diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install/chapter.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install/chapter.sgml index 90cda860da..73b12f541c 100644 --- a/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install/chapter.sgml +++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/handbook/install/chapter.sgml @@ -1,6639 +1,6639 @@ Jim Mock Restructuré, réorganisé, et en partie réécrit par Randy Pratt Le guide de sysinstall, les copies d'écrans, et la plupart du texte sont de Installer FreeBSD &trans.a.fonvieille; Synopsis installation FreeBSD est fournit avec un programme texte d'installation, facile d'emploi, appelé sysinstall. C'est le programme d'installation par défaut de FreeBSD, bien que les vendeurs soient libres de fournir leur propre suite d'installation s'ils le désirent. Ce chapitre décrit comment utiliser sysinstall pour installer FreeBSD. Après la lecture de ce chapitre, vous saurez: Comment créer les disquettes d'installation de FreeBSD. Comment FreeBSD attribue, et subdivise votre disque dur. Comment lancer sysinstall. Les questions que sysinstall vous posera, ce qu'elles signifient, et comment y répondre. Avant de lire ce chapitre, vous devrez: Lire la liste du matériel supporté fournie avec la version de FreeBSD que vous allez installer, et vérifier que votre matériel est supporté. En général, ces instructions d'installation sont écrites pour l'architecture i386 (“compatible PC”). Où elles seront applicables, les instructions spécifiques à d'autres plateformes (par exemple Alpha) seront indiquées. Tâches de Pré-installation Inventoriez votre ordinateur Avant d'installer FreeBSD vous devriez faire l'inventaire des composants de votre ordinateur. Les routines d'installation de FreeBSD afficheront ces composants (disques durs, cartes réseaux, lecteurs de CDROM et ainsi de suite) avec leur type et leur constructeur. FreeBSD essaiera également de déterminer la configuration correcte pour ces périphériques, ce qui inclut les informations sur les IRQs et l'utilisation des ports d'E/S. En raison des caprices du matériel PC ce processus n'est pas toujours complètement réussi, et vous pourrez avoir besoin de corriger FreeBSD dans sa détection de votre configuration. Si vous avez déjà un autre système d'exploitation installé, tel que Windows ou Linux, c'est une bonne idée d'utiliser les moyens que proposent ces systèmes d'exploitation pour voir comment votre matériel est actuellement configuré. Si vous n'êtes pas vraiment sûr des réglages utilisés par une carte d'extension, vous pouvez les trouver imprimés sur la carte elle-même. Des valeurs d'IRQ courantes sont 3, 5 et 7, et les ports d'E/S sont normalement inscrits en hexadécimal, comme par exemple 0x330. Nous vous recommandons de prendre note de ces informations avant d'installer FreeBSD. Il pourra être utile d'utiliser une table comme celle-ci: Exemple d'Inventaire de Périphériques Nom du Périphérique IRQ Port(s) d'E/S Notes Premier disque dur N/A N/A 4 GO, fabriqué par Seagate, premier disque IDE maître CDROM N/A N/A Premier disque IDE esclave Second disque dur N/A N/A 2GO, fabriqué par IBM, second disque IDE maître Premier contrôleur IDE 14 0x1f0 Carte réseau N/A N/A Intel 10/100 Modem N/A N/A 3Com 56K faxmodem, sur COM1
Sauvegardez vos données Si l'ordinateur sur lequel vous allez installer FreeBSD contient des données importantes alors assurez vous que vous les avez sauvegardées, et que vous avez testé ces sauvegardes avant d'installer FreeBSD. Le programme d'installation de FreeBSD vous sollicitera plusieurs fois avant d'écrire sur votre disque, mais une fois que ce processus aura été lancé, il ne pourra être annulé. Où installer FreeBSD? Si vous voulez que FreeBSD utilise tout votre disque, alors il n'y rien de particulier à ajouter à ce niveau là — vous pouvez passer à la section suivante. Cependant, si FreeBSD doit coexister avec d'autres systèmes d'exploitation alors vous avez besoin de comprendre approximativement comment les données sont disposées sur le disque, et comment cela vous affecte. Organisation des disques pour l'architecture i386 Le disque d'un PC peut être divisé en parties indépendantes. Ces parties sont appelées partitions. De par sa conception le PC ne supporte que quatre partitions par disque. Ces partitions sont appelées partitions primaires. Pour contourner cette limitation et autoriser plus de quatre partitions, un nouveau type de partition a été créé, la partition étendue. Un disque ne pourra contenir qu'une seule partition étendue. Des partitions spéciales, appelées partitions logiques, peuvent être créées à l'intérieur de la partition étendue. Chaque partition a un identifiant de partition, qui est un nombre utilisé pour identifier le type de donnée présent sur la partition. Les partitions de FreeBSD ont l'identifiant 165. En général, chaque système d'exploitation que vous utilisez identifiera les partitions d'une manière particulière. Par exemple, DOS, et ses descendants, comme Windows, associe à chaque partition primaire et logique une lettre appelée lecteur, en commençant avec C:. FreeBSD doit être installé sur une partition primaire. FreeBSD peut conserver toutes ses données, y compris tous les fichiers que vous créez, sur cette partition. Cependant, si vous avez de multiples disques, alors vous pouvez créer une partition FreeBSD sur tous ou certains d'entre eux. Quand vous installez FreeBSD, vous devez avoir une partition disponible. Cela pourrait être une partition vierge que vous avez préparé, ou une partition existante qui contient des données dont vous n'avez plus besoin. Si vous utilisez déjà toutes les partitions sur tous vos disques, alors vous devrez libérer l'une d'elle pour FreeBSD à l'aide des outils fournis par les autre systèmes d'exploitation (e.g. fdisk sous DOS ou Windows). Si vous avez une partition disponible alors vous pouvez l'utiliser. Cependant, vous aurez peut être besoin de diminuer une ou plusieurs de vos partitions existantes en premier lieu. Une installation minimale de FreeBSD prend aussi peu que 100 MO d'espace disque. Cependant c'est vraiment une installation minimale, ne laissant presqu'aucun espace pour vos propres fichiers. Un minimum plus réaliste est 250 MO sans environnement graphique, et 350 MO ou plus si vous désirez une interface graphique. Si vous avez l'intention d'installer beaucoup d'applications alors vous aurez besoin de plus d'espace. Vous pouvez utiliser un outil commercial comme Partition Magic pour redimensionner vos partitions pour faire de la place à FreeBSD. Le répertoire tools sur le CDROM contient deux logiciels libres qui peuvent effectuer cette tâche, FIPS et PResizer. La documentation pour ces deux programmes se trouve dans le même répertoire. Une utilisation incorrecte de ces outils peut détruire les données sur votre disque. Soyez sûr d'avoir des sauvegardes récentes et qui fonctionnent avant d'utiliser ces outils. Utilisation d'une partition existante Supposez que vous avez un ordinateur avec un seul disque de 4 GO qui a déjà une version de Windows installée, et que vous avez divisé ce disque en deux lecteurs C: et D:, chacun de 2 GO. Vous avez 1GO de donnée sur C: et 0.5 GO sur D:. Cela signifie que vous avez deux partitions sur ce disque, une par lecteur. Vous pouvez transférer toutes les données de D: vers C:, ce qui libérera la partition pour FreeBSD. Redimensionner une partition existante Supposez que vous avez un ordinateur avec un seul disque de 4 GO qui a déjà une version de Windows installée. Quand vous avez installé Windows vous avez créé une seule grande partition, vous donnant un lecteur C: de 4 GO. Vous utilisez actuellement un espace de 1.5 GB, et vous désirez 2 GO pour FreeBSD. Afin d'installer FreeBSD vous devrez soit: Sauvegarder vos données Windows, et ensuite réinstaller Windows, en utilisant qu'une partition de 2 GO à l'installation. Soit utiliser un des outils comme Partition Magic, décrits plus haut, pour redimensionner votre partition Windows; Organisation des disques pour l'architecture Alpha Alpha Vous aurez besoin d'un disque dédié pour FreeBSD sur un Alpha. Il n'est pas possible de partager un disque avec un autre système d'exploitation pour le moment. Selon le type de machine Alpha dont vous disposez, ce disque peut soit être un disque SCSI ou un disque IDE, dès l'instant que votre machine est capable de démarrer depuis ce disque. Suivant les conventions des manuels de Digital / Compaq, toute entrée SRM sera donnée en majuscule. SRM n'est pas sensible à la casse des caractères. Pour déterminer les noms et les types de disques présent dans votre machine, utilisez la commande SHOW DEVICE à l'invite de la console SRM: >>>show device dka0.0.0.4.0 DKA0 TOSHIBA CD-ROM XM-57 3476 dkc0.0.0.1009.0 DKC0 RZ1BB-BS 0658 dkc100.1.0.1009.0 DKC100 SEAGATE ST34501W 0015 dva0.0.0.0.1 DVA0 ewa0.0.0.3.0 EWA0 00-00-F8-75-6D-01 pkc0.7.0.1009.0 PKC0 SCSI Bus ID 7 5.27 pqa0.0.0.4.0 PQA0 PCI EIDE pqb0.0.1.4.0 PQB0 PCI EIDE Cet exemple provient d'une machine “Digital Personal Workstation 433au” et fait apparaître trois disques attachés à la machine. Le premier est un lecteur de CDROM appelé DKA0 et les deux autres sont des disques dur nommés respectivement DKC0 et DKC100. Les disques avec des noms de la forme DKx sont des disques SCSI. Par exemple DKA100 correspond à un disque SCSI situé sur le premier bus SCSI (A) et avec pour identifiant 1, tandis que DKC300 correspond à un disque SCSI situé sur le troisième bus (C) et ayant l'identifiant 3. Le nom de périphérique PKx correspond au contrôleur SCSI. Comme le montre le résultat de la commande SHOW DEVICE, les lecteurs de CDROM SCSI sont traités comme n'importe quel disque dur SCSI. Les disque IDE ont des noms du type DQx et PQx correspond au contrôleur IDE associé. Connaître la configuration de votre réseau Si vous avez l'intention d'utiliser un réseau pour votre installation de FreeBSD (par exemple, si vous allez installer à partir d'un site FTP, ou d'un serveur NFS), alors vous devez connaître votre configuration réseau. On vous demandera ces informations durant l'installation afin que FreeBSD puisse se connecter au réseau pour terminer l'installation. Connexion par réseau Ethernet, ou modem Cable/DSL Si vous vous connectez à un réseau Ethernet, ou que vous avez une connexion Internet par câble ou DSL, alors vous aurez besoin des informations suivantes: Adresse IP. Adresse IP de la passerelle par défaut. Nom de l'hôte. Adresses IP du serveur DNS. Si vous ne connaissez pas ces informations, alors adressez-vous à votre administrateur système ou votre fournisseur d'accès. Ils peuvent vous dire que ces informations sont assignées automatiquement par l'intermédiaire de DHCP. Si c'est le cas prenez en note. Connexion par modem Si vous vous connectez à un fournisseur d'accès en utilisant un modem classique alors vous pouvez toujours installer FreeBSD en