avec d'autres systèmes d'exploitation, une connaissance de l'organisation des disques durs sera utile pendant l'installation. Organisation des disques pour les architectures &os;/&arch.i386; et &os;/&arch.amd64; Les disques durs peuvent être divisés en plusieurs portions. Ces portions sont appelées partitions. Il existe deux manières pour diviser un disque en partitions. Le Master Boot Record (MBR) traditionnel contient une table de partitions définissant jusqu'à quatre partitions primaires. (Pour des raisons historiques, &os; appelle les partitions primaires slices ou tranches.) Une limite à quatre partitions est handicapant dans le cas de gros disques durs, aussi une de ces partitions peut devenir une partition étendue. Plusieurs partitions logiques pourront alors être créées dans la partition étendue. Cela peut sembler un peu lourd, c'est le cas. La table de partitionnement GUID (GUID Partition Table ou GPT) est une méthode nouvelle et plus simple pour partitionner un disque. GPT est bien plus polyvalente que la table de partitionnement MBR traditionnelle. Les implémentations classiques de GPT autorisent jusqu'à 128 partitions par disque, supprimant ainsi le recours à des solutions problématiques comme les partitions logiques. Certains anciens systèmes d'exploitation, comme &windows; XP, ne sont pas compatibles avec le système de partitions GPT. Si &os; sera amené à partager un disque avec un tel système d'exploitation, un partitionnement MBR sera alors nécessaire. Le chargeur d'amorçage de &os; a besoin soit d'une partition primaire soit d'une partition GPT. Consulter pour plus d'information sur le processus d'amorçage de &os;. Si toutes les partitions primaires ou GPT sont déjà utilisées, l'une d'entre elles devra être libérée pour &os;. Une installation minimale de &os; nécessite 1 Go d'espace disque. Cependant, c'est vraiment une installation minimale, ne laissant presque aucun espace libre. Un minimum plus réaliste est 3 Go sans environnement graphique, et 5 Go ou plus si une interface graphique sera utilisée. Les applications tierce-partie auront besoin de plus de place. De nombreux outils de partionnement gratuits et commerciaux sont listés sur http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_disk_partitioning_software. GParted Live (http://gparted.sourceforge.net/livecd.php) est un CD Live gratuit qui comprend l'éditeur de partition GParted. GParted est également disponible sur d'autres CDs Live Linux. Les applications de partitionnement de disques peuvent détruire les données. Effectuez une sauvegarde complète et vérifiez son intégrité avant de modifier les partitions du disque. Redimensionner des partitions µsoft; Vista peut être complexe. Un CD d'installation de Vista peut être utile quand on tente une telle opération. Utilisation d'une partition existante Soit un ordinateur sous &windows; avec un seul disque de 40 Go qui a été divisé en deux partitions de 20 Go. &windows; les appelle C: et D:. La partition C: contient 10 Go de données, et la partition D: 5 Go de données. Déplacer les données de D: vers C: libérera la deuxième partition pour &os;. Réduire une partition existante Soit un ordinateur sous &windows; disposant d'un seul disque de 40 Go sur lequel il y a une seule grande partition occupant tout le disque. &windows; fait apparaître cette partition de 40 Go comme un seul lecteur C:. 15 Go d'espace est utilisé. L'objectif est de limiter &windows; à une partition de 20 Go, et avoir une autre partition de 20 Go pour &os;. Il y a deux façons de procéder: Sauvegarder less données &windows;. Puis réinstaller &windows;, en utilisant une partition de 20 G à l'installation. Utiliser un outil de redimensionnement de partition comme GParted pour réduire la partition &windows; et créer une nouvelle partition dans l'espace libéré pour &os;. Disposer de différentes partitions contenant chacune un système d'exploitation différent permet de lancer au choix un de ces systèmes. Une autre méthode qui permet l'exécution simultanée de plusieurs systèmes d'exploitation est abordée dans le . Récupérer les informations relatives au réseau Certaines méthodes d'installation de &os; requièrent une connexion réseau pour télécharger des fichiers. Pour se connecter à un réseau Ethernet (ou à un modem câble ou ADSL avec une interface Ethernet), le programme d'installation demandera certaines informations au sujet du réseau. Le protocole DHCP est communément utilisé pour fournir une configuration réseau automatique. Si la configuration par DHCP n'est pas possible, les informations relatives au réseau pourront être obtenu auprès de l'administrateur réseau ou du fournisseur d'accès: Information réseau Adresse IP Masque de sous-réseau Adresse IP de la passerelle par défaut Nom de domaine du réseau local Adresse(s) IP du serveur DNS Vérifier l'Errata &os; Bien que le projet &os; s'efforce de s'assurer que chaque version de &os; soit aussi stable que possible, des bogues peuvent parfois exister. Il est très rare que ces bogues affectent le processus d'installation. Dès que ces problèmes sont découverts et corrigés, ils sont notés dans l'Errata de &os; (http://www.freebsd.org/releases/&rel.current;R/errata.html) présent sur le site Web de FreeBSD. Vérifier l'errata avant l'installation afin d'être sûr qu'il n'y a pas de problème pouvant affecter l'installation. Les informations sur chaque version, y compris les errata, peuvent être trouvés sur le site web de &os; dans la section d'information sur les différentes versions (http://www.freebsd.org/releases/index.html). Préparer le support d'installation Une installation de &os; est lancée en démarrant l'ordinateur avec un CD, DVD, ou clé USB d'installation de &os;. Le programme d'installation n'est pas un programme qui peut être exécuté à partir d'un autre système d'exploitation. En plus des supports standards d'installation qui contiennent une copie de l'ensemble des fichiers d'installation de &os;, il existe une variante dite bootonly. Le support d'installation bootonly ne comprend pas les fichiers d'installation, mais les téléchargera à partir du réseau lors de l'installation. Le CD d'installation bootonly est donc plus petit, et réduit la bande passante utilisée lors de l'installation en ne téléchargeant que les fichiers nécessaires. Des exemplaires des supports d'installation de &os; sont disponibles sur www.freebsd.org/where.html#download. Téléchargez également le fichier CHECKSUM.SHA256 à partir du même répertoire et utilisez-le pour contrôler l'intégralité des fichiers en calculant une somme de contrôle ou checksum. &os; fournit &man.sha256.1; à cet effet, les autres systèmes d'exploitation proposent des outils similaires. Comparez la somme de contrôle calculée avec celle donnée dans le fichier CHECKSUM.SHA256. Les sommes de contrôle doivent être identiques. Si une des sommes ne correspond pas, le fichier est corrompu et devra être téléchargé à nouveau. Si une copie de &os; sur CD, DVD, ou clé USB existe déjà , cette section peut être ignorée. Les images CD et DVD de &os; sont des fichiers ISO bootable. Seul un CD ou DVD est nécessaire pour l'installation. Gravez l'image ISO sur un CD ou DVD en utilisant un logiciel de gravure disponible avec le système d'exploitation actuel. Sous &os;, la gravure est possible avec cdrecord du logiciel porté sysutils/cdrtools, installé à partir du catalogue des logiciels portés. Pour créer une clé USB bootable, suivez les étapes suivantes: Obtenir l'image de la clé USB Les images de clés USB pour &os; 9.0-RELEASE et versions ultérieures peuvent être téléchargées à partir du répertoire ISO-IMAGES/ à l'adresse ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/releases/arch/arch/ISO-IMAGES/version/&os;-version-RELEASE-arch-memstick.img. Remplacer arch et version par respectivement l'architecture et le numéro de version à installer. Par exemple, les images de clés USB Pour &os;/&arch.i386; 9.0-RELEASE sont disponibles à partir de . Un chemin de répertoire différent est utilisé pour &os; 8.X et les versions antérieures. L'image de la clé USB a l'extension .img. Le répertoire ISO-IMAGES/ contient