utilisant Internet, cela prendra juste beaucoup de temps. Vous devrez connaître: Le numéro de téléphone de connexion à votre fournisseur d'accès. Le COM: le port auquel votre modem est connecté. Le nom d'utilisateur et le mot de passe de votre compte Internet. Vérifier l'Errata Bien que le projet FreeBSD s'efforce de s'assurer que chaque version de FreeBSD soit aussi stable que possible, des bogues peuvent parfois exister. Il est très rare que ces bogues affectent le processus d'installation. Dès que ces problèmes sont découverts et corrigés, ils sont notés dans l'Errata de FreeBSD, présent sur le site web de FreeBSD. Vous devriez vérifier l'errata avant l'installation afin d'être sûr qu'il n'y a pas de problème de dernière minute à prendre en compte. Les informations sur chaque version, y compris les errata, peuvent être trouvé dans la section d'information sur les différentes versions située sur le site web de FreeBSD. Obtenir les fichiers d'installation de FreeBSD Le processus d'installation de FreeBSD peut installer FreeBSD à partir de fichiers placés dans les endroits suivants: Un média local Un CDROM Une partition DOS sur le même ordinateur Une bande Des disquettes Le réseau Un site FTP, en passant par un coupe-feu, ou en utilisant un proxy HTTP si nécessaire Un serveur NFS Une connexion dédiée parallèle ou série Si vous avez acheté FreeBSD sur CD ou DVD alors vous disposez déjà de ce que vous avez besoin, et vous devriez passer à la section suivante (Préparer les supports de démarrage ). Si vous n'avez pas récupéré les fichiers d'installation de FreeBSD vous devriez aller directement à la qui explique comment se préparer à installer FreeBSD à partir d'une des solutions données ci-dessus. Après avoir lu cette section, vous devrez revenir ici, et continuer la lecture avec la . Préparer les supports de démarrage Le processus d'installation de FreeBSD est lancé en démarrant votre ordinateur dans l'installateur de FreeBSD—ce n'est pas un programme que vous exécutez à partir d'un autre système d'exploitation. Votre ordinateur démarre normalement en utilisant le système d'exploitation installé sur votre disque dur, mais il peut également être configuré pour utiliser une disquette “bootable”. Il pourra également être capable de démarrer à partir du lecteur de CDROM. Si vous avez FreeBSD sur CDROM ou DVD (soit un que vous avez acheté, soit préparez vous-même), et que votre ordinateur vous permet de démarrer sur le lecteur de CDROM ou DVD (typiquement une option du BIOS appelée “Boot Order” ou équivalent) alors vous pouvez passer cette section. Les CDROMs ou DVDs de FreeBSD sont bootable et peuvent être utilisés pour installer FreeBSD sans autre préparation. Pour créer les images des disquettes de démarrage, suivez les étapes suivantes: Obtenir les images des disquettes de démarrage Les images des disquettes de démarrage sont disponibles sur votre média d'installation dans le répertoire floppies/ et peuvent également être téléchargées sur le site FTP depuis le répertoire floppies pour l'architecture i386 et depuis ce répertoire floppies pour l'architecture Alpha. Les images de disquettes ont l'extension .flp. Le répertoire floppies/ contient un certain nombre d'images différentes, et celles que vous devrez utiliser dépendent de la version de FreeBSD que vous allez installer, et dans certains cas, du matériel sur lequel vous effectuez l'installation. Dans la plupart des cas vous aurez juste besoin de deux fichiers, kern.flp et mfsroot.flp. Des pilotes de périphériques supplémentaires peuvent être nécessaires pour certains systèmes. Ces pilotes sont fournis sur l'image drivers.flp. Consultez README.TXT dans le même répertoire pour une information actualisée sur ces images de disquette. Votre programme FTP doit utiliser le mode binaire pour télécharger ces images. Quelques navigateurs sont connus pour employer le mode texte (ou ASCII), ce qui sera manifeste si vous ne pouvez démarrer depuis ces images. Préparer les disquettes Vous devez préparer une disquette par fichier que vous avez dû télécharger. Il est impératif que ces disquettes soient exemptes de défauts. La manière la plus simple de tester cela est de les formater soi-même. Ne faites pas confiance aux disquettes préformatées. Si vous essayez d'installer FreeBSD et que le programme d'installation “plante”, se bloque, ou présente d'autres disfonctionnements, les premières choses à suspecter sont les disquettes. Essayez de copier les images sur d'autres disquettes et essayez encore. Ecrire les fichiers image sur les disquettes Les fichiers .flp ne sont pas des fichiers que vous pouvez copier directement sur une disquette. Au lieu de cela, ce sont des images du contenu complet de disquettes. Cela signifie que vous ne pouvez pas utiliser des commandes comme la commande DOS copy pour écrire ces fichiers. Vous devez utilisez des outils spécifiques pour écrire directement les images sur les disquettes. DOS Si vous créez ces disquettes depuis un ordinateur fonctionnant sous DOS/Windows, alors nous fournissons pour faire cela un outil appelé fdimage. Si vous utilisez les images présentes sur le CDROM, et que votre lecteur CDROM est E:, alors vous devez procéder comme suit: E:\> tools\fdimage floppies\kern.flp A: Répétez cette commande pour chaque fichier .flp, en remplaçant la disquette à chaque fois, en étant sûr de noter sur les disquettes le nom du fichier copié. Ajuster la ligne de commande selon l'endroit où vous avez placé les fichiers .flp. Si vous n'avez pas de CDROM, alors fdimage peut être téléchargé de puis le répertoire tools sur le site FTP de FreeBSD. Si vous créez les disquettes depuis un système Unix (comme par exemple un autre système FreeBSD) vous pouvez utiliser la commande &man.dd.1; pour écrire les fichiers image directement sur les disquettes. Sur FreeBSD, vous lanceriez: &prompt.root; dd if=kern.flp of=/dev/fd0 Sur FreeBSD, /dev/fd0 correspond au premier lecteur de disquettes ( le lecteur A:). /dev/fd1 serait le lecteur B:, et ainsi de suite. D'autres variantes d'Unix peuvent avoir des noms différents pour les lecteurs de disquettes, et vous devrez consulter la documentation du système si besoin est. Vous êtes maintenant prêt à commencer l'installation de FreeBSD.
Débuter l'installation Par défaut, le processus d'installation ne modifiera rien sur le(s) disque(s) dur(s) jusqu'à ce que vous voyiez le message suivant. Last Chance: Are you SURE you want continue the installation? If you're running this on a disk with data you wish to save then WE STRONGLY ENCOURAGE YOU TO MAKE PROPER BACKUPS before proceeding! We can take no responsibility for lost disk contents! L'installation peut être quittée à tout moment avant l'avertissement final sans changer le contenu du disque dur. Si vous avez mal configuré quelque chose, vous pouvez juste éteindre l'ordinateur avant l'étape finale sans aucun risque. Démarrage Démarrage pour l'architecture i386 Commencez avec votre ordinateur éteint. Allumez l'ordinateur. En démarrant il devrait afficher une option pour entrer dans le menu de configuration du système, ou BIOS, généralement à l'aide des touches F2, F10, Suppr, ou Alt S . Employez ce qui est indiqué à l'écran. Dans certains cas votre ordinateur peut afficher une image pendant son démarrage. Typiquement, l'appui sur Esc effacera l'image et vous permettra de voir les messages de démarrage. Trouvez le paramètre qui contrôle à partir de quel périphérique le système démarre. Cela est généralement sous forme d'une liste de périphériques, comme Floppy, CDROM, First Hard Disk, et ainsi de suite. Si vous avez dû préparer des disquettes de démarrage, assurez-vous alors que le lecteur de disquettes est sélectionné. Si vous démarrez depuis le CDROM alors vérifiez que c'est celui-ci qui est sélectionné à la place. En cas de doute, vous devriez consulter le manuel fourni avec votre ordinateur, et/ou sa carte mère. Effectuez les changements, ensuite sauvez et quittez. L'ordinateur devrait maintenant redémarrer. Si vous avez dû préparer des disquettes de démarrage, comme décrit dans la alors l'une d'elles sera la première disquette de démarrage, probablement celle contenant kern.flp. Introduisez cette disquette dans votre lecteur. Si vous démarrez depuis le CDROM, alors vous devrez allumer votre ordinateur, et insérer le CDROM à la première occasion. Si votre ordinateur démarre comme à l'accoutumé, et charge le système d'exploitation existant, alors soit: Les disques (CDROM ou disquette) n'ont pas été insérés assez tôt dans le processus de démarrage. Laissez-les, et essayez de redémarrer votre ordinateur. Soit les changements du BIOS, plus tôt, n'ont pas fonctionné correctement. Vous devriez refaire cette étape jusqu'à obtenir la bonne option. FreeBSD démarrera. Si vous démarrez depuis le CDROM vous verrez un affichage similaire à ceci (information sur la version omise): Verifying DMI Pool Data ........ Boot from ATAPI CD-ROM : 1. FD 2.88MB System Type-(00) Uncompressing ... done BTX loader 1.00 BTX version is 1.01 Console: internal video/keyboard BIOS drive A: is disk0 BIOS drive B: is disk1 BIOS drive C: is disk2 BIOS drive C: is disk3 BIOS 639kB/261120kB available memory FreeBSD/i386 bootstrap loader, Revision 0.8 /kernel text=0x277391 data=0x3268c+0x332a8 | | Hit [Enter] to boot immediately, or any other key for command prompt. Booting [kernel] in 9 seconds... _ Si vous démarrez depuis une disquette, vous verrez un affichage similaire à ceci (information sur la version omise): Verifying DMI Pool Data ........ BTX loader 1.00 BTX version is 1.01 Console: internal video/keyboard BIOS drive A: is disk0 BIOS drive C: is disk1 BIOS 639kB/261120kB available memory FreeBSD/i386 bootstrap loader, Revision 0.8 /kernel text=0x277391 data=0x3268c+0x332a8 | Please insert MFS root floppy and press enter: Suivez ces instructions en retirant la disquette kern.flp, puis insérez la disquette mfsroot.flp et enfin appuyez sur Entrée. Indépendamment du démarrage à partir de disquettes ou de CDROM, le processus de démarrage vous amènera au point suivant. Hit [Enter] to boot immediately, or any other key for command prompt. Booting [kernel] in 9 seconds... _ Attendez dix secondes, ou appuyez sur Entrée. Cela lancera le menu de configuration du noyau. Démarrage pour l'architecture Alpha Alpha Commencez avec votre ordinateur éteint. Allumez votre ordinateur et attendez l'invite de commande du moniteur de démarrage. Si vous avez dû préparer des disquettes de démarrage, comme décrit dans la alors l'une d'elles sera la première disquette de démarrage, probablement celle contenant kern.flp. Introduisez cette disquette dans votre lecteur et tapez les commandes suivantes pour démarrer la disquette (en remplaçant le nom de votre lecteur de disquette si nécessaire): >>>BOOT DVA0 -FLAGS '' -FILE '' Si vous démarrez depuis le CDROM, insérez le CDROM dans son lecteur et tapez la commande suivante pour démarrer l'installation (en remplaçant le nom du lecteur de CDROM si nécessaire par celui approprié): >>>BOOT DKA0 -FLAGS '' -FILE '' FreeBSD démarrera. Si vous démarrez depuis une disquette, au bout d'un moment vous verrez le message: Please insert MFS root floppy and press enter: Suivez ces instructions en retirant la disquette kern.flp, puis insérez la disquette mfsroot.flp et enfin appuyez sur Entrée. Indépendamment du démarrage à partir de disquettes ou du CDROM, le processus de démarrage vous amènera au point suivant. Hit [Enter] to boot immediately, or any other key for command prompt. Booting [kernel] in 9 seconds... _ Attendez dix secondes, ou appuyez sur Entrée. Cela lancera le menu de configuration du noyau. Configuration du noyau Sur les versions de FreeBSD 5.X et suivantes la configuration du noyau à l'installation est tombée en désuétude en faveur de la nouvelle méthode utilisant les &man.device.hints.5;. Pour plus d'information sur les &man.device.hints.5; veuillez lire Le noyau est le coeur du système d'exploitation. Il est responsable de nombreuses choses, y compris l'accès à tous les périphériques que vous pouvez avoir sur votre système, comme les disques durs, les cartes réseaux, les cartes son, etc... Chaque élément matériel supporté par le noyau de FreeBSD a un pilote de périphérique associé. Chaque pilote de périphérique a un nom en deux ou trois lettres, comme sa pour le pilote d'accès séquentiel SCSI, ou sio pour le pilote d'E/S série (qui contrôle les ports COMs). Quand le noyau démarre, chaque pilote contrôle le système pour voir si le matériel qu'il supporte existe sur votre système. Si c'est la cas, alors le pilote configure le matériel et le rend disponible au reste du noyau. Ce contrôle est souvent désigné sous le nom de device probing. Malheureusement, il n'est pas toujours possible de faire cela d'une manière sûre. Certains pilotes de périphériques ne coexistent pas bien ensemble, et sonder un périphérique peut parfois en laisser un autre dans un état incorrect. C'est une limitation de base de l'architecture PC. Beaucoup de périphériques anciens sont appelés périphériques ISA—à l'opposé des périphériques PCI. La spécification ISA exige que chaque périphérique ait des informations codées “en dur” sur le périphérique, généralement le numéro de la ligne de requête d'interruption (IRQ) et l'adresse du port d'E/S que le pilote utilise. Cette information est généralement configurée en utilisant des cavaliers sur la carte, ou en utilisant un utilitaire DOS. C'était souvent une source de problèmes, parce qu'il n'était pas possible que deux périphériques partagent la même IRQ ou adresse de port. Les nouveaux périphériques suivent la spécification PCI, qui ne requiert pas cela, car les périphériques sont censés coopérer avec le BIOS, et se voir préciser quel IRQ et port d'E/S à employer. Si vous avez des périphériques ISA dans votre ordinateur alors le pilote FreeBSD pour ce périphérique devra être configuré avec l'IRQ et l'adresse de port de la carte. C'est pourquoi l'établissement d'un inventaire de votre matériel (voir ) peut être utile. Malheureusement, les valeurs par défaut des IRQs et des ports mémoire utilisés par certains pilotes entrent en conflit. C'est parce que certains périphériques ISA sont livrés avec des IRQs ou des ports mémoires incompatibles. Les valeurs par défaut des pilotes de FreeBSD sont délibérément fixées de façon à refléter les valeurs par défaut des constructeurs, de sorte que le plus grand nombre de périphériques fonctionne sans intervention. Ce n'est presque jamais un problème quand on utilise FreeBSD quotidiennement. Votre ordinateur ne contiendra pas normalement deux périphériques incompatibles, parce que l'un d'eux ne fonctionnerait pas (indépendamment du système d'exploitation que vous utilisez). Cela devient un problème quand vous installez FreeBSD pour la première fois parce que le noyau utilisé pour effectuer l'installation doit contenir autant de pilotes que possible, de sorte que de nombreuses configurations matérielles différentes puissent être supportées. Cela signifie que certains de ces pilotes peuvent avoir des configurations incompatibles. Les périphériques sont scrutés dans un ordre strict, et si vous possédez un périphérique qui est sondé plus tard dans le processus, mais entrant en conflit avec avec un précédemment détecté alors votre matériel pourrait ne pas fonctionner ou être détecté correctement quand vous installez FreeBSD. Pour cette raison, la première chose que vous avez l'occasion de faire en installant FreeBSD est de consulter la liste des pilotes configurés dans le noyau, et soit en désactiver certains, si vous ne possédez pas le périphérique, soit confirmer (et modifier) la configuration du pilote si vous possédez le périphérique mais que les valeurs par défaut sont incorrectes. Cela semble probablement bien plus compliqué que cela ne l'est en réalité. La présente le premier menu de configuration du noyau. Nous recommandons de choisir l'option Start kernel configuration in full-screen visual mode étant donné qu'elle présente l'interface la plus simple pour le nouvel utilisateur.
Menu de configuration du noyau &txt.install.userconfig;
L'écran de configuration du noyau () est alors divisé en quatre parties. Une liste déroulante de tous les pilotes de périphériques qui sont actuellement actifs, divisée en groupe comme Storage, et Network. Chaque pilote est affiché avec une description, son nom en deux ou trois lettres, et l'IRQ et le port mémoire utilisés par ce pilote. De plus, si un pilote actif est en conflit avec un autre pilote actif alors le terme CONF est affiché à côté du nom du pilote. Cette partie donne également le nombre total de pilotes en conflit qui sont actuellement activés. Les pilotes qui ont été désactivés. Ils restent dans le noyau, mais leurs périphériques correspondant ne seront pas sondés quand le noyau sera lancé. Ils sont divisés en groupes de la même manière que la liste des pilotes actifs. Plus de détails sur le pilote actuellement sélectionné, dont son IRQ et son adresse de port mémoire. Des informations sur les combinaisons de touches valides à ce moment.
L'interface de configuration des pilotes de périphériques du noyau &txt.install.userconfig2;
A ce niveau il y aura toujours des conflits affichés. Ne vous inquiétez pas, c'était prévisible; tous les pilotes de périphériques sont activés, et comme cela a déjà été expliqué, certains seront en conflit avec d'autres. Vous devez maintenant parcourir cette liste de pilotes et résoudre les conflits. Résoudre les conflits de pilotes de périphériques Appuyez sur X. Cela déroulera complètement la liste de pilotes, vous permettant ainsi de tous les visualiser. Vous devrez utiliser les touches fléchées pour monter et descendre dans la liste des pilotes actifs. La montre le résultat de l'appui sur X.
Liste complète des pilotes actifs
Désactivez tous les pilotes de périphériques que vous ne possédez pas. Pour désactiver un pilote, sélectionnez-le à l'aide des touches fléchées et appuyez sur Del. Le pilote sera transféré dans la liste des pilotes inactifs (Inactive Drivers). Si vous désactivez par mégarde un périphérique dont vous avez besoin alors appuyez sur Tab pour passez à la liste Inactive Drivers, sélectionnez le pilote que vous avez désactivé, et appuyez sur Entrée pour le ramener dans la liste des pilotes actifs. Ne pas désactiver sc0. Ce dernier contrôle l'écran, et vous en aurez besoin à moins que vous n'installiez pas l'intermédiaire d'un câble série. Ne désactiver atkbd0 que si vous utilisez un clavier USB. Si vous avez un clavier standard alors vous devez conserver atkbd0. S'il n'y a aucun conflit d'affiché alors vous pouvez passer cette étape. Sinon, les conflits restant doivent être examinés. S'ils n'ont pas l'indication de conflits autorisés (“allowed conflict”) dans la zone de message, alors soit l'IRQ/adresse de détection du périphérique devra être modifiée, soit l'IRQ/adresse sur le matériel devra être modifiée. Pour modifier la configuration du pilote pour l'IRQ ou l'adresse du port d'E/S, sélectionnez le périphérique et appuyez sur Entrée. Le curseur passera à la troisième partie de l'écran, et vous pourrez changer les valeurs. Vous devriez entrer les valeurs d'IRQ et d'adresse de port que vous avez trouvées lors de l'inventaire de votre matériel. Appuyez sur Q pour terminer l'édition de la configuration du périphérique et retourner dans la liste des pilotes actifs. Si vous n'êtes pas sûr de ce que devraient être ces valeurs, vous pouvez essayez d'utiliser -1. Certains pilotes FreeBSD peuvent sans risques sonder le matériel pour déterminer les valeurs correctes, et la valeur -1 les configure à faire cela. La procédure pour changer les adresses sur le matériel varie d'un périphérique à l'autre. Pour certains périphériques vous devrez retirer la carte de votre ordinateur et ajuster les cavaliers ou les commutateurs DIP. D'autres cartes peuvent être fournies avec une disquette DOS qui contient les programmes utilisés pour reconfigurer la carte. Dans tous les cas, vous devriez consulter la documentation fournie avec le périphérique. Cela nécessitera évidemment de remettre en marche votre ordinateur, et vous devrez relancer la routine d'installation de FreeBSD quand vous aurez reconfiguré la carte. Quand tous les conflits seront résolus, l'écran devrait ressembler à la .
Configuration des pilotes de périphériques sans conflits
Comme vous pouvez le voir la liste des pilotes est plus petite, avec uniquement les pilotes pour le matériel existant listés. Vous pouvez maintenant sauver ces changements, et passer à l'étape suivante de l'installation. Appuyez sur Q pour quitter l'interface de configuration des périphériques. Ce message apparaîtra. Save these parameters before exiting? ([Y]es/[N]o/[C]ancel) Répondez Y pour sauver les - paramètres et la détection du matériel + paramètres en mémoire (ils seront sauvegardés sur le disque si vous terminez l'installation) et la détection du matériel commencera. Après l'affichage des résultats de la détection en texte blanc sur fond noir, sysinstall démarrera et affichera son menu principal ().
Menu principal de sysinstall
Examen des résultats de la détection du matériel La dernière centaine de lignes qui a été affichée à l'écran est stockée et peut être relue. Pour relire le tampon, appuyez sur Arrêt Défil. Cela activera le défilement de l'affichage. Vous pouvez alors utiliser les touches fléchées, ou PageUp et PageDown pour visualiser les résultats. Appuyer à nouveau sur Arrêt Défil pour revenir dans le mode normal. Faites cela maintenant, pour relire le texte qui a défilé en dehors de l'écran quand le noyau effectuait la détection du matériel. Vous verrez quelque chose de semblable à la , bien que le texte sera différent en fonction des périphériques que vous avez dans votre ordinateur.