un certain nombre d'images différentes, et celle à employer dépend de la version de &os; à installer, et dans certains cas, du matériel cible de l'installation. Avant de continuer, sauvegardez les données présentes sur la clé USB, en effet l'écriture de l'image détruira toutes les données. Ecrire le fichier image sur la clé USB Utiliser &os; pour écrire l'image L'exemple ci-dessous prend /dev/da0 comme périphérique cible sur lequel l'image sera écrite. Vérifiez que le périphérique utilisé comme cible est bien le bon, car cette commande détruira les données existantes. Ecrire l'image avec &man.dd.1; Le fichier .img n'est pas un fichier classique. C'est une image de l'intégralité du contenu de la clé. Il ne peut pas être copié comme n'importe quel fichier, mais doit être écrit directement sur le périphérique cible avec &man.dd.1;: &prompt.root; dd if=&os;-9.0-RELEASE-&arch.i386;-memstick.img of=/dev/da0 bs=64k Utiliser &windows; pour écrire l'image Assurez-vous de préciser le bon lecteur comme cible, car les données existantes seront écrasées et détruites. Récupérer <application>Image Writer for &windows;</application> Image Writer for &windows; est une application gratuite pour écrire une image sur une clé USB. Téléchargez-la depuis et décompressez-la dans un répertoire. Ecrire l'image avec Image Writer Double-cliquez sur l'icone Win32DiskImager pour lancer le programme. Vérifez que le lecteur affiché sous Device est celui de la clé USB. Cliquer sur l'icone répertoire et sélectionner l'image à écrire sur la clé. Cliquer sur [ Save ] pour accepter le nom du fichier image. Vérifiez que tout est correct, et qu'il n'y a pas de répertoires présents sur la clé USB ouverts dans d'autres fenêtres. Puis quand tout est prêt, cliquer sur [ Write ] pour écrire le fichier image sur la clé USB. L'installation à partir de disquettes n'est plus supportée. Vous êtes maintenant prêt à commencer l'installation de &os;. Lancer l'installation Par défaut, le processus d'installation ne modifiera rien sur le(s) disque(s) dur(s) jusqu'au message suivant: Your changes will now be written to disk. If you have chosen to overwrite existing data, it will be PERMANENTLY ERASED. Are you sure you want to commit your changes? L'installation peut être quittée à tout moment avant l'avertissement final sans changer le contenu du disque dur. Si quelque chose a mal été configurée, arrêtez juste l'ordinateur avant ce point, et aucun dommage ne sera causé. Démarrage Démarrage pour les architectures &i386; et &arch.amd64; En utilisant une clé USB bootable préparée, comme décrit dans la , brancher la clé USB avant d'allumer l'ordinateur. En démarrant depuis le CD, allumer l'ordinateur, et insérer le CD à la première occasion. Configurer le système pour qu'il démarre soit à partir du CD ou de l'USB, en fonction du support utilisé pour l'installation. Le BIOS permet la sélection d'un périphérique de démarrage spécifique. La plupart des systèmes proposent également la sélection du périphérique d'amorçage au démarrage, généralement en appuyant sur F10, F11, F12, ou encore Escape. Si l'ordinateur démarre comme à l'accoutumée et, et charge le système d'exploitation existant, alors soit: Les disques n'ont pas été insérés suffisamment tôt lors du processus de démarrage. Laissez-les, et essayez de redémarrer l'ordinateur. Soit les modifications du BIOS effectuées juste avant n'ont pas fonctionné correctement. Repasser par cette étape jusqu'à trouver la bonne option. Ce BIOS, en particulier, ne supporte pas l'amorçage à partir du support désiré. Le gestionnaire de démarrage Plop (http://www.plop.at/en/bootmanager.html) peut être utilisé pour démarrer les anciens ordinateurs à partir de supports comme un CD ou une clé USB. &os; démarre. Si le démarrage se fait à partir du CD, des messages similaires à ceci seront affichés (information sur la version omise): Booting from CD-ROM... 645MB medium detected CD Loader 1.2 Building the boot loader arguments Looking up /BOOT/LOADER... Found Relocating the loader and the BTX Starting the BTX loader BTX loader 1.00 BTX version is 1.02 Consoles: internal video/keyboard BIOS CD is cd0 BIOS drive C: is disk0 BIOS drive D: is disk1 BIOS 636kB/261056kB available memory FreeBSD/i386 bootstrap loader, Revision 1.1 Loading /boot/defaults/loader.conf /boot/kernel/kernel text=0x64daa0 data=0xa4e80+0xa9e40 syms=[0x4+0x6cac0+0x4+0x88e9d] \ Le chargeur &os; est alors affiché:
Menu du chargeur &os;
Attendez dix secondes, ou appuyez sur Entrée.
Démarrage pour l'architecture &macintosh; &powerpc; Sur la plupart des machines, maintenir la touche C enfoncée lors du démarrage provoquera l'amorçage du CD. Sinon appuyez sur Command Option O F , ou Windows Alt O F dans le cas des claviers non-&apple;. A l'invite 0 >, entrez: boot cd:,\ppc\loader cd:0 Démarrage pour l'architecture &sparc64; La plupart des systèmes &sparc64; sont configurés pour démarrer automatiquement à partir du disque dur. Pour installer &os;, le démarrage à partir du réseau ou d'un CD nécessite un passage par le PROM (OpenFirmware). Pour cela, redémarrez le système, et attendez l'affichage des messages de démarrage. En fonction du modèle, vous devriez voir quelque chose comme ce qui suit: Sun Blade 100 (UltraSPARC-IIe), Keyboard Present Copyright 1998-2001 Sun Microsystems, Inc. All rights reserved. OpenBoot 4.2, 128 MB memory installed, Serial #51090132. Ethernet address 0:3:ba:b:92:d4, Host ID: 830b92d4. Si le système tente de démarrer à partir du disque dur à cet endroit, alors appuyer sur L1A ou StopA sur le clavier, ou envoyer un BREAK par l'intermédiaire de la console série (en utilisant par exemple ~# sous &man.tip.1; ou &man.cu.1;) pour obtenir l'invite PROM. Cela ressemble à ceci: ok ok {0} C'est l'invite utilisée sur les systèmes avec un seul CPU. C'est l'invite utilisée sur les systèmes SMP, le chiffre indiquant le nombre de CPU actifs. En ce point, placer le CD dans le lecteur, et à l'invite PROM, tapez boot cdrom.
Examen des résultats de la détection du matériel La dernière centaine de lignes qui a été affichée à l'écran est stockée et peut être relue. Pour relire le tampon, appuyez sur Arrêt Défil. Cela activera le défilement de l'affichage. Utiliser les touches fléchées, ou PageUp et PageDown, pour visualiser les résultats. Appuyer à nouveau sur Arrêt Défil pour revenir dans le mode normal. Faites cela maintenant, pour relire le texte qui a défilé en dehors de l'écran quand le noyau effectuait la détection du matériel. Quelque chose de semblable à la sera affiché, bien que le texte sera différent en fonction des périphériques présents dans l'ordinateur.
Résultats typiques de la détection du matériel Copyright (c) 1992-2011 The FreeBSD Project. Copyright (c) 1979, 1980, 1983, 1986, 1988, 1989, 1991, 1992, 1993, 1994 The Regents of the University of California. All rights reserved. FreeBSD is a registered trademark of The FreeBSD Foundation. FreeBSD 9.0-RELEASE #0 r225473M: Sun Sep 11 16:07:30 BST 2011 root@psi:/usr/obj/usr/src/sys/GENERIC amd64 CPU: Intel(R) Core(TM)2 Duo CPU T9400 @ 2.53GHz (2527.05-MHz K8-class CPU) Origin = "GenuineIntel" Id = 0x10676 Family = 6 Model = 17 Stepping = 6 Features=0xbfebfbff<FPU,VME,DE,PSE,TSC,MSR,PAE,MCE,CX8,APIC,SEP,MTRR,PGE,MCA,CMOV,PAT,PSE36,CLFLUSH,DTS,ACPI,MMX,FXSR,SSE,SSE2,SS,HTT,TM,PBE> Features2=0x8e3fd<SSE3,DTES64,MON,DS_CPL,VMX,SMX,EST,TM2,SSSE3,CX16,xTPR,PDCM,SSE4.1> AMD Features=0x20100800<SYSCALL,NX,LM> AMD Features2=0x1<LAHF> TSC: P-state invariant, performance statistics real memory = 3221225472 (3072 MB) avail memory = 2926649344 (2791 MB) Event timer "LAPIC" quality 400 ACPI APIC Table: <TOSHIB A0064 > FreeBSD/SMP: Multiprocessor System Detected: 2 CPUs FreeBSD/SMP: 1 package(s) x 2 core(s) cpu0 (BSP): APIC ID: 0 cpu1 (AP): APIC ID: 1 ioapic0: Changing APIC ID to 1 ioapic0 <Version 2.0> irqs 0-23 on motherboard kbd1 at kbdmux0 acpi0: <TOSHIB A0064> on motherboard acpi0: Power Button (fixed) acpi0: reservation of 0, a0000 (3) failed acpi0: reservation of 100000, b6690000 (3) failed Timecounter "ACPI-safe" frequency 3579545 Hz quality 850 acpi_timer0: <24-bit timer at 3.579545MHz> port 