Résultats typiques de la détection du matériel avail memory = 253050880 (247120K bytes) Preloaded elf kernel "kernel" at 0xc0817000. Preloaded mfs_root "/mfsroot" at 0xc0817084. md0: Preloaded image </mfsroot> 4423680 bytes at 0xc03ddcd4 md1: Malloc disk Using $PIR table, 4 entries at 0xc00fde60 npx0: <math processor> on motherboard npx0: INT 16 interface pcib0: <Host to PCI bridge> on motherboard pci0: <PCI bus> on pcib0 pcib1:<VIA 82C598MVP (Apollo MVP3) PCI-PCI (AGP) bridge> at device 1.0 on pci0 pci1: <PCI bus> on pcib1 pci1: <Matrox MGA G200 AGP graphics accelerator> at 0.0 irq 11 isab0: <VIA 82C586 PCI-ISA bridge> at device 7.0 on pci0 isa0: <iSA bus> on isab0 atapci0: <VIA 82C586 ATA33 controller> port 0xe000-0xe00f at device 7.1 on pci0 ata0: at 0x1f0 irq 14 on atapci0 ata1: at 0x170 irq 15 on atapci0 uhci0: <VIA 83C572 USB controller> port 0xe400-0xe41f irq 10 at device 7.2 on pci0 usb0: <VIA 83C572 USB controller> on uhci0 usb0: USB revision 1.0 uhub0: VIA UHCI root hub, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1 uhub0: 2 ports with 2 removable, self powered pci0: <unknown card> (vendor=0x1106, dev=0x3040) at 7.3 dc0: <ADMtek AN985 10/100BaseTX> port 0xe800-0xe8ff mem 0xdb000000-0xeb0003ff ir q 11 at device 8.0 on pci0 dc0: Ethernet address: 00:04:5a:74:6b:b5 miibus0: <MII bus> on dc0 ukphy0: <Generic IEEE 802.3u media interface> on miibus0 ukphy0: 10baseT, 10baseT-FDX, 100baseTX, 100baseTX-FDX, auto ed0: <NE2000 PCI Ethernet (RealTek 8029)> port 0xec00-0xec1f irq 9 at device 10. 0 on pci0 ed0 address 52:54:05:de:73:1b, type NE2000 (16 bit) isa0: too many dependant configs (8) isa0: unexpected small tag 14 orm0; <Option ROM> at iomem 0xc0000-0xc7fff on isa0 fdc0: <NEC 72065B or clone> at port 0x3f0-0x3f5,0x3f7 irq6 drq2 on isa0 fdc0: FIFO enabled, 8 bytes threshold fd0: <1440-KB 3.5" drive> on fdc0 drive 0 atkbdc0: <keyboard controller (i8042)> at port 0x60-0x64 on isa0 atkbd0: <AT Keyboard> flags 0x1 irq 1 on atkbdc0 kbd0 at atkbd0 psm0: <PS/2 Mouse> irq 12 on atkbdc0 psm0: model Generic PS/2 mouse, device ID 0 vga0: <Generic ISA VGA> at port 0x3c0-0c3df iomem 0xa0000-0xbffff on isa0 sc0: <System console> at flags 0x100 on isa0 sc0: VGA <16 virtual consoles, flags-0x300> sio0 at port 0x3f8-0x3ff irq 4 flags 0x10 on isa0 sio0: type 16550A sio1: at port 0x2f8-0x2ff irq3 on isa0 sio1: type 16550A ppc0: <Parallel port> at port 0x378-0x37f irq 7 on isa0 ppc0: SMC-like chipset (ECP/EPP/PS2/NIBBLE) in COMPATIBLE mode ppc0: FIFO with 16/16/15 bytes threshold plip0: <PLIP network interface> on ppbus0 ad0: 8063MB <IBM-DHEA-38451> [16383/16/63] at ata0-master using UDMA33 acd0: CD-RW <LITE-ON LTR-1210B> at ata1-slave PIO4 Mounting root from ufs:/dev/md0c /stand/sysinstall running as init on vty0
Vérifiez les résultats de la détection soigneusement pour s'assurer que FreeBSD a trouvé tous les périphériques que vous attendiez. Si un périphérique n'a pas été trouvé, il ne sera alors pas affiché. Si le pilote de périphérique exigeait une configuration d'IRQ et d'adresse de port alors vous devriez vérifier que vous les avez entrées correctement. Si vous devez effectuer des changements à la configuration de la détection du matériel, il est facile de quitter le programme sysinstall et recommencer à nouveau. C'est une bonne manière de se familiariser un peu plus avec le processus.
Quitter sysinstall
Utilisez les touches fléchées pour sélectionner Exit Install dans le menu principal d'installation. Le message suivant apparaîtra: User Confirmation Requested Are you sure you wish to exit? The system will reboot (be sure to remove any floppies from the drives). [ Yes ] No Le programme d'installation redémarrera à nouveau si le CDROM est resté dans le lecteur et que [Yes] est sélectionné. Si vous démarrez à partir de disquettes, il sera nécessaire de retirer la disquette mfsroot.flp et la remplacer par kern.flp avant de redémarrer.
Présentation de sysinstall L'utilitaire sysinstall est l'application d'installation fournie par le projet FreeBSD. C'est une application pour la console et qui est divisée en un certain nombre de menus et d'écrans que vous pouvez utiliser pour configurer et contrôler le processus d'installation. Le système de menu de sysinstall est contrôlé à l'aide des touches fléchées, Entrée, Espace et d'autres touches. Une description détaillée de ces touches, et de ce qu'elles font, se trouve dans les informations d'utilisation de sysinstall. Pour voir ces informations, assurez-vous que l'entrée Usage est surlignée et que le bouton [Select] est sélectionné, comme montré dans la , ensuite appuyez sur Entrée. Les instructions sur l'utilisation du système de menu seront affichées. Après les avoir lues, appuyez sur Entrée pour revenir au menu principal.
Sélection de l'entrée Usage dans le menu principal de sysinstall
Sélectionner le menu de documentation Depuis le menu principal, sélectionnez Doc avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée.
Sélectionner le menu de documentation
Cela affichera le menu de documentation.
Menu de documentation de sysinstall
Il est important de lire la documentation fournie. Pour voir un document, sélectionnez-le avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée. Quand vous avez terminé la lecture d'un document, l'appui sur Entrée vous ramènera au menu de documentation. Pour revenir au menu principal d'installation, sélectionnez Exit avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée.
Sélectionner le menu des tables de clavier Pour changer le type de clavier, utilisez les touches fléchées pour sélectionner Keymap depuis le menu et appuyez sur Entrée.
Menu principal de sysinstall
Une table de clavier différente peut être choisie en sélectionnant l'élément du menu en utilisant les touches fléchées et en appuyant sur Espace. Appuyer à nouveau sur Espace désélectionnera l'élément. Une fois terminé, choisissez &gui.ok; en utilisant les touches fléchées et appuyez sur Entrée. Seule une liste partielle est montrée dans cet exemple. Utiliser &gui.cancel; sélectionnera la table de clavier par défaut et ramènera au menu principal d'installation.
Menu des tables de clavier de sysinstall
Ecran des options d'installation Sélectionner Options et appuyez sur Entrée.
Menu principal de sysinstall
Options de sysinstall
Les valeurs par défaut sont généralement parfaites pour la plupart des utilisateurs et ne nécessitent pas d'être modifiées. Le nom de la version variera en fonction de la version que l'on installe. La description de l'élément sélectionné apparaîtra en bas de l'écran surlignée en bleu. Notez qu'une des options est Use Defaults pour réinitialiser toutes les options à leur valeur de départ. Appuyez sur F1 pour lire l'écran d'aide à propos des diverses options. L'appui sur Q ramènera au menu principal d'installation.
Commencer une installation standard L'installation Standard est l'option recommandée pour ceux qui sont nouveaux à Unix ou FreeBSD. Utilisez les touches fléchées pour sélectionner Standard et ensuite appuyez sur Entrée pour débuter l'installation.
Commencer une installation standard
Allouer l'espace disque Votre première tâche est d'allouer de l'espace disque à FreeBSD, et labéliser cet espace de sorte que sysinstall puisse le préparer. Afin de faire cela vous devez savoir comment FreeBSD s'attend à trouver l'information sur le disque. La numérotation des disques par le BIOS Avant que vous installiez et configuriez FreeBSD sur votre système, il y a un sujet important dont vous devriez être conscient, particulièrement si vous avez plusieurs disques durs. DOS Microsoft Windows Dans un PC utilisant un système d'exploitation dépendant du BIOS comme MS-DOS ou Microsoft Windows, le BIOS est capable de modifier l'ordre normal des disques, et le système d'exploitation suivra le changement. Ceci permet à l'utilisateur de démarrer depuis un disque autre que le prétendu “premier disque maître”. C'est particulièrement commode pour les utilisateurs qui ont trouvé que la manière la plus simple et la moins onéreuse de sauvegarder un système est d'acheter un second disque dur identique, et d'exécuter des copies régulières du premier disque vers le second en utilisant Ghost ou XCOPY. Alors, si le premier disque tombe en panne, ou est attaqué par un virus, ou corrompu par un défaut du système d'exploitation, on peut facilement y faire face en demandant au BIOS de permuter logiquement les disques. C'est comme si l'on échangeait les câbles sur les disques, mais sans avoir à ouvrir le boîtier. SCSI BIOS Des systèmes plus onéreux avec des contrôleurs SCSI incluent souvent des extensions de BIOS permettant aux disques SCSI d'être réorganisés dans un mode semblable et cela jusqu'à sept disques. Un utilisateur qui est accoutumé à tirer profit de ces caractéristiques pourra s'étonner quant aux résultats inattendus obtenus sous FreeBSD. FreeBSD n'utilise pas le BIOS, et ne connaît pas “la table logique des disques du BIOS”. Cela peut mener à des situations relativement déconcertantes, particulièrement quand les disques sont physiquement identiques, et que ce sont également des clones au niveau des données. Quand vous utilisez FreeBSD, veillez à rétablir la numérotation naturelle des disques dans le BIOS, et laissez-là telle quelle. Si vous devez inverser les disques, alors faites-le mais au niveau matériel en ouvrant votre boîtier et en déplaçant les cavaliers et les câbles. Une illustration d'après les extraordinaires aventures des fichiers de Bill et Fred: Bill transforme une vieille machine Wintel en une nouvelle machine FreeBSD pour Fred. Bill installe un disque SCSI comme unité de disque SCSI zéro et install FreeBSD dessus. Fred commence à utiliser le système, mais après plusieurs jours remarque que le vieux disque SCSI signale de nombreuses erreurs logiciels et en fait part à Bill. Quelques jours après, Bill décide qu'il est temps de s'occuper de ce problème, il va donc chercher un disque SCSI identique dans la “réserve à disques”. Un contrôle de la surface indique que le disque fonctionne correctement, aussi Bill installe ce disque comme unité SCSI numéro quatre et effectue une copie à l'identique du disque zéro sur le disque quatre. Maintenant que le nouveau disque est installé et fonctionne parfaitement, Bill décide que ce serait une bonne idée de commencer à l'utiliser, aussi utilise-t-il une fonction dans le BIOS SCSI pour réordonner les disques durs pour faire démarrer le système à partir de l'unité SCSI quatre. FreeBSD démarre et fonctionne correctement. Fred continue son travail pendant quelques jours, et bientôt Bill et Fred décident qu'il est temps pour une nouvelle aventure -- temps pour mettre à jour vers une version plus récente de FreeBSD. Bill retire le disque SCSI zéro parce qu'il était un peu capricieux et le remplace par un autre identique provenant de la “réserve à disques”. Bill installe alors la nouvelle version de FreeBSD sur le nouveau disque SCSI en utilisant les magiques disquettes d'installation par FTP de Fred. L'installation se passe bien. Fred utilise la nouvelle version de FreeBSD pendant quelques jours, et certifie qu'elle est suffisamment stable pour être utilisée dans le département d'ingénierie. Il est temps de transférer tout son travail depuis l'ancienne version. Alors Fred monte l'unité SCSI quatre (la dernière copie de l'ancienne version de FreeBSD). Fred est accablé de constater que rien de son précieux travail n'est présent sur l'unité SCSI quatre. Ou sont passées les données? Quand Bill à fait une copie parfaite du disque SCSI zéro originel sur l'unité SCSI quatre, l'unité quatre est devenue le “nouveau clone”. Quand Bill a réordonné le BIOS SCSI pour qu'il puisse démarrer sur l'unité SCSI quatre, il était juste en train de se tromper. FreeBSD tournait toujours sur l'unité SCSI zéro. Faire de tels changements dans le BIOS fera qu'une partie ou tout le code de démarrage et de chargement sera lue sur le disque sélectionné par le BIOS, mais quand les pilotes du noyau de FreeBSD prendrons le contrôle, la numérotation des disques par le BIOS sera ignorée, et FreeBSD reprendra la numérotation normale des disques. Dans l'illustration actuelle, le système a continué d'opérer sur l'unité SCSI zéro d'origine, et toutes les données de Fred se trouvaient là et non pas sur l'unité SCSI quatre. Le fait que le système semblait fonctionner sur l'unité quatre n'était juste qu'une impression due aux attentes de nos utilisateurs. Nous sommes heureux d'annoncer qu'aucun octet n'a été détruit ou endommagé durant la découverte de ce phénomène. L'ancienne unité SCSI zéro a été récupérée sur une pile de disques au rebut, et tout le travail de Fred lui a été rendu (et Bill sait désormais qu'il peut compter jusqu'à zéro). Bien que cela soit des disques SCSI qui furent utilisés dans cet exemple, le concept s'applique de la même manière aux disques IDE. Organisation des disques Le plus petit élément qu'utilise FreeBSD pour retrouver des fichiers est le nom de fichier. Les noms de fichiers sont sensibles à la casse des caractères, ce qui signifie que readme.txt et README.TXT sont deux fichiers séparés. FreeBSD n'utilise pas l'extension (.txt) d'un fichier pour déterminer si ce fichier est un programme, un document ou une autre forme de donnée. Les fichiers sont stockés dans des répertoires. Un répertoire peut ne contenir aucun fichier, ou en contenir plusieurs centaines. Un répertoire peut également contenir d'autre répertoires, vous permettant de construire une hiérarchie de répertoires à l'intérieur d'un autre. Cela rend plus simple l'organisation de vos données. Les fichiers et les répertoires sont référencés en donnant le nom du fichier ou du répertoire, suivi par un slash, /, suivi par tout nom de répertoire nécessaire. Si vous avez un répertoire foo, qui contient le répertoire bar, qui contient le fichier readme.txt, alors le nom complet, ou chemin (“path”) vers le fichier est foo/bar/readme.txt. Les répertoires et les fichiers sont stockés sur un système de fichiers. Chaque système de fichiers contient à son niveau le plus haut un répertoire appelé répertoire racine pour ce système de fichiers. Ce répertoire racine peut alors contenir les autres répertoires. Jusqu'ici cela est probablement semblable à n'importe quel autre système d'exploitation que vous avez pu avoir utilisé. Il y a quelques différences: par exemple, DOS utilise \ pour séparer les noms de fichier et de répertoire, alors que MacOS utilise :. FreeBSD n'utilise pas de lettre pour les lecteurs, ou d'autres noms de disque dans le chemin. Vous n'écrirez pas c:/foo/bar/readme.txt sous FreeBSD. Au lieu de cela, un système de fichiers est désigné comme système de fichiers racine. La racine du système de fichiers racine est représentée par un /. Tous les autres systèmes de fichiers sont alors montés sous le système de fichiers racine. Peu importe le nombre de disques que vous avez sur votre système FreeBSD, chaque répertoire apparaît comme faisant partie du même disque. Supposez que vous avez trois systèmes de fichiers, appelés A, B, et C. Chaque système de fichiers possède un répertoire racine, qui contient deux autres répertoires, nommés A1, A2 (et respectivement B1, B2 et C1, C2). Appelons A le système de fichiers racine. Si vous utilisiez la commande ls pour visualiser le contenu de ce répertoire, vous verriez deux sous-répertoires, A1 et A2. L'arborescence des répertoires ressemblera à ceci: / | +--- A1 | `--- A2 Un système de fichiers doit être monté dans un répertoire d'un autre système de fichiers. Supposez maintenant que vous montez le système de fichiers B sur le répertoire A1. Le répertoire racine de B remplace A1, et les répertoires de B par conséquent apparaissent: / | +--- A1 | | | +--- B1 | | | `--- B2 | `--- A2 Tout fichier de B1 ou B2 peut être atteint avec le chemin /A1/B1 ou /A1/B2 si nécessaire. Tous les fichiers qui étaient dans A1 ont été temporairement cachés. Ils réapparaîtront si B est démonté de A. Si B a été monté sur A2 alors le diagramme sera semblable à celui-ci: / | +--- A1 | `--- A2 | +--- B1 | `--- B2 et les chemins seront /A2/B1 et respectivement /A2/B2. Les systèmes de fichiers peuvent être montés au sommet d'un autre. En continuant l'exemple précédent, le système de fichiers C pourrait être monté au sommet du répertoire B1 dans le système de fichiers B, menant à cet arrangement: / | +--- A1 | `--- A2 | +--- B1 | | | +--- C1 | | | `--- C2 | `--- B2 C pourrait être monté directement sur le système de fichiers A, sous le répertoire A1: / | +--- A1 | | | +--- C1 | | | `--- C2 | `--- A2 | +--- B1 | `--- B2 Si vous êtes familier de DOS, ceci est semblable, bien que pas identique, à la commande join. Ce n'est normalement pas quelque chose qui doit vous préoccuper. Généralement vous créez des systèmes de fichiers à l'installation de FreeBSD et décidez où les monter, et ensuite ne les modifiez jamais à moins que vous ajoutiez un nouveau disque. Il est tout à fait possible de n'avoir qu'un seul grand système de fichiers racine, et de ne pas en créer d'autres. Il y a quelques inconvénients à cette approche, et un avantage. Avantages des systèmes de fichiers multiples Les différents systèmes de fichiers peuvent avoir différentes options de montage. Par exemple, avec une planification soigneuse, le système de fichiers racine peut être monté en lecture seule, rendant impossible tout effacement par inadvertance ou édition de fichier critique. FreeBSD optimise automatiquement la disposition des fichiers sur un système de fichiers, selon la façon dont est utilisé le système de fichiers. Aussi un système de fichiers contenant beaucoup de petits fichiers qui sont écrits fréquemment aura une optimisation différente à celle d'un système contenant moins, ou de plus gros fichiers. En ayant un seul grand système de fichiers cette optimisation est perdue. Les systèmes de fichiers de FreeBSD sont très robustes même en cas de coupure secteur. Cependant une coupure secteur à un moment critique pourrait toujours endommager la structure d'un système de fichiers. En répartissant vos données sur des systèmes de fichiers multiples il est plus probable que le système redémarre, vous facilitant la restauration des données à partir de sauvegardes si nécessaire. Avantage d'un système de fichiers unique Les systèmes de fichiers ont une taille fixe. Si vous créez un système de fichiers à l'installation de FreeBSD et que vous lui donnez une taille spécifique, vous pouvez plus tard vous apercevoir que vous avez besoin d'une partition plus grande. Cela n'est pas facilement faisable sans sauvegardes, recréation du système de fichiers, et enfin restauration des données. FreeBSD 4.4 et suivants disposent d'une commande, &man.growfs.8;, qui permettra d'augmenter la taille d'un système de fichiers au vol, supprimant cette limitation. Les systèmes de fichiers sont contenus dans des partitions. Cela n'a pas la même signification que l'utilisation précédente du terme partition dans ce chapitre, en raison de l'héritage Unix de FreeBSD. Chaque partition est identifiée par une lettre, a à h. Chaque partition ne contient qu'un seul système de fichiers, cela signifie que les systèmes de fichiers sont souvent décrits soit par leur point