0xd808-0xd80b on acpi0 cpu0: <ACPI CPU> on acpi0 ACPI Warning: Incorrect checksum in table [ASF!] - 0xFE, should be 0x9A (20110527/tbutils-282) cpu1: <ACPI CPU> on acpi0 pcib0: <ACPI Host-PCI bridge> port 0xcf8-0xcff on acpi0 pci0: <ACPI PCI bus> on pcib0 vgapci0: <VGA-compatible display> port 0xcff8-0xcfff mem 0xff400000-0xff7fffff,0xe0000000-0xefffffff irq 16 at device 2.0 on pci0 agp0: <Intel GM45 SVGA controller> on vgapci0 agp0: aperture size is 256M, detected 131068k stolen memory vgapci1: <VGA-compatible display> mem 0xffc00000-0xffcfffff at device 2.1 on pci0 pci0: <simple comms> at device 3.0 (no driver attached) em0: <Intel(R) PRO/1000 Network Connection 7.2.3> port 0xcf80-0xcf9f mem 0xff9c0000-0xff9dffff,0xff9fe000-0xff9fefff irq 20 at device 25.0 on pci0 em0: Using an MSI interrupt em0: Ethernet address: 00:1c:7e:6a:ca:b0 uhci0: <Intel 82801I (ICH9) USB controller> port 0xcf60-0xcf7f irq 16 at device 26.0 on pci0 usbus0: <Intel 82801I (ICH9) USB controller> on uhci0 uhci1: <Intel 82801I (ICH9) USB controller> port 0xcf40-0xcf5f irq 21 at device 26.1 on pci0 usbus1: <Intel 82801I (ICH9) USB controller> on uhci1 uhci2: <Intel 82801I (ICH9) USB controller> port 0xcf20-0xcf3f irq 19 at device 26.2 on pci0 usbus2: <Intel 82801I (ICH9) USB controller> on uhci2 ehci0: <Intel 82801I (ICH9) USB 2.0 controller> mem 0xff9ff800-0xff9ffbff irq 19 at device 26.7 on pci0 usbus3: EHCI version 1.0 usbus3: <Intel 82801I (ICH9) USB 2.0 controller> on ehci0 hdac0: <Intel 82801I High Definition Audio Controller> mem 0xff9f8000-0xff9fbfff irq 22 at device 27.0 on pci0 pcib1: <ACPI PCI-PCI bridge> irq 17 at device 28.0 on pci0 pci1: <ACPI PCI bus> on pcib1 iwn0: <Intel(R) WiFi Link 5100> mem 0xff8fe000-0xff8fffff irq 16 at device 0.0 on pci1 pcib2: <ACPI PCI-PCI bridge> irq 16 at device 28.1 on pci0 pci2: <ACPI PCI bus> on pcib2 pcib3: <ACPI PCI-PCI bridge> irq 18 at device 28.2 on pci0 pci4: <ACPI PCI bus> on pcib3 pcib4: <ACPI PCI-PCI bridge> at device 30.0 on pci0 pci5: <ACPI PCI bus> on pcib4 cbb0: <RF5C476 PCI-CardBus Bridge> at device 11.0 on pci5 cardbus0: <CardBus bus> on cbb0 pccard0: <16-bit PCCard bus> on cbb0 isab0: <PCI-ISA bridge> at device 31.0 on pci0 isa0: <ISA bus> on isab0 ahci0: <Intel ICH9M AHCI SATA controller> port 0x8f58-0x8f5f,0x8f54-0x8f57,0x8f48-0x8f4f,0x8f44-0x8f47,0x8f20-0x8f3f mem 0xff9fd800-0xff9fdfff irq 19 at device 31.2 on pci0 ahci0: AHCI v1.20 with 4 3Gbps ports, Port Multiplier not supported ahcich0: <AHCI channel> at channel 0 on ahci0 ahcich1: <AHCI channel> at channel 1 on ahci0 ahcich2: <AHCI channel> at channel 4 on ahci0 acpi_lid0: <Control Method Lid Switch> on acpi0 battery0: <ACPI Control Method Battery> on acpi0 acpi_button0: <Power Button> on acpi0 acpi_acad0: <AC Adapter> on acpi0 acpi_toshiba0: <Toshiba HCI Extras> on acpi0 acpi_tz0: <Thermal Zone> on acpi0 attimer0: <AT timer> port 0x40-0x43 irq 0 on acpi0 Timecounter "i8254" frequency 1193182 Hz quality 0 Event timer "i8254" frequency 1193182 Hz quality 100 atkbdc0: <Keyboard controller (i8042)> port 0x60,0x64 irq 1 on acpi0 atkbd0: <AT Keyboard> irq 1 on atkbdc0 kbd0 at atkbd0 atkbd0: [GIANT-LOCKED] psm0: <PS/2 Mouse> irq 12 on atkbdc0 psm0: [GIANT-LOCKED] psm0: model GlidePoint, device ID 0 atrtc0: <AT realtime clock> port 0x70-0x71 irq 8 on acpi0 Event timer "RTC" frequency 32768 Hz quality 0 hpet0: <High Precision Event Timer> iomem 0xfed00000-0xfed003ff on acpi0 Timecounter "HPET" frequency 14318180 Hz quality 950 Event timer "HPET" frequency 14318180 Hz quality 450 Event timer "HPET1" frequency 14318180 Hz quality 440 Event timer "HPET2" frequency 14318180 Hz quality 440 Event timer "HPET3" frequency 14318180 Hz quality 440 uart0: <16550 or compatible> port 0x3f8-0x3ff irq 4 flags 0x10 on acpi0 sc0: <System console> at flags 0x100 on isa0 sc0: VGA <16 virtual consoles, flags=0x300> vga0: <Generic ISA VGA> at port 0x3c0-0x3df iomem 0xa0000-0xbffff on isa0 ppc0: cannot reserve I/O port range est0: <Enhanced SpeedStep Frequency Control> on cpu0 p4tcc0: <CPU Frequency Thermal Control> on cpu0 est1: <Enhanced SpeedStep Frequency Control> on cpu1 p4tcc1: <CPU Frequency Thermal Control> on cpu1 Timecounters tick every 1.000 msec hdac0: HDA Codec #0: Realtek ALC268 hdac0: HDA Codec #1: Lucent/Agere Systems (Unknown) pcm0: <HDA Realtek ALC268 PCM #0 Analog> at cad 0 nid 1 on hdac0 pcm1: <HDA Realtek ALC268 PCM #1 Analog> at cad 0 nid 1 on hdac0 usbus0: 12Mbps Full Speed USB v1.0 usbus1: 12Mbps Full Speed USB v1.0 usbus2: 12Mbps Full Speed USB v1.0 usbus3: 480Mbps High Speed USB v2.0 ugen0.1: <Intel> at usbus0 uhub0: <Intel UHCI root HUB, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1> on usbus0 ugen1.1: <Intel> at usbus1 uhub1: <Intel UHCI root HUB, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1> on usbus1 ugen2.1: <Intel> at usbus2 uhub2: <Intel UHCI root HUB, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1> on usbus2 ugen3.1: <Intel> at usbus3 uhub3: <Intel EHCI root HUB, class 9/0, rev 2.00/1.00, addr 1> on usbus3 uhub0: 2 ports with 2 removable, self powered uhub1: 2 ports with 2 removable, self powered uhub2: 2 ports with 2 removable, self powered uhub3: 6 ports with 6 removable, self powered ugen2.2: <vendor 0x0b97> at usbus2 uhub8: <vendor 0x0b97 product 0x7761, class 9/0, rev 1.10/1.10, addr 2> on usbus2 ugen1.2: <Microsoft> at usbus1 ada0 at ahcich0 bus 0 scbus1 target 0 lun 0 ada0: <Hitachi HTS543225L9SA00 FBEOC43C> ATA-8 SATA 1.x device ada0: 150.000MB/s transfers (SATA 1.x, UDMA6, PIO 8192bytes) ada0: Command Queueing enabled ada0: 238475MB (488397168 512 byte sectors: 16H 63S/T 16383C) ada0: Previously was known as ad4 ums0: <Microsoft Microsoft 3-Button Mouse with IntelliEyeTM, class 0/0, rev 1.10/3.00, addr 2> on usbus1 SMP: AP CPU #1 Launched! cd0 at ahcich1 bus 0 scbus2 target 0 lun 0 cd0: <TEAC DV-W28S-RT 7.0C> Removable CD-ROM SCSI-0 device cd0: 150.000MB/s transfers (SATA 1.x, ums0: 3 buttons and [XYZ] coordinates ID=0 UDMA2, ATAPI 12bytes, PIO 8192bytes) cd0: cd present [1 x 2048 byte records] ugen0.2: <Microsoft> at usbus0 ukbd0: <Microsoft Natural Ergonomic Keyboard 4000, class 0/0, rev 2.00/1.73, addr 2> on usbus0 kbd2 at ukbd0 uhid0: <Microsoft Natural Ergonomic Keyboard 4000, class 0/0, rev 2.00/1.73, addr 2> on usbus0 Trying to mount root from cd9660:/dev/iso9660/FREEBSD_INSTALL [ro]...
Vérifiez les résultats de la détection pour s'assurer que &os; a trouvé tous les périphériques. Si un périphérique n'a pas été trouvé, il ne sera alors pas affiché. Consulter pour des instructions sur comment ajouter le support pour des périphériques qui ne sont pas présents dans le noyau GENERIC. Après la détection du matériel, le menu montré dans apparaîtra. Le support d'installation peut être utilisé de trois manières différentes: pour installer &os;, comme CD live comme décrit dans , ou tout simplement pour obtenir un accès à un interpréteur de commandes sous &os;. Utiliser les touches fléchées pour sélectionner une de ces options, et Enter pour valider le choix.
Sélection du mode d'utilisation du support d'installation
Sélectionner [ Install ] permettra d'entrer dans le programme d'installation.
Présentation de <application>bsdinstall</application> bsdinstall est un programme d'installation en mode texte de &os; écrit par &a.nwhitehorn.email; et introduit en 2011 sous &os; 9.0. Le programme pc-sysinstall de &a.kmoore.email; est présent dans PC-BSD et peut également être utilisé pour installer &os; en suivant les instructions de http://wiki.pcbsd.org/index.php/Use_PC-BSD_Installer_to_Install_FreeBSD. Parfois confondu avec bsdinstall, ces deux programmes n'ont pas de rapport. Le système de menu de bsdinstall est contrôlé à l'aide des touches fléchées, Entrée, Tab, Espace, et quelques autres touches. Sélectionner le menu des tables de clavier En fonction de la console utilisée, bsdinstall peut, au départ, demander de choisir un clavier non-standard.
Changement de la table de clavier
Si [ YES ] est sélectionné, le menu suivant de sélection du clavier sera affiché. Sinon, le menu de sélection n'apparaîtra pas, et une table de clavier par défaut sera utilisée.
Menu de sélection de la table de clavier
Choisissez la table qui est la plus proche du clavier attaché au système en utilisant les flèches haut et bas et en appuyant sur Entrée. Un appui sur Echap provoquera l'utilisation de la table par défaut. Choisir United States of America ISO-8859-1 est également conseillé si le choix n'est pas clair. Sous &os; 10.0-RELEASE et versions suivantes, ce menu a été amélioré. La sélection complète des tables de clavier est affichée avec la table par défaut présélectionnée. De plus, lors de la sélection d'une table de clavier différente, est affichée une fenêtre de dialogue permettant à l'utilisateur de tester la table et s'assurer qu'elle est correcte avant de prendre en compte le changement.
Menu amélioré de sélection de la table de clavier
Configurer le nom de la machine Ensuite, bsdinstall demandera le nom de machine à donner au nouveau système.
Configuration du nom de machine
Le nom de machine entré doit être un nom de machine complet comme machine3.example.com
Choisir les composants à installer Ensuite, bsdinstall demandera de choisir les composants optionnels à installer.
Sélection des composants à installer
Décider quels composants installer dépendra principalement de l'utilisation prévue du système et de l'espace disque disponible. Le noyau &os; et les utilitaires de base, formant ensemble ce que l'on nomme le système de base, sont toujours installés. Selon le type d'installation, certains de ces composants peuvent ne pas apparaître. Composants optionnels doc - Documentation supplémentaire d'un intérêt principalement historique. La documentation fournie par le projet de documentation &os; pourra être installée plus tard. games - Plusieurs jeux BSD classiques, dont fortune, rot13, et d'autres. lib32 - Bibliothèques de compatibilité pour l'exécution d'applications 32bits sur une version 64bits de &os;. ports - Le catalogue des logiciels portés pour &os;. Le catalogue des logiciels portés est une méthode simple et commode pour installer des logiciels. Le catalogue des logiciels portés ne contient pas le code source nécessaire pour compiler le logiciel. A la place, c'est un ensemble de fichiers qui automatise le téléchargement, la compilation et l'installation de logiciels tierce-partie. Le discute de l'utilisation du catalogue des logiciels portés. Le programme d'installation ne vérifie pas la présence de l'espace requis. Sélectionner cette option uniquement si l'espace disque suffisant est disponible. Le catalogue des logiciels portés occupe environ &ports.size; d'espace disque. src - Code source du système. &os; est livré avec le code source complet du noyau et du système de base. Bien que n'étant pas requis pour la majorité des applications, il peut être nécessaire pour compiler certains logiciels (par exemple, les pilotes de périphériques ou les modules du noyau), ou pour développer &os;. L'arborescence complète des sources demande 1 Go d'espace disque, et la recompilation du système &os; complet nécessite 5 Go d'espace supplémentaire.
Installation à partir du réseau Le support d'installation bootonly ne contient pas de copie des fichiers d'installation. Lorsqu'une méthode d'installation de type bootonly est utilisée, les fichiers doivent être récupérés par l'intermédiaire d'une connexion réseau.
Installation à partir du réseau
Après que la connexion réseau ait été configurée comme montré dans , un site miroir est sélectionné. Les sites miroirs maintiennent des copies des fichiers &os;. Choisissez un site miroir situé dans la même région du monde que l'ordinateur sur lequel &os; doit être installé. Les fichiers peuvent être récupérés plus rapidement quand le miroir est proche de l'ordinateur cible, et les temps d'installation réduits.
Sélection d'un miroir
L'installation se poursuivra comme si les fichiers d'installation étaient présents en local.
Allouer l'espace disque Il existe quatre manières pour allouer l'espace disque pour &os;. Le partionnement guidé (Guided) fixe automatiquement les partitions disque, alors que le partionnement manuel (Manual) permet aux utilisateurs avancés de créer des partitions sur mesures. L'option ZFS, disponible uniquement sous &os; 10 et versions suivantes, créera un système de fichiers racine sur ZFS optionnel avec support pour les différents environnements de démarrage. Enfin, il y a la possibilité de lancer un interpréteur de commandes dans lequel les programmes en ligne de commande comme &man.gpart.8;, &man.fdisk.8;, et &man.bsdlabel.8; pourront être utilisés directement.
Sélection du partitionnement guidé, manuel ou via l'interpréteur de commandes
Choix de partionnement sous &os; 10.X et versions ultérieures
Cette section décrit ce qui doit être pris en compte lors du partitionnement du disque. Elle montre ensuite comment utiliser les différentes méthodes de partionnement. Choix du partitionnement partitionnnement /etc /var /usr Lors du partionnement, il faut garder à l'esprit que les disques durs transfèrent les données plus rapidement depuis les pistes extérieures que depuis les pistes intérieures. Aussi, les systèmes de fichiers plus petits et très sollicités devraient être positionnés vers l'extérieur du disque, alors que les partitions plus grandes comme /usr devraient être placées vers l'intérieur du disque. C'est une bonne idée de créer les partitions dans l'ordre suivant: /, espace de pagination, /var, et /usr. La taille de la partition /var reflète l'utilisation prévue de la machine. Cette partition est utilisée pour contenir les boîtes aux lettres de messagerie, les fichiers journaux, et les queues d'impression. Les boîtes aux lettres et les fichiers journaux peuvent croître jusqu'à atteindre des tailles inattendues en fonction du nombre d'utilisateurs et combien de temps sont conservés les fichiers journaux. En moyenne, la plupart des utilisateurs n'auront rarement besoin de plus d'un gigaoctet d'espace disque pour /var. Parfois, beaucoup d'espace disque est nécessaire pour /var/tmp. Quand de nouveaux logiciels sont installés, les outils de paquetage extraient une copie temporaire des paquetages dans /var/tmp. Les logiciels importants comme Firefox, Apache OpenOffice ou LibreOffice peuvent être délicats à installer si l'espace disque dans /var/tmp n'est pas suffisant. La partition /usr contient beaucoup de fichiers nécessaires au système, dont le catalogue des logiciels portés de &os; et le code source du système. Au moins 2 gigaoctets sont recommandés pour cette partition. Lors du choix de la taille des partitions, gardez à l'esprit les besoins en espace. Manquer d'espace sur une partition alors qu'une autre est à peine utilisée peut être très frustrant. dimensionnement de l'espace de pagination partition de pagination Par principe, votre espace de pagination devrait typiquement avoir une taille double de la quantité de mémoire physique (RAM). Les systèmes avec peu de mémoire RAM pourront avoir de meilleures performances avec beaucoup plus d'espace de pagination. Configurer trop peu d'espace de pagination peut conduire à une certaine inefficacité du code de pagination de la mémoire virtuelle (VM) et peut être à l'origine de problèmes ultérieurement si vous ajoutez plus de mémoire à votre système. Sur des systèmes importants avec de multiples disques SCSI ou de multiples disques IDE fonctionnant sur différents contrôleurs, il est vivement recommandé que vous configuriez un espace de pagination sur chaque disque, jusqu'à quatre disques. Les partitions de pagination sur les différents disques devront avoir approximativement la même taille. Le noyau peut gérer des tailles arbitraires mais les structures de données internes sont dimensionnées pour 4 fois la taille de la plus grande partition de pagination. Garder la taille des partitions de pagination proche permettra au noyau de répartir de manière optimale l'espace de pagination entre les disques. Des espaces de pagination importants ne sont pas problématiques, même s'ils sont peu utilisés. Il peut être plus simple de récupérer la main face un programme incontrôlable avant d'être forcé à redémarrer la machine. En partitionnant correctement votre système, la fragmentation introduite sur les partitions plus petites et plus chargées en écriture ne s'étendra pas sur les partitions principalement utilisées en lecture. De plus, avoir les partitions principalement utilisées en écriture proche du bord du disque augmentera les performances d'E/S sur les partitions qui le demandent le plus. Bien qu'il soit nécessaire d'avoir de bonnes performances d'E/S sur les grandes partitions, les déplacer plus vers l'extérieur du disque ne donnera pas lieu à une augmentation significative des performances alors que le déplacement de performances alors que le déplacement de /var vers le bord peut avoir un sérieux impact. Partitionnement guidé Si plusieurs disques sont connectés, choisissez celui sur lequel &os; doit être installé.
Sélection parmi plusieurs disques
L'intégralité ou une portion du disque peut être allouée pour &os;. Si [ Entire Disk ] est sélectionné, une partition recouvrant la totalité du disque est créée. Sélectionner [ Partition ] créé une partition dans l'espace inutilisé du disque.
Sélection de l'intégralité du disque ou d'une partition
Une fois les partitions créés, vérifiez attentivement le résultat. Si une erreur a été faite, sélectionner [ Revert ] permettra de revenir au partionnement de départ, ou [ Auto ] créera les partitions &os; automatiquement. Les partitions peuvent être créées, modifiées, ou supprimées manuellement. Quand le partionnement est correct, sélectionner [ Finish ] pour poursuivre l'installation.
Vérification des partitions créés
Partitionnement manuel Le partionnement manuel envoie directement dans l'éditeur de partitions.
Créer manuellement les partitions
Sélectionner un disque (ada0 dans cet exemple) et [ Create ] permet d'afficher un menu pour le choix du type de table de partitionnement.