de montage typique sur le système de fichiers racine, soit par la lettre de la partition qui les contient. FreeBSD utilise aussi de l'espace disque pour l'espace de pagination (“swap”). L'espace de pagination fournit à FreeBSD la mémoire virtuelle. Cela permet à votre ordinateur de se comporter comme s'il disposait de beaucoup plus de mémoire qu'il n'en a réellement. Quand FreeBSD vient à manquer de mémoire il déplace certaines données qui ne sont pas actuellement utilisées vers l'espace de pagination, et les rapatrie (en déplaçant quelque chose d'autre) quand il en a besoin. Quelques partitions sont liées à certaines conventions. Partition Convention a Contient normalement le système de fichiers racine b Contient normalement l'espace de pagination c Normalement de la même taille que la tranche (“slice”) contenant les partitions. Cela permet aux utilitaires devant agir sur l'intégralité de la tranche (par exemple un analyseur de blocs défectueux) de travailler sur la partition c. Vous ne devriez normalement pas créer de système de fichiers sur cette partition. d La partition d a eu dans le passé une signification spécifique, c'est terminé maintenant. A ce jour, quelques outils peuvent fonctionner curieusement si on leur dit de travailler sur la partition d, aussi sysinstall ne créera normalement pas de partition d. Chaque partition contenant un système de fichiers est stockée dans ce que FreeBSD appelle une tranche (“slice”). Tranche - “slice” est le terme FreeBSD pour ce qui était précédemment appelé partition, et encore une fois, cela en raison des fondations Unix de FreeBSD. Les tranches sont numérotées, en partant de 1, jusqu'à 4. slices tranches partitions mode dédié Les numéros de tranche suivent le nom du périphérique, avec le préfixe s, et commencent à 1. Donc “da0s1” est la première tranche sur le premier disque SCSI. Il ne peut y avoir que quatre tranches physiques sur un disque, mais vous pouvez avoir des tranches logiques dans des tranches physiques d'un type précis. Ces tranches étendues sont numérotées à partir de 5, donc “ad0s5” est la première tranche étendue sur le premier disque IDE. Elles sont utilisées par des systèmes de fichiers qui s'attendent à occuper une tranche entière. Les tranches, les disques “en mode dédié”, et les autres disques contiennent des partitions, qui sont représentées par des lettres allant de a à h. Cette lettre est ajoutée au nom de périphérique, aussi “da0a” est la partition a sur le premier disque da, qui est en “en mode dédié”. “ad1s3e” est la cinquième partition de la troisième tranche du second disque IDE. En conclusion chaque disque présent sur le système est identifié. Le nom d'un disque commence par un code qui indique le type de disque, suivi d'un nombre, indiquant de quel disque il s'agit. Contrairement aux tranches, la numérotation des disques commence à 0. Les codes communs que vous risquez de rencontrer sont énumérés dans le . Quand vous faites référence à une partition, FreeBSD exige que vous nommiez également la tranche et le disque contenant la partition, et quand vous faites référence à une tranche vous devrez également faire référence au nom du disque. Faites cela en écrivant le nom du disque, s, le numéro de la tranche, et enfin la lettre de la partition. Des exemples sont donnés dans l'. L' montre un exemple de l'organisation d'un disque qui devrait aider à clarifier les choses. Afin d'installer FreeBSD vous devez tout d'abord configurer les tranches sur votre disque, ensuite créer les partitions dans la tranche que vous utiliserez pour FreeBSD, et alors créer un système de fichiers (ou espace de pagination) dans chaque partition, et décider de l'endroit où seront montés les systèmes de fichiers. Codes des périphériques disques Code Signification ad Disque ATAPI (IDE) da Disque SCSI acd CDROM ATAPI (IDE) cd CDROM SCSI fd Lecteur de disquette
Exemples d'appellation de disques, tranches et partitions Nom Signification ad0s1a Première partition (a) sur la première tranche (s1) du premier disque IDE (ad0). da1s2e Cinquième partition (e) sur la seconde tranche (s2) du deuxième disque SCSI (da1). Modèle conceptuel d'un disque Ce diagramme montre comment FreeBSD voit le premier disque IDE attaché au système. Supposons que le disque a une capacité de 4 GO, et contient deux tranches de 2 GO (partitions DOS). La première tranche contient un disque DOS, C:, et la seconde tranche contient une installation de FreeBSD. Dans cet exemple l'installation de FreeBSD a trois partitions, et une partition de pagination. Les trois partitions accueilleront chacune un système de fichiers. La partition a sera utilisée en tant que système de fichiers racine, la partition e pour le contenu du répertoire /var, et f pour l'arborescence du répertoire /usr. .-----------------. --. | | | | DOS / Windows | | : : > Première tranche, ad0s1 : : | | | | :=================: ==: --. | | | Partition a, montée en tant que / | | | > référencée ad0s2a | | | | | :-----------------: ==: | | | | Partition b, utilisée comme swap | | | > référencée ad0s2b | Partition c, | | | | pas de :-----------------: ==: | système de | | | Partition e, utilisée en /var > fichiers | | > référencée ad0s2e | intégralité | | | | de la tranche :-----------------: ==: | FreeBSD ad0s2c | | | | : : | Partition f, utilisée en /usr | : : > référencée ad0s2f | : : | | | | | | | | --' | `-----------------' --'
Création des tranches - “slices” en utilisant FDisk Aucun changement que vous faites à ce niveau de l'installation ne sera écrit sur le disque. Si vous pensez que vous avez fait une erreur et que vous voulez recommencer, vous pouvez utiliser les menus pour quitter sysinstall et essayer encore. Si vous êtes perdu et ne voyez pas comment quitter, vous pouvez toujours éteindre votre ordinateur. Après avoir choisi de commencer une installation standard sysinstall affichera ce message: Message In the next menu, you will need to set up a DOS-style ("fdisk") partitioning scheme for your hard disk. If you simply wish to devote all disk space to FreeBSD (overwriting anything else that might be on the disk(s) selected) then use the (A)ll command to select the default partitioning scheme followed by a (Q)uit. If you wish to allocate only free space to FreeBSD, move to a partition marked "unused" and use the (C)reate command. [ OK ] [ Press enter or space ] Appuyez sur Entrée comme demandé. On vous affichera alors une liste de tous les disques durs que le noyau a trouvés durant la détection des périphériques. La présente l'exemple d'un système avec deux disques IDE. Ils ont été appelés ad0 et ad2.
Sélection du disque pour FDisk
Vous pourriez vous demander pourquoi ad1 n'est pas listé ici. Pourquoi est-il manquant? Considérez ce qu'il se produirait si vous aviez deux disques durs IDE, un en tant que maître sur le premier contrôleur IDE, et un autre en tant que maître sur le second contrôleur IDE. Si FreeBSD numérotait ces derniers comme il les a trouvés, en tant que ad0 et ad1 alors tout devrait fonctionner. Mais si vous ajoutiez un troisième disque, en tant que disque esclave sur le premier contrôleur IDE, ce serait maintenant ad1, et l'ad1 précédent deviendrait ad2. Puisque les noms de périphériques (comme ad1s1a) sont utilisés pour trouver les systèmes de fichiers, vous pouvez soudainement découvrir que certains de vos systèmes de fichiers n'apparaissent plus correctement, et vous devrez modifier votre configuration de FreeBSD. Pour s'affranchir de cela, le noyau peut être configuré pour nommer les périphériques IDE en fonction de l'endroit où ils sont placés, et non pas en fonction de l'ordre dans lequel ils ont été trouvés. Avec cet arrangement le disque maître sur le second contrôleur IDE sera toujours ad2, même s'il n'y a aucun disque ad0 ou ad1. Cette configuration est celle par défaut du noyau de FreeBSD, c'est pourquoi notre exemple montre ad0 et ad2. La machine sur laquelle furent prises les captures d'écran avait des disques IDE sur les canaux maîtres de chaque contrôleur IDE, et aucun disque esclave. Vous devrez choisir le disque sur lequel vous désirez installer FreeBSD, et ensuite appuyer sur &gui.ok;. FDisk démarrera, avec un écran semblable à celui montré sur la . L'affichage de FDisk est séparé en trois parties. La première partie, occupant les deux premières lignes de l'écran, montre les détails au sujet du disque actuellement sélectionné, dont son nom sous FreeBSD, sa géométrie, et la taille du disque. La deuxième partie montre les tranches qui sont actuellement présentes sur le disque, où elles débutent et se terminent, leur taille, le nom que leur donne FreeBSD, et leur description et sous-type. Cette exemple montre deux petites tranches inutilisées, qui sont les conséquences de l'arrangement du disque sous PC. Il montre également une grande tranche de type FAT, qui est presque certainement le lecteur C: sous DOS / Windows, et une tranche étendue, qui doit contenir d'autres lecteurs pour DOS / Windows. La troisième partie affiche les commandes disponibles dans FDisk.
Partitions Fdisk typiques avant édition
Ce que vous allez faire maintenant dépend de comment vous voulez diviser votre disque. Si vous voulez utiliser tout le disque pour FreeBSD (ce qui effacera toutes les autres données sur votre disque quand vous confirmerez, plus tard dans le processus d'installation, que vous voulez que sysinstall continue) alors vous pouvez appuyer sur A, ce qui correspond à l'option Use Entire Disk (utiliser l'intégralité du disque). Les tranches existantes seront supprimées, et remplacées par une petite zone étiquetée unused (encore une fois, une particularité de l'organisation des disques sous PC), et ensuite une grande tranche pour FreeBSD. Si vous faites cela vous devriez alors sélectionner la tranche FreeBSD nouvellement créée en utilisant les touches fléchées, et appuyer sur S pour marquer la tranche comme pouvant être démarrable. L'écran sera alors semblable à la . Notez le A dans la colonne Flags, qui indique que cette tranche est active, et sera démarrable. Si vous supprimez une tranche existante pour faire de la place pour FreeBSD alors vous devriez sélectionner la tranche en utilisant les touches fléchées, et ensuite appuyer sur D. Vous pouvez alors appuyer sur C, on vous demandera la taille de la tranche que vous désirez créer. Entrez la taille requise et appuyez sur Entrée. Si vous avez déjà fait de la place pour FreeBSD (peut-être en utilisant un outil comme Partition Magic) alors vous pouvez appuyer sur C pour créer une nouvelle tranche. Encore une fois, vous serez sollicité pour entrer la taille de la tranche que vous désirez créer.
Partionnement Fdisk utilisant l'intégralité du disque
Une fois terminé, appuyez sur Q. Vos modifications seront sauvegardées dans sysinstall, mais ne seront pas encore inscrites sur le disque.
Installer un gestionnaire de démarrage Vous avez maintenant la possibilité d'installer un gestionnaire de démarrage. En général, vous devriez installer le gestionnaire de démarrage de FreeBSD si: Vous avez plus d'un disque, et vous avez installé FreeBSD sur un disque autre que le premier. Vous avez installé FreeBSD à côté d'un autre système d'exploitation sur le même disque, et vous voulez pouvoir choisir de lancer soit FreeBSD soit l'autre système d'exploitation au démarrage de votre ordinateur. Faites votre choix, et appuyez sur Entrée.
Menu du gestionnaire de démarrage de sysinstall
L'écran d'aide, obtenu par l'appui sur F1, discute des problèmes qui peuvent être rencontrés quand on essaye de partager un disque entre plusieurs systèmes d'exploitation.
Création de tranches - “slices” sur un autre disque S'il y a plus d'un disque, on reviendra à l'écran de sélection des disques après la sélection du gestionnaire de démarrage. Si vous souhaitez installer FreeBSD sur plus d'un disque, alors vous pouvez choisir un autre disque ici et répéter le processus en utilisant FDisk.
Quitter la sélection de disque
La touche Tab permet de basculer entre le dernier disque sélectionné, &gui.ok;, et &gui.cancel;. Appuyez sur Tab une fois pour basculer sur &gui.ok;, ensuite appuyez sur Entrée pour continuer l'installation.
Créer des partitions en utilisant <application>Disklabel</application> Vous devez maintenant créer des partitions à l'intérieur de chaque tranche que vous venez de créer. Rappelez-vous que chaque partition est représentée par une lettre, depuis a jusqu'à h, et que les partitions b, c, et d ont par convention des significations particulières que vous devriez respecter. Certaines applications peuvent tirer avantage d'un partionnement particulier, tout spécialement si vous organisez vos partitions sur plus d'un disque. Cependant, pour votre première installation de FreeBSD, vous ne devriez ne pas trop attacher d'importance à la façon dont vous divisez votre disque. Il est plus important que vous installiez FreeBSD et commenciez à apprendre à l'utiliser. Vous pouvez toujours réinstaller FreeBSD pour modifier votre partionnement quand vous serez plus familier avec le système d'exploitation. Cette organisation présente quatre partitions—une pour l'espace de pagination, et trois pour les systèmes de fichiers. Partitionnement du premier disque Partition Système de fichiers Taille Description a / 100 MO C'est le système de fichiers racine. Tous les autres systèmes de fichiers seront montés sous ce dernier. 100 MO est une taille raisonnable pour ce système de fichiers. Vous ne devrez pas stocker trop de données dessus, comme une installation habituelle de FreeBSD prendra environ 4O MO. La place restante est pour les données temporaires, et laisse également de l'espace si les futures version de FreeBSD nécessitent plus de place dans / b N/A 2-3 x RAM L'espace de pagination du système est placé sur cette partition. Choisir la bonne quantité d'espace de pagination peut s'avérer être tout un art. Un bon principe est de prendre un espace de pagination égal à deux ou trois fois la mémoire physique disponible sur le système (RAM). Vous devrez également avoir au moins 64 MO d'espace de pagination, donc si vous avez moins de 32 MO de RAM dans votre ordinateur fixez la taille de l'espace de pagination à 64 MO. Si vous avez plus d'un disque alors vous pouvez mettre de l'espace de pagination sur chaque disque. FreeBSD utilisera alors chaque disque pour la pagination, ce qui accélérera le processus de pagination. Dans ce cas calculez la quantité d'espace dont vous avez besoin (e.g., 128 MO), et divisez-la par le nombre de disques que vous avez (e.g., deux disques) pour obtenir la quantité à mettre sur chaque disque, dans cet exemple, 64 MO d'espace de pagination par disque. e /var 50 MO Le répertoire /var contient des fichiers à longueur variable; fichiers de traces, et autre fichiers d'administration. Beaucoup de ces fichiers sont lus et écrits de façon intensive durant le fonctionnement de FreeBSD. Mettre ces fichiers sur un autre système de fichiers permet à FreeBSD d'optimiser l'accès à ces fichiers sans affecter les autres fichiers d'autres répertoires n'ayant pas les même conditions d'accès. f /usr Le reste du disque Tous vos autres fichiers seront normalement stockés dans /usr, et ses sous-répertoires.
Si vous installez FreeBSD sur plus d'un disque alors vous devez également créer des partitions sur les autres tranches que vous avez configurées. La manière la plus simple est de créer deux partitions sur chaque disque, une pour l'espace de pagination, et une autre pour le système de fichiers. Partitionnement pour les disques suivants Partition Système de fichiers Taille Description b N/A Voir description Comme déjà discuté, vous pouvez répartir l'espace de pagination sur chaque disque. Même si la partition a est libre, les conventions nous dictent que l'espace de pagination doit rester sur la partition b. e /disquen le reste du disque Le reste du disque est utilisé en une seule grande partition. Cela pourrait facilement être la partition a, au lieu de la partition e. Cependant, conventionnellement la partition a sur une tranche est réservée au système de fichiers racine (/). Vous n'êtes pas obligé de suivre cette convention mais sysinstall le fait, et donc la suivre rendra l'installation plus claire. Vous pouvez choisir de monter ce système de fichiers n'importe où; cet exemple suggère que vous les montiez en tant que répertoires /disquen, où n est un nombre qui change pour chaque disque. Mais vous pouvez choisir une autre organisation si vous le préferrez.
Après avoir choisi votre partitionnement vous pouvez maintenant le créer en utilisant sysinstall. Vous verrez ce message: Message Now, you need to create BSD partitions inside of the fdisk partition(s) just created. If you have a reasonable amount of disk space (200MB or more) and don't have any special requirements, simply use the (A)uto command to allocate space automatically. If you have more specific needs or just don't care for the layout chosen by (A)uto, press F1 for more information on manual layout. [ OK ] [ Press enter or space ] Appuyez sur Entrée pour lancer l'éditeur de partition de FreeBSD, appelé Disklabel. La présente l'affichage que l'on obtient quand on lance pour la première fois Disklabel. L'écran est divisé en trois parties. Les premières lignes affichent le nom du disque sur lequel vous êtes en train de travailler, et la tranche qui contient les partitions que vous êtes en train de créer (à cet endroit Disklabel nomme cela Partition name, nom de partition, plutôt que le nom slice). Cet écran montre également la quantité d'espace libre dans la tranche; c'est à dire l'espace qui a été mis de côté dans la tranche, et qui n'a pas été encore attribué à une partition. Le centre de l'écran présente les partitions qui ont été créées, le nom du système de fichiers que chaque partition contient, leur taille, et des options concernant la création du système de fichiers. Le bas de l'écran donne les combinaisons de touches valides dans Disklabel.
L'éditeur Disklabel de sysinstall
Disklabel peut automatiquement créer des partitions pour vous et leur assigner des tailles par défaut. Essayez cela maintenant, en appuyant sur A. Vous verrez un affichage semblable à celui donné par la . En fonction de la taille de votre disque, les valeurs par défaut peuvent être ou non appropriées. Cela n'a pas d'importance, car vous n'êtes pas obligé d'accepter ces valeurs. Depuis FreeBSD 4.5, le partionnement par défaut assigne au répertoire /tmp sa propre partition plutôt que d'appartenir à la partition /. Cela permet d'éviter de remplir la partition / avec des fichiers temporaires.
L'éditeur Disklabel de sysinstall en mode automatique
Pour effacer les partitions suggérées, et les remplacer par les votres, utilisez les touches fléchées pour sélectionner la première partition, et appuyez sur D pour l'effacer. Répétez cela pour effacer toutes les partitions suggérées. Pour créer la première partition (a, montée en /), assurez-vous que la ligne d'information du disque en haut de l'écran est sélectionnée, et appuyez sur C. Une boîte de dialogue s'affichera et vous demandera la taille de la nouvelle partition (comme montré sur la ). Vous pouvez entrer la taille sous la forme du nombre de blocs disque que vous voulez utiliser, ou plus parlant, sous forme d'un nombre suivi soit par M pour mégaoctets, G pour gigaoctets, ou soit par C pour cylindres. A partir de FreeBSD 5.X, les utilisateurs peuvent sélectionner UFS2 en utilisant l'option Custom Newfs (Z). Vous pouvez soit créer les labels avec Auto Defaults et les modifier avec l'option Custom Newfs, soit ajouter pendant la création classique. N'oubliez pas d'ajouter pour les SoftUpdates si vous utilisez l'option Custom Newfs!
Espace libre pour la partition racine
La taille par defaut proposée créera une partition qui occupera le reste de la tranche. Si vous utilisez les tailles de partitions comme décrit plus tôt, alors effacez la valeur proposée en utilisant Backspace, et ensuite tapez 64M, comme présenté sur la . Puis appuyez sur &gui.ok;.
Edition de la taille de la partition racine
Après avoir choisi la taille de la partition on vous demandera si cette partition contiendra un système de fichiers ou de l'espace de pagination. La boîte de dialogue est présentée dans la . Cette première partition contiendra un système de fichiers, vérifiez donc que FS est sélectionné et appuyez sur Entrée.
Choisir le type de la partition racine
Finalement, comme vous créez un système de fichiers, vous devez indiquer à Disklabel où le système de fichiers sera monté. La boîte de dialogue est montrée sur la . Le point de montage du système de fichiers racine est /, tapez donc /, et appuyez sur Entrée.
Choisir le point de montage de la partition racine
L'affichage sera mis à jour pour montrer la partition nouvellement créée. Vous devrez répéter cette procédure pour les autres partitions. Quand vous créerez la partition de l'espace de pagination, on ne vous demandera pas de point de montage pour le système de fichiers, étant donné que les partitions de pagination ne sont jamais montées. Quand vous créez la dernière partition /usr, vous pouvez laisser la taille suggérée telle qu'elle, pour utiliser le reste de la tranche. Votre dernier écran de l'éditeur DiskLabel de FreeBSD apparaîtra semblable à la , bien que vos valeurs puissent être différentes. Appuyez sur Q pour terminer.
Editeur Disklabel de sysinstall
Choisir ce que l'on va installer Sélectionner l'ensemble de distribution Décider quel ensemble de distribution installer dépendra en grande partie de l'utilisation prévue du système et de la quantité d'espace disque disponible. Les options prédéfinies vont de l'installation la plus petite possible à l'installation de la totalité des éléments disponibles. Ceux qui sont nouveaux à Unix et/ou FreeBSD devraient presque certainement choisir une de ces options prédéfinies. Personnaliser un ensemble de distribution est normalement réservé à l'utilisateur plus expérimenté. Appuyez sur F1 pour plus d'informations sur les options des ensembles de distribution et sur ce qu'ils contiennent. Une fois la lecture de l'aide terminée, l'appui sur Entrée ramènera au menu de sélection des distributions. Si une interface graphique utilisateur est désirée alors un ensemble de distribution qui est précédé par un X devra être choisi. La configuration d'XFree86 et la sélection d'un environnement de travail font partie des étapes de post-installation. La version d'XFree86 installée par défaut dépend de la version de FreeBSD que vous être en train d'installer. Pour les versions de FreeBSD antérieures à la version 4.6, XFree86 3.X est installé. Pour FreeBSD 4.6 et suivantes, XFree86 4.X est la version par défaut. Vous devriez vérifier sur le site d'XFree86 que votre carte vidéo est supportée. Si elle n'est pas supportée par la version par défaut que FreeBSD installera, vous devrez choisir une distribution sans X pour l'installation. Après l'installation, installez et configurez la version appropriée d'XFree86 en utilisant le catalogue des logiciels portés. Si la compilation d'un noyau personnalisé est prévue, sélectionnez une option qui inclut le code source. Pour plus d'information sur l'intérêt d'un noyau personnalisé ou comment compiler un noyau personnalisé voir le . A l'évidence, le système le plus versatile est celui qui inclut tout. S'il y a l'espace disque adéquat, choisissez All comme montré sur la en utilisant les touches fléchées et appuyez sur Entrée. S'il y a un problème quant à l'espace disque considérez l'utilisation d'une option plus appropriée à la situation. Les autres ensembles de distribution peuvent être ajoutés après l'installation.
Choix de l'ensemble de distribution
Installer le catalogue des logiciels portés - “Ports collection” Après le choix de l'ensemble de distribution désiré, l'opportunité d'installer le catalogue des logiciels portés pour FreeBSD se présente. Le catalogue des logiciels portés est une méthode simple et commode pour installer des logiciels. Le catalogue des logiciels portés ne contient pas le code source nécessaire pour compiler le logiciel. C'est un ensemble de fichiers qui automatise le téléchargement, la compilation et l'installation. Le discute de l'utilisation du catalogue des logiciels portés. Le programme d'installation ne vérifie pas si vous avez l'espace requis. Sélectionnez cette option uniquement si vous disposez de l'espace disque adéquat. User Confirmation Requested Would you like to install the FreeBSD ports collection? This will give you ready access to over &os.numports; ported software packages, at a cost of around &ports.size; of disk space when "clean" and possibly much more than that if a lot of the distribution tarballs are loaded (unless you have the extra CDs from a FreeBSD CD/DVD distribution available and can mount it on /cdrom, in which case this is far less of a problem). The ports collection is a very valuable resource and well worth having on your /usr partition, so it is advisable to say Yes to this option. For more information on the ports collection & the latest ports, visit: http://www.FreeBSD.org/ports [ Yes ] No Sélectionnez [ Yes ] avec les touches fléchées pour installer le catalogue des logiciels portés ou [ No ] pour passer cette option. Appuyez sur Entrée pour continuer. Le menu de sélection de l'ensemble de distribution réapparaîtra.