Créer manuellement les partitions
Le partionnement GPT est généralement le choix le plus approprié pour les ordinateurs de type PC. Les systèmes d'exploitation anciens ne sont pas compatibles avec GPT et peuvent nécessiter à la place un partitionnement de type MBR. Les autres systèmes de partitionnement sont en général utilisés pour les ordinateurs anciens ou particuliers. Tables de partitionnement Abbréviation Description APM Table de partition Applie, utilisée par le &macintosh; &powerpc; (http://support.apple.com/kb/TA21692). BSD Partitions BSD (BSD Labels) sans MBR, parfois appelé dangerously dedicated mode ou mode dédié. Consulter la page de manuel &man.bsdlabel.8;. GPT Table de partition GUID (http://en.wikipedia.org/wiki/GUID_Partition_Table"). MBR Master Boot Record (http://en.wikipedia.org/wiki/Master_boot_record"). PC98 Variante du MBR, utilisée par les ordinateurs de type NEC PC-98 (http://en.wikipedia.org/wiki/Pc9801). VTOC8 Volume Table Of Contents utilisé par les ordinateurs Sun SPARC64 et UltraSPARC.
Après avoir choisi et créé le partitionnement, sélectionner à nouveau [ Create ] créera les nouvelles partitions.
Créer manuellement les partitions
Une installation standard de &os; avec GPT utilise au moins trois partitions: Partitionnement <acronym>GPT</acronym> standard sous &os; freebsd-boot - Code de démarrage &os;. freebsd-ufs - Un système de fichiers UFS &os;. freebsd-swap - Espace de pagination pour &os;. Un autre type de partition qui vaut la peine d'être mentionné freebsd-zfs, employé pour des partitions qui contiendront un système de fichiers &os; ZFS. Voir . La page de manuel &man.gpart.8; liste d'autres types de partitions disponibles pour GPT. Des partitions avec plusieurs systèmes de fichiers peuvent être utilisées, certaines personnes peuvent préférer une organisation plus traditionnelle avec des partitions séparées pour les systèmes de fichiers /, /var, /tmp, et /usr. Consulter , pour un exemple. Les tailles peuvent être entrées avec les abréviations courantes: K for kilooctet, M pour mégaoctets, ou G pour gigaoctets. Un alignement correct des secteurs sur le disque permet de meilleures performances, et créer des partitions de tailles multiples de 4K permet de s'assurer de l'alignement sur les disques à secteur de 512 octets ou 4 Koctets. Généralement, employer des tailles de partition qui sont des multiples d'1M ou 1G est le moyen le plus simple de garantir que chaque partition débute sur un multiple de 4K. Une exception: à présent, la partition freebsd-boot ne devrait pas dépasser 512K en raison de limitations du code de démarrage. Un point de montage est nécessaire si cette partition contiendra un système de fichiers. Si une seule partition UFS unique sera créée, le point de montage devra être /. Un label est également demandé. Un label (ou étiquette) est le nom par lequel la partition sera connue. Les noms ou numéros de disques peuvent varier si le disque est connecté à un contrôleur ou port différent, mais le label de partition ne changera pas. Se référer aux labels plutôt qu'aux noms de disques et numéros de partitions dans les fichiers comme /etc/fstab rend le système plus tolérant aux changements de matériel. Les labels GPT apparaissent dans le répertoire /dev/gpt/ lorsqu'un disque est attaché au système. Les autres systèmes de partitionnement présentent d'autres possibilités au niveau des labels, et leur labels apparaissent sous différentes répertoires dans /dev/. Employez un label unique pour chaque système de fichiers pour éviter les conflits avec les labels identiques. Quelques lettres du nom du l'ordinateur, de son rôle, ou de son emplacement peuvent être ajoutées au label. Par exemple, labroot ou rootfs-lab pour la partition UFS racine de l'ordinateur du laboratoire. Création d'un système traditionnel de partitions pour systèmes de fichiers séparés Pour une organisation traditionnelle de partitions dans laquelle les répertoires /, /var, /tmp, et /usr sont des systèmes de fichiers séparés ayant chacun leur propre partition, créer une table de partition GPT, puis créer les partitions comme montré ci-après. Les tailles de partitions indiquées sont celles typiques pour un disque de 20G. Si plus d'espace est disponible sur le disque cible, une partition de pagination ou une partition /var plus importantes peuvent être utiles. Les labels utilisés ici sont préfixés par ex pour exemple, mais le lecteur peut utiliser un autre label unique comme décrit plus haut. Par défaut, le programme gptboot de &os; s'attend à ce que la première partition UFS trouvée soit la partition /. Type de partition Taille Point de montage Label freebsd-boot 512K freebsd-ufs 2G / exrootfs freebsd-swap 4G exswap freebsd-ufs 2G /var exvarfs freebsd-ufs 1G /tmp extmpfs freebsd-ufs valeur proposée par défaut (le reste du disque) /usr exusrfs Après la création des partitions, sélectionnez [ Finish ] pour poursuivre l'installation.
Partitionnement automatique avec la racine du système de fichiers sur ZFS Le support pour la création automatique d'installations avec la racine du système de fichiers sur ZFS a été ajouté dans &os; 10.0-RELEASE. Ce mode de partitionnement ne fonctionne qu'avec des disques entiers et effacera le contenu du disque entier. Le programme d'installation créera automatiquement des partitions de tailles alignées sur des multiples de 4k et forcera ZFS à utiliser des secteurs de 4k. Cela est sans risque même pour les disques avec des secteurs de 512 octets, et a l'avantage de s'assurer que les pools créés sur des disques à secteurs de 512 octets pourront se voir, dans le futur, adjoindre des disques à secteurs 4k, soit en tant qu'espace de stockage supplémentaire soit en tant que remplacement de disques défectueux. Le programme d'installation peut également utiliser en option le chiffrement du disque GELI comme décrit dans la . Si le chiffrement est activé, un pool de démarrage non-chiffré de 2 Go contenant le répertoire /boot est créé. Il contient le noyau et les autres fichiers nécessaires au démarrage du système. Une partition d'espace de pagination d'une taille réglable par l'utilisateur est également créée, et le reste de l'espace disque est utilisé pour le pool ZFS. Le menu principal de configuration ZFS présente plusieurs options pour contrôler la création du pool.
Menu de partionnement <acronym>ZFS</acronym>
Sélectionner T pour configurer le Pool Type et le ou les disques qui constitueront le pool. Le programme d'installation automatique ZFS ne supporte actuellement que la création d'un seul périphérique virtuel de niveau supérieur (top level vdev), en dehors du mode stripe (un seul disque ou concaténation de plusieurs disques). Pour créer des pools plus complexes, utiliser les instructions de la pour créer le pool. Le programme d'installation supporte la création de différents types de pool dont le mode stripe (non recommandé, pas de redondance), le mode miroir (meilleure performance, moins d'espace disque utilisable), et les modes RAID-Z 1, 2, et 3 (avec la capacité à supporter la panne concourante de 1, 2 et 3 disques respectivement). Lors de la sélection du type de pool, une information est affichée au bas de l'écran avec un conseil sur le nombre de disques nécessaire, et dans le cas du mode RAID-Z, le nombre optimal de disques pour chaque configuration.
Type de pool <acronym>ZFS</acronym>
Une fois que le Pool Type a été sélectionné, la liste des disques disponibles est affichée, et l'utilisateur est invité à choisir un ou plusieurs disques pour former le pool. La configuration doit être alors validée pour s'assurer que suffisamment de disques ont été sélectionnés. Si ce n'est pas le cas, sélectionner <Change Selection> pour retourner à la liste des disques, ou <Cancel> pour changer de type de pool.
Sélection de disques
Sélection non-valide
Si un ou plusieurs disques manquent sur la liste, ou si des disques ont été ajoutés après le lancement du programme d'installation, sélectionner - Rescan Devices pour repeupler la liste des disques disponibles. Pour éviter d'effacer par accident le mauvais disque, le menu - Disk Info peut être utilisé pour inspecter chaque disque, y compris sa table des partitions et plusieurs autres informations comme le modèle de disque et son numéro de série si disponibles.
Analyse d'un disque
Le menu de configuration principal de ZFS permet également à l'utilisateur d'entrer un nom de pool, désactiver le forçage des secteurs de 4k, activer ou désactiver le chiffrement, basculer entre les types de partitionnement GPT (recommandé) et MBR, et sélectionner la quantité d'espace de pagination. Une fois que toutes les options ont été configurées aux valeurs désirées, sélectionner l'option >>> Install en haut du menu. Si le chiffrement GELI du disque a été activé, le programme d'installation demandera deux fois le mot de passe à utiliser pour chiffrer les disques.
Mot de passe de chiffrement des disques
Le logiciel d'installation propose alors une dernière chance d'annuler les modifications avant que le contenu des disques sélectionnés ne soit détruit pour créer le pool ZFS.
Dernière chance
L'installation se poursuit alors normalement.
Partitionnement à partir de l'interpréteur de commandes Dans le cas d'installations complexes, les menus de partitionnement de bsdinstall peuvent ne pas proposer le niveau de flexibilité recherché. Les utilisateurs expérimentés peuvent sélectionner l'option Shell à partir du menu de partitionnement afin de partitionner manuellement les disques, de créer le ou les systèmes de fichiers, d'éditer /tmp/bsdinstall_etc/fstab, et de monter les systèmes de fichiers sous /mnt. Une fois cela fait, taper exit pour retourner dans bsdinstall et poursuivre l'installation.
Procéder à l'installation C'est la dernière chance pour annuler l'installation et empêcher l'écriture sur le disque dur.
Confirmation finale
Sélectionner [ Commit ] et appuyer sur Enter pour poursuivre. Si des modifications doivent être effectuées, choisir [ Back ] pour retourner dans l'éditeur de partitions. [ Revert & Exit ] fera quitter le programme d'installation sans qu'aucun changement n'ait été appliqué au disque dur. La durée de l'installation variera en fonction de la distribution choisie, du support d'installation, et de la vitesse de l'ordinateur. Une série de messages sera affichée pour indiquer la progression de l'installation. En premier lieu, le programme d'installation écrira la table de partitions sur le disque, et effectuera un newfs pour initialiser les partitions. Si l'installation se fait par le réseau, bsdinstall téléchargera alors les fichiers de distribution requis.
Récupération des fichiers de distribution
Ensuite, l'intégrité des fichiers de distribution est vérifiée, pour s'assurer qu'ils n'ont pas été corrompus durant le téléchargement ou leur lecture à partir du support d'installation.
Vérification des fichiers de distribution
Enfin, les fichiers contrôlés sont décompressés sur le disque.
Décompression des fichiers de distribution
Une fois que tous les fichiers de distribution sélectionnés ont été décompressés, bsdinstall passera directement aux étapes de post-installation décrites dans .
Post-Installation La configuration de diverses options suit une installation réussie de &os;. Une option peut être configurée en retournant dans les options de configuration à partir du menu final avant de démarrer sur le système &os; tout nouvellement installé. Définir le mot de passe de <systemitem class="username">root</systemitem> Le mot de passe de l'utilisateur root doit être défini. Notez que lors de la saisie du mot de passe, les caractères tapés ne sont pas affichés sur l'écran. Après sa saisie, le mot de passe devra être entré une deuxième fois. Cela permet d'éviter les erreurs de frappe.
Saisie du mot de passe <systemitem class="username">root</systemitem>
L'installation se poursuivra après que le mot de passe ait été entré avec succès.
Configuration du réseau Dans le cas d'une installation de type bootonly si la configuration réseau a déjà été effectuée cette partie sera alors passée. Une liste de l'ensemble des interfaces réseaux trouvées sur l'ordinateur sera affichée. Sélectionner celle à configurer.
Choix d'une interface réseau
Configuration d'une interface réseau sans-fil Si une interface réseau sans-fil est choisie, les paramètres d'identification et de sécurité sans-fil doivent être entrés pour permettre la connexion au réseau. Les réseaux sans-fil sont identifiés par un Service Set Identifier, ou SSID. Le SSID est un nom court et unique donné à chaque réseau. La plupart des réseaux sans-fil chiffrent les données transmises afin de les protéger d'une écoute non-autorisée. Le chiffrement WPA2 est fortement recommandé. Les chiffrements de types plus anciens, comme le WEP, n'offrent que peu de sécurité. La première étape pour se connecter à un réseau sans-fil est de rechercher les points d'accès sans-fil.
Recherche des points d'accès sans-fil
Les SSIDs trouvés durant la recherche sont affichés, suivis par une description des types de chiffrement disponibles pour chaque réseau. Si le SSID désiré n'apparaît pas dans la liste, sélectionner [ Rescan ] pour rechercher à nouveau. Si le réseau désiré n'apparaît toujours pas, vérifiez qu'il n'y a pas de problèmes d'antenne ou essayez de rapprocher l'ordinateur du point d'accès. Rescannez après chaque modification.
Sélection d'un réseau sans-fil
Les informations de chiffrement pour se connecter au réseau choisi sont saisies après la sélection du réseau. Avec WPA2, seul un mot de passe (également connu sous le nom de Pre-Shared Key, ou PSK) est nécessaire. Les caractères tapés dans la boîte de saisie apparaissent sous la forme d'astérisques pour plus de sécurité.
Configuration WPA2
La configuration du réseau se poursuit après la sélection du réseau sans-fil et l'entrée des informations de connexion.
Configuration du réseau en IPv4 Indiquez si un réseau en IPv4 sera utilisé. C'est le type de réseau le plus courant.
Sélection d'un fonctionnement réseau en IPv4
Il existe deux méthodes de configuration IPv4. En DHCP l'interface réseau sera configurée automatiquement, c'est la méthode préférée. Une configuration statique requiert la saisie manuelle des informations de configuration du réseau. N'entrez pas de paramètres réseau au hasard, cela ne fonctionnera pas. Récupérez les paramètres affichés dans auprès de l'administrateur réseau ou du fournisseur d'accès. Configuration réseau <acronym>IPv4</acronym> avec <acronym>DHCP</acronym> Si un serveur DHCP est disponible, sélectionner [ Yes ] pour configurer automatiquement l'interface réseau.
Sélection de la configuration <acronym>IPv4</acronym> avec <acronym>DHCP</acronym>
Configuration réseau <acronym>IPv4</acronym> en statique La configuration en statique de l'interface réseau demande la saisie d'informations relative à la configuration IPv4.
Configuration <acronym>IPv4</acronym> en statique
IP Address - L'adresse IPv4 entrée à la main devant être assignée à cette ordinateur. Cette adresse doit être unique et ne pas être déjà utilisée par un autre équipement sur le réseau local. Subnet Mask - Le masque de sous-réseau utilisé par le réseau local. En général, c'est 255.255.255.0. Default Router - L'adresse IP du routeur par défaut pour ce réseau. En général c'est l'adresse du routeur ou tout autre équipement réseau qui connecte le réseau local à l'Internet. Egalement désigné sous le terme de passerelle par défaut.
Configuration du réseau en IPv6 L'IPv6 est une nouvelle méthode de configuration réseau. Si l'IPv6 est disponible et désiré, choisir [ Yes ] pour le sélectionner.
Sélection d'un réseau IPv6
Un réseau IPv6 peut également être configuré suivant deux méthodes. SLAAC , ou autoconfiguration sans état (StateLess Address AutoConfiguration), configurera automatiquement et correctement l'interface réseau. La configuration statique, quant à elle, demande la saisie manuelle des informations réseau. Autoconfiguration sans état <acronym>IPv6</acronym> La méthode SLAAC permet à un composant réseau IPv6 de demander les informations de configuration automatique à un routeur local. Consulter http://tools.ietf.org/html/rfc4862 pour plus d'information.
Sélection de la configuration IPv6 SLAAC
Configuration réseau <acronym>IPv6</acronym> en statique La configuration en statique de l'interface réseau demande la saisie des information de configuration du réseau IPv6.
Configuration IPv6 en statique
IPv6 Address - L'adresse IP entrée à la main devant être assignée à cette ordinateur. Cette adresse doit être unique et ne pas être déjà utilisée par un autre équipement sur le réseau local. Default Router - L'adresse IPv6 du routeur par défaut pour ce réseau. En général c'est l'adresse du routeur ou tout autre équipement réseau qui connecte le réseau local à l'Internet. Egalement désigné sous le terme de passerelle par défaut.
Configuration du <acronym>DNS</acronym> Le système de résolution Domain Name System (ou DNS) convertit les noms de machine en adresses réseau et inversement. Si la méthode du DHCP ou du SLAAC a été utilisée pour configurer automatiquement la carte réseau, les valeurs de configuration du système de résolution de noms (Resolver Configuration) pourront déjà être présentes. Dans le cas contraire, entrer le nom de domaine du réseau local dans le champ Search. DNS #1 et DNS #2 sont les adresses IP des serveurs DNS locaux. Au moins un serveur DNS est nécessaire.
Configuration du DNS
Réglage du fuseau horaire Régler le fuseau horaire sur la machine lui permettra de corriger automatiquement tout changement horaire régional et d'exécuter d'autres fonctions liées au fuseau horaire correctement. L'exemple présenté est pour une machine située dans le fuseau horaire oriental des Etats-Unis. Les choix changeront en fonction de la position géographique.
Sélection d'une horloge locale ou UTC
Selectionner [ Yes ] ou [ No ] en fonction de la configuration de l'horloge de la machine et appuyer sur Entrée. Si l'on ne sait pas si le système est réglé sur l'horaire UTC ou local, sélectionner [ No ] pour choisir le fuseau local utilisé généralement.
Sélectionner une région
La région appropriée est choisie en utilisant les touches fléchées puis en appuyant sur Entrée.
Sélection d'un pays
Sélectionner le pays approprié en utilisant les touches fléchées et appuyer sur Entrée.
Sélection d'un fuseau horaire
Le fuseau horaire approprié est choisie en utilisant les touches fléchées, puis en appuyant sur Entrée.
Confirmation du fuseau horaire
Confirmez que l'abréviation pour le fuseau horaire est correcte. Si cela semble bon, appuyez sur Entrée pour continuer avec la configuration de post-installation.
Sélection des services à activer Des services système supplémentaires qui seront lancés au démarrage peuvent être activés. Tous ces services sont optionnels.
Sélection de services supplémentaires à activer
Services supplémentaires sshd - démon Secure Shell (SSH) pour l'accès à distance sécurisé. moused - permet l'utilisation de la souris en console. ntpd - démon du protocole d'heure réseau (Network Time Protocol) (NTP) pour la synchronisation automatique de l'horloge. powerd - utilitaire de contrôle de la gestion de l'énergie du système pour le contrôle de la consommation en énergie.
Activation des crash dumps bsdinstall vous demandera si la sauvegarde de l'état de la mémoire lors d'un plantage (crash dump) doit être activée sur le système. Activer les crash dumps peut s'avérer très utile pour déboguer les problèmes, aussi les utilisateurs sont encouragés à activer les crash dumps dès que c'est possible. Sélectionner [ Yes ] pour les activer, ou [ No ] pour poursuivre sans l'activation des crash dumps.
Activer les crash dumps
Ajouter des utilisateurs Ajouter au moins un utilisateur lors de l'installation permet l'utilisation du système sans être attaché en tant que root. Quand on utilise une session root, il n'existe aucune limite ou protection quant à ce qui peut être fait. Ouvrir une session en tant qu'utilisateur normal est plus sûr et plus sécurisé. Sélectionner [ Yes ] pour ajouter de nouveaux utilisateurs.
Ajout de comptes utilisateur
Saisissez les informations pour l'utilisateur à ajouter.
Entrée des informations utilisateur
Informations utilisateur Username - Le nom d'utilisateur ou identifiant que l'utilisateur entrera pour ouvrir une session. Souvent la première lettre de leur prénom associé à leur nom. Full name - Le nom complet de l'utilisateur. Uid - L'identifiant numérique pour cet utilisateur. En général, ce champ est laissé vide de façon à ce que le système assigne par lui-même une valeur. Login group - Le groupe de l'utilisateur. Généralement laissé vide pour accepter le choix par défaut. Invite user into other groups? - Groupes supplémentaires pour lesquels l'utilisateur sera également ajouté comme membre. Login class - Généralement laissé vide pour accepter la valeur par défaut. Shell - L'interpréteur de commande de l'utilisateur. Dans l'exemple, &man.csh.1; a été choisi. Home directory - Le répertoire de l'utilisateur. La valeur par défaut est, en général, correcte. Home directory permissions - Les permissions sur le répertoire utilisateur. La valeur par défaut est, en général, correcte. Use password-based authentication? - En général yes. Use an empty password? - En général no. Use a random password? - En général no. Enter password - Le mot de passe pour cet utilisateur. Les caractères tapés n'apparaîtront pas sur l'écran. Enter password again - Le mot de passe doit à nouveau être saisi pour vérification. Lock out the account after creation? - En général no. Après avoir tout saisi, un résumé est affiché, et le système demande si c'est correct. Si une erreur a été faite durant la saisie, entrez no et recommencez. Si tout est correct, entrez yes pour créer ce nouvel utilisateur.
Quitter la gestion des utilisateurs et des groupes
S'il y a d'autres utilisateurs à ajouter, répondez yes à la question Add another user?. Entrez no pour terminer l'ajout d'utilisateurs et continuer l'installation. Pour plus d'information sur l'ajout d'utilisateurs et leur gestion, consultez .
Configuration finale Après avoir tout installé et configuré, une dernière chance de modifier les réglages est proposée.
Configuration finale
Utilisez ce menu pour effectuer des changements ou toute configuration supplémentaire avant de terminer l'installation. Options de configuration finale Add User - Décrit dans la . Root Password - Décrit dans la . Hostname - Décrit dans la . Network - Décrit dans la . Services - Décrit dans la . Time Zone - Décrit dans la . Handbook - Télécharge et installe le Manuel &os;. Une fois la configuration finale achevée, sélectionnez Exit pour quitter l'installation.
Configuration manuelle
bsdinstall demandera s'il y a des éléments supplémentaires à configurer avant le redémarrage sur le nouveau système. Sélectionner [ Yes ] pour quitter vers un interpréteur de commande, ou [ No ] pour passer à la dernière étape d'installation.
Achever l'installation
Si d'autre configuration ou une configuration spécifique est nécessaire, choisir [ Live CD ] permettra de démarrer dans le mode du CD Live. Lorsque l'installation est achevée, sélectionnez [ Reboot ] pour redémarrer l'ordinateur et démarrer le nouveau système &os;. N'oubliez pas de retire le CD, DVD ou la clé USB d'installation de &os; ou l'ordinateur risque de redémarrer dessus à nouveau.
Démarrage et arrêt de &os; Démarrage de &os;/&arch.i386; Lors du démarrage de &os;, de nombreux messages d'information sont affichés. La plupart défileront et disparaîtront de l'écran, c'est normal. Une fois que le système a achevé son démarrage, une invite de session est affichée. Les messages qui ont défilé hors de l'écran peuvent être à nouveau visualisés en appuyant sur Scroll-Lock (ou Arrêt défil) pour activer le défilement arrière du tampon des messages. Les touches PgUp, PgDn, et les touches fléchées pourront être utilisées pour remonter dans les messages. L'appui à nouveau sur Scroll-Lock déverrouillera l'écran et fera revenir à l'affichage normal. A l'invite login:, saisissez le nom d'utilisateur ajouté lors de l'installation, asample dans l'exemple. Evitez d'ouvrir des sessions en tant que root excepté quand cela est nécessaire. Le tampon des messages examiné ci-dessus est limité en taille, aussi tout les messages peuvent ne pas être visibles. Après l'ouverture d'une session, la plupart d'entre eux peuvent être visualisés à partir de la ligne de commande en tapant dmesg | less à l'invite. Appuyez sur q pour retourner à l'invite de commande après la visualisation. Messages de démarrage typiques (information sur la version omise): Copyright (c) 1992-2011 The FreeBSD Project. Copyright (c) 1979, 1980, 1983, 1986, 1988, 1989, 1991, 1992, 1993, 1994 The Regents of the University of California. All rights reserved. FreeBSD is a registered trademark of The FreeBSD Foundation. root@farrell.cse.buffalo.edu:/usr/obj/usr/src/sys/GENERIC amd64 CPU: Intel(R) Core(TM)2 Duo CPU E8400 @ 3.00GHz (3007.77-MHz K8-class CPU) Origin = "GenuineIntel" Id = 0x10676 Family = 6 Model = 17 Stepping = 6 Features=0x783fbff<FPU,VME,DE,PSE,TSC,MSR,PAE,MCE,CX8,APIC,SEP,MTRR,PGE,MCA,CMOV,PAT,PSE36,MMX,FXSR,SSE,SSE2> Features2=0x209<SSE3,MON,SSSE3> AMD Features=0x20100800<SYSCALL,NX,LM> AMD Features2=0x1<LAHF> real memory = 536805376 (511 MB) avail memory = 491819008 (469 MB) Event timer "LAPIC" quality 400 ACPI APIC Table: <VBOX VBOXAPIC> ioapic0: Changing APIC ID to 1 ioapic0 <Version 1.1> irqs 0-23 on motherboard kbd1 at kbdmux0 acpi0: <VBOX VBOXXSDT> on motherboard acpi0: Power Button (fixed) acpi0: Sleep Button (fixed) Timecounter "ACPI-fast" frequency 3579545 Hz quality 900 acpi_timer0: <32-bit timer at 3.579545MHz> port 0x4008-0x400b on acpi0 cpu0: <ACPI CPU> on acpi0 pcib0: <ACPI Host-PCI bridge> port 0xcf8-0xcff on acpi0 pci0: <ACPI PCI bus> on pcib0 isab0: <PCI-ISA bridge> at device 1.0 on pci0 isa0: <ISA bus> on isab0 atapci0: <Intel PIIX4 UDMA33 controller> port 0x1f0-0x1f7,0x3f6,0x170-0x177,0x376,0xd000-0xd00f at device 1.1 on pci0 ata0: <ATA channel 0> on atapci0 ata1: <ATA channel 1> on atapci0 vgapci0: <VGA-compatible display> mem 0xe0000000-0xe0ffffff irq 18 at device 2.0 on pci0 em0: <Intel(R) PRO/1000 Legacy Network Connection 1.0.3> port 0xd010-0xd017 mem 0xf0000000-0xf001ffff irq 19 at device 3.0 on pci0 em0: Ethernet address: 08:00:27:9f:e0:92 pci0: <base peripheral> at device 4.0 (no driver attached) pcm0: <Intel ICH (82801AA)> port 0xd100-0xd1ff,0xd200-0xd23f irq 21 at device 5.0 on pci0 pcm0: <SigmaTel STAC9700/83/84 AC97 Codec> ohci0: <OHCI (generic) USB controller> mem 0xf0804000-0xf0804fff irq 22 at device 6.0 on pci0 usbus0: <OHCI (generic) USB controller> on ohci0 pci0: <bridge> at device 7.0 (no driver attached) acpi_acad0: <AC Adapter> on acpi0 atkbdc0: <Keyboard controller (i8042)> port 0x60,0x64 irq 1 on acpi0 atkbd0: <AT Keyboard> irq 1 on atkbdc0 kbd0 at atkbd0 atkbd0: [GIANT-LOCKED] psm0: <PS/2 Mouse> irq 12 on atkbdc0 psm0: [GIANT-LOCKED] psm0: model IntelliMouse Explorer, device ID 4 attimer0: <AT timer> port 0x40-0x43,0x50-0x53 on acpi0 Timecounter "i8254" frequency 1193182 Hz quality 0 Event timer "i8254" frequency 1193182 Hz quality 100 sc0: <System console> at flags 0x100 on isa0 sc0: VGA <16 virtual consoles, flags=0x300> vga0: <Generic ISA VGA> at port 0x3c0-0x3df iomem 0xa0000-0xbffff on isa0 atrtc0: <AT realtime clock> at port 0x70 irq 8 on isa0 Event timer "RTC" frequency 32768 Hz quality 0 ppc0: cannot reserve I/O port range Timecounters tick every 10.000 msec pcm0: measured ac97 link rate at 485193 Hz em0: link state changed to UP usbus0: 12Mbps Full Speed USB v1.0 ugen0.1: <Apple> at usbus0 uhub0: <Apple OHCI root HUB, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1> on usbus0 cd0 at ata1 bus 0 scbus1 target 0 lun 0 cd0: <VBOX CD-ROM 1.0> Removable CD-ROM SCSI-0 device cd0: 33.300MB/s transfers (UDMA2, ATAPI 12bytes, PIO 65534bytes) cd0: Attempt to query device size failed: NOT READY, Medium not present ada0 at ata0 bus 0 scbus0 target 0 lun 0 ada0: <VBOX HARDDISK 1.0> ATA-6 device ada0: 33.300MB/s transfers (UDMA2, PIO 65536bytes) ada0: 12546MB (25694208 512 byte sectors: 16H 63S/T 16383C) ada0: Previously was known as ad0 Timecounter "TSC" frequency 3007772192 Hz quality 800 Root mount waiting for: usbus0 uhub0: 8 ports with 8 removable, self powered Trying to mount root from ufs:/dev/ada0p2 [rw]... Setting hostuuid: 1848d7bf-e6a4-4ed4-b782-bd3f1685d551. Setting hostid: 0xa03479b2. Entropy harvesting: interrupts ethernet point_to_point kickstart. Starting file system checks: /dev/ada0p2: FILE SYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS /dev/ada0p2: clean, 2620402 free (714 frags, 327461 blocks, 0.0% fragmentation) Mounting local file systems:. vboxguest0 port 0xd020-0xd03f mem 0xf0400000-0xf07fffff,0xf0800000-0xf0803fff irq 20 at device 4.0 on pci0 vboxguest: loaded successfully Setting hostname: machine3.example.com. Starting Network: lo0 em0. lo0: flags=8049<UP,LOOPBACK,RUNNING,MULTICAST> metric 0 mtu 16384 options=3<RXCSUM,TXCSUM> inet6 ::1 prefixlen 128 inet6 fe80::1%lo0 prefixlen 64 scopeid 0x3 inet 127.0.0.1 netmask 0xff000000 nd6 options=21<PERFORMNUD,AUTO_LINKLOCAL> em0: flags=8843<UP,BROADCAST,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST> metric 0 mtu 1500 options=9b<RXCSUM,TXCSUM,VLAN_MTU,VLAN_HWTAGGING,VLAN_HWCSUM> ether 08:00:27:9f:e0:92 nd6 options=29<PERFORMNUD,IFDISABLED,AUTO_LINKLOCAL> media: Ethernet autoselect (1000baseT <full-duplex>) status: active Starting devd. Starting Network: usbus0. DHCPREQUEST on em0 to 255.255.255.255 port 67 DHCPACK from 10.0.2.2 bound to 192.168.1.142 -- renewal in 43200 seconds. add net ::ffff:0.0.0.0: gateway ::1 add net ::0.0.0.0: gateway ::1 add net fe80::: gateway ::1 add net ff02::: gateway ::1 ELF ldconfig path: /lib /usr/lib /usr/lib/compat /usr/local/lib 32-bit compatibility ldconfig path: /usr/lib32 Creating and/or trimming log files. Starting syslogd. No core dumps found. Clearing /tmp (X related). Updating motd:. Configuring syscons: blanktime. Generating public/private rsa1 key pair. Your identification has been saved in /etc/ssh/ssh_host_key. Your public key has been saved in /etc/ssh/ssh_host_key.pub. The key fingerprint is: 10:a0:f5:af:93:ae:a3:1a:b2:bb:3c:35:d9:5a:b3:f3 root@machine3.example.com The key's randomart image is: +--[RSA1 1024]----+ | o.. | | o . . | | . o | | o | | o S | | + + o | |o . + * | |o+ ..+ . | |==o..o+E | +-----------------+ Generating public/private dsa key pair. Your identification has been saved in /etc/ssh/ssh_host_dsa_key. Your public key has been saved in /etc/ssh/ssh_host_dsa_key.pub. The key fingerprint is: 7e:1c:ce:dc:8a:3a:18:13:5b:34:b5:cf:d9:d1:47:b2 root@machine3.example.com The key's randomart image is: +--[ DSA 1024]----+ | .. . .| | o . . + | | . .. . E .| | . . o o . . | | + S = . | | + . = o | | + . * . | | . . o . | | .o. . | +-----------------+ Starting sshd. Starting cron. Starting background file system checks in 60 seconds. Thu Oct 6 19:15:31 MDT 2011 FreeBSD/amd64 (machine3.example.com) (ttyv0) login: La génération des clés RSA et DSA peut prendre du temps sur les machines lentes. Cela ne se produit qu'au premier démarrage d'une nouvelle installation, et seulement si sshd a été configuré pour démarrer automatiquement. Les démarrages suivants seront plus rapides. &os; n'installe pas d'environnement graphique par défaut, mais de nombreux sont disponibles. Consultez pour plus d'information. Arrêt de &os; Arrêter proprement un ordinateur sous &os; aide à protéger les données et même le matériel de tout dommage. Ne coupez pas l'alimentation tant que le système n'est pas correctement arrêté. Si l'utilisateur est membre du groupe wheel, passez en super-utilisateur en tapant su sur la ligne de commande et en entrant le mot de passe de root. Sinon, ouvrez une session en tant que root et utilisez la commande shutdown -p now. Le système se fermera proprement et s'éteindra lui-même. La combinaison de touches Ctrl Alt Del peut être employée pour redémarrer le système, mais n'est pas recommandée en utilisation normale.
Dépannage installation dépannage La section suivante couvre le dépannage basique de l'installation, comme les problèmes courants rencontrés. Que faire si quelque chose se passe mal En raison des nombreuses limitations de l'architecture PC, il est impossible que la détection du matériel soit à 100% fiable, cependant, il y a quelques petites choses à essayer si cela échoue. Vérifier la liste du matériel supporté (http://www.FreeBSD.org/releases/index.html) de la version de &os; pour être sûr que votre matériel est bien supporté. Si le matériel est supporté et que des blocages ou autres problèmes surviennent, compiler un noyau personnalisé en utilisant les instructions de pour ajouter le support pour les périphériques qui ne sont pas présents dans le noyau GENERIC. Le noyau présent sur les disques de démarrage est configuré de telle façon qu'il supposera que la plupart des périphériques seront dans leur configuration d'usine en termes d'IRQs, d'adresses d'E/S, et canaux de DMA. Si le matériel a été reconfiguré, un fichier de configuration du noyau personnalisé peut indiquer à &os; où trouver les choses. Il est également possible que la détection d'un périphérique absent provoque plus tard l'échec de la détection d'un périphérique présent. Dans ce cas, les pilotes de périphériques conflictuels devraient être désactivés. Quelques problèmes d'installation peuvent être évités ou allégés en mettant à jour le firmware de divers composants matériels, en particulier la carte mère. Le firmware de la carte mère peut également être désigné par le terme BIOS. La plupart des constructeurs de cartes mères ou d'ordinateur disposent d'un site web où peuvent être trouvées les mises à jour et les informations de mises à jour. Les fabricants déconseillent fortement de mettre à jour le BIOS de la carte mère à moins d'avoir une bonne raison de le faire, comme une mise à jour critique. Le processus de mise à jour peut mal se passer, laissant un BIOS incomplet et l'ordinateur inutilisable. Questions et réponses de dépannage Mon système se bloque au démarrage pendant la détection du matériel, ou se comporte de manière étrange lors de l'installation. &os; utilise de manière intensive le système ACPI sur les plateformes i386, amd64 et ia64 s'il est détecté au démarrage pour aider à la détection du matériel. Malheureusement, des bogues persistent dans le pilote ACPI, et sur les cartes mères et leur BIOS. L'ACPI peut être désactivé en positionnant le paramètre hint.acpi.0.disabled pour le chargeur de démarrage: set hint.acpi.0.disabled="1" Ce paramètre est réinitialisé à chaque démarrage du système, il est donc nécessaire d'ajouter hint.acpi.0.disabled="1" au fichier /boot/loader.conf. Plus d'information au sujet du chargeur peut être trouvée dans la . Utilisation du <acronym>CD</acronym> Live Un CD live de &os; est disponible sur le même CD contenant le programme d'installation. C'est utile pour ceux qui se demandent si &os; est le bon choix et désirent tester certaines fonctionnalités avant l'installation. Les points suivants devront être pris en compte lors de l'utilisation du CD live: Pour utiliser le système, une authentification est nécessaire. Le nom d'utilisateur est root, sans mot de passe. Etant donné que le système s'exécute directement à partir du CD, le système sera bien plus lent que s'il était installé sur un disque dur. Le CD live propose une invite de commande et pas d'interface graphique.