Confirmer le choix de la distribution
Si vous êtes satisfait avec les options, sélectionnez Exit avec les touches fléchées, vérifiez que &gui.ok; est surligné, et appuyez sur Entrée pour continuer.
Choisir votre support d'installation Si vous installez à partir d'un CDROM, utilisez les touches fléchées pour sélectionner Install from a FreeBSD CD/DVD. Vérifiez que &gui.ok; est surligné, puis appuyez sur Entrée pour procéder à l'installation. Pour les autre méthodes d'installation, sélectionnez l'option appropriée et suivez les instructions. Appuyez sur F1 pour afficher l'aide en ligne pour le support d'installation. Appuyez sur Entrée pour revenir au menu de sélection du support.
Choisir le support d'installation
Modes d'installation par FTP installation réseau FTP Il y a trois modes d'installation par FTP, vous pouvez choisir parmi: FTP actif, FTP passif, ou par l'intermédiaire d'un proxy HTTP. FTP actif, Install from an FTP server Cette option fera que tous les transferts FTP utiliseront le mode “actif”. Cela ne fonctionnera pas à travers un coupe-feu, mais fonctionnera souvent avec de vieux serveurs FTP ne supportant pas le mode passif. Si votre connexion se bloque avec le mode passif (mode par défaut), essayez le mode actif! FTP passif, Install from an FTP server through a firewall FTP mode passif Cette option demande à FreeBSD d'utiliser le mode “passif” pour toutes les opérations FTP. Cela permet à l'utilisateur de traverser les coupes-feu qui n'acceptent pas les connexions entrantes sur des ports aléatoires. FTP par l'intermédiaire d'un proxy HTTP, Install from an FTP server through a http proxy FTP via proxy HTTP Cette option demande à FreeBSD d'utiliser le protocole HTTP (comme pour un navigateur web) pour se connecter à un proxy pour toutes les opérations FTP. Le proxy traduira toutes les requêtes et les transmettra au serveur FTP. Cela permet aux utilisateurs de traverser les coupes-feu qui n'autorisent pas les connexions FTP, mais offrent un proxy HTTP. Dans ce cas, vous devez préciser le proxy en plus du serveur FTP. Pour un serveur proxy FTP, vous devriez normalement donner le nom du serveur que vous désirez comme partie du nom d'utilisateur, après le signe “@”. Le serveur proxy “simulera” le serveur réel. Par exemple, en supposant que vous voulez installer à partir de ftp.FreeBSD.org, en utilisant le serveur proxy FTP foo.example.com, écoutant sur le port 1024. Dans ce cas, rendez-vous dans le menu d'options, et fixez le nom d'utilisateur FTP (“username”) à ftp@ftp.FreeBSD.org, et le mot de passe (“password”) à votre adresse émail. Comme support d'installation, vous spécifiez FTP (ou FTP passif, si le proxy le supporte), et l'URL ftp://foo.example.com:1234/pub/FreeBSD. Puisque le répertoire /pub/FreeBSD de ftp.FreeBSD.org est traduit par le proxy en foo.example.com, vous êtes en mesure d'installer depuis cette machine (qui ira chercher les fichiers sur ftp.FreeBSD.org quand l'installation réclamera des fichiers).
Procéder à l'installation L'installation peut être maintenant effectuée si désirée. C'est également la dernière chance pour annuler l'installation et empêcher l'écriture sur le disque dur. User Confirmation Requested Last Chance! Are you SURE you want to continue the installation? If you're running this on a disk with data you wish to save then WE STRONGLY ENCOURAGE YOU TO MAKE PROPER BACKUPS before proceeding! We can take no responsibility for lost disk contents! [ Yes ] No Sélectionnez [ Yes ] et appuyez sur Entrée pour poursuivre. La durée de l'installation variera en fonction de la distribution choisie, du support d'installation utilisé, et de la vitesse de l'ordinateur. Une série de messages sera affichée pour indiquer la progression de l'installation. L'installation est achevée quand le message suivant est affiché: Message Congratulations! You now have FreeBSD installed on your system. We will now move on to the final configuration questions. For any option you do not wish to configure, simply select No. If you wish to re-enter this utility after the system is up, you may do so by typing: /stand/sysinstall . [ OK ] [ Press enter to continue ] Appuyez sur Entrée pour poursuivre avec les configurations de post-installation. Sélectionner [ No ] et appuyer sur Entrée annulera l'installation et aucun changement ne sera fait à votre système. Le message suivant apparaîtra: Message Installation complete with some errors. You may wish to scroll through the debugging messages on VTY1 with the scroll-lock feature. You can also choose "No" at the next prompt and go back into the installation menus to retry whichever operations have failed. [ OK ] Ce message est généré parce que rien n'a été installé. L'appui sur Entrée ramènera au menu principal d'installation pour quitter l'installation. Post-installation La configuration de diverses options suit l'installation. Une option peut être configurée en accédant aux options de configuration avant de redémarrer le nouveau système FreeBSD ou après l'installation en utilisant la commande /stand/sysinstall et en sélectionnant Configure. Configuration réseau Si vous avez précédemment configuré PPP pour une installation par FTP, cet écran n'apparaîtra pas et peut être configuré plus tard comme décrit ci-dessus. Pour une information détaillée sur les réseaux locaux et la configuration de FreeBSD en passerelle/routeur référez-vous au chapitre Administration réseau avancée. User Confirmation Requested Would you like to configure any Ethernet or SLIP/PPP network devices? [ Yes ] No Pour configurer un périphérique réseau, sélectionnez [ Yes ] et appuyez sur Entrée. Sinon, sélectionnez [ No ] pour continuer.
Sélection d'un périphérique Ethernet
Sélectionnez l'interface à configurer avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée. User Confirmation Requested Do you want to try IPv6 configuration of the interface? Yes [ No ] Dans ce réseau local privé l'actuel protocole Internet (IPv4) était suffisant et [ No ] a été sélectionné avec les touches fléchées et suivie d'Entrée. Si vous désirez essayer le nouveau protocole Internet (IPv6), choisissez [ Yes ] et appuyez sur Entrée. Cela prendra plusieurs secondes pour rechercher des serveurs RA. User Confirmation Requested Do you want to try DHCP configuration of the interface? Yes [ No ] Si DHCP (“Dynamic Host Configuration Protocol”) n'est pas requis sélectionnez [ No ] à l'aide des touches fléchées et appuyez sur Entrée. Sélectionner [ Yes ] exécutera dhclient, et en cas de succès, complétera l'information de configuration du réseau automatiquement. Référez-vous à la pour plus d'information. L'écran de configuration réseau suivant montre la configuration du périphérique Ethernet pour un système qui sera passerelle pour un réseau local.
Configuration réseau pour ed0
Utilisez Tab pour choisir les champs d'information et compléter avec l'information appropriée: Host - “Hôte” Le nom complet de la machine, e.g. k6-2.exemple.com dans ce cas. Domain - “Domaine” Le nom du domaine auquel appartient votre machine, e.g. exemple.com dans le cas présent. IPv4 Gateway - “Passerelle IPv4” L'adresse IP de l'hôte transmettant les paquets aux destinations non-locales. Complétez cela seulement si la machine est un noeud sur le réseau. Laissez ce champ vide si la machine est destinée à être la passerelle vers l'Internet pour le réseau. Name server - “Serveur de Noms” L'adresse IP de votre serveur DNS local. Il n'y a pas de serveur DNS local sur ce réseau local privé aussi l'adresse IP du serveur DNS du fournisseur d'accès (208.163.10.2) fut utilisée. IPv4 address - “Adresse IPv4” L'adresse IP employée pour cette interface fut 192.168.0.1 Netmask - “Masque de sous-réseau” Le bloc d'adresse utilisé pour ce réseau local est un bloc de la Classe C (192.168.0.0 - 192.168.255.255). Le masque de sous-réseau par défaut est pour un réseau de Classe C (255.255.255.0). Extra options to ifconfig - “Options supplémentaires pour ifconfig” Toutes options d'ifconfig spécifiques aux interfaces que vous voudriez ajouter. Il n'y en avait aucune dans ce cas-ci. Utilisez Tab pour sélectionner &gui.ok; une fois terminé et appuyez sur Entrée. User Confirmation Requested Would you like to Bring Up the ed0 interface right now? [ Yes ] No La sélection de [ Yes ] suivie d'Entrée rendra l'accès réseau de la machine opérationnel quand on quittera l'installation.
Configurer la passerelle User Confirmation Requested Do you want this machine to function as a network gateway? [ Yes ] No Si la machine jouera le rôle de passerelle pour le réseau local et transmettra les paquets entre machines alors sélectionnez [ Yes ] et appuyez sur Entrée. Si la machine est un noeud sur le réseau alors sélectionnez [ No ] et appuyez sur Entrée pour continuer. Configurer les services Internet User Confirmation Requested Do you want to configure inetd and the network services that is provides? Yes [ No ] Si [ No ] est sélectionné, divers services tel que telnetd ne seront pas activés. Cela signifie que des utilisateurs à distance ne pourront pas se connecter par l'intermédiaire de telnet à cette machine. Les utilisateurs locaux seront toujours en mesure d'accéder à des machines distantes avec telnet. Ces services peuvent être activés après l'installation en éditant /etc/inetd.conf avec votre éditeur de texte favori. Voir la pour plus d'information. Choisissez [ Yes ] si vous souhaitez configurer ces services pendant l'installation. Une confirmation supplémentaire s'affichera: User Confirmation Requested The Internet Super Server (inetd) allows a number of simple Internet services to be enabled, including finger, ftp and telnetd. Enabling these services may increase risk of security problems by increasing the exposure of your system. With this in mind, do you wish to enable inetd? [ Yes ] No Sélectionnez [ Yes ] pour continuer. User Confirmation Requested inetd(8) relies on its configuration file, /etc/inetd.conf, to determine which of its Internet services will be available. The default FreeBSD inetd.conf(5) leaves all services disabled by default, so they must be specifically enabled in the configuration file before they will function, even once inetd(8) is enabled. Note that services for IPv6 must be seperately enabled from IPv4 services. Select [Yes] now to invoke an editor on /etc/inetd.conf, or [No] to use the current settings. [ Yes ] No Le choix [ Yes ] permettra d'ajouter des services en supprimant le # au début d'une ligne.
Edition d'<filename>inetd.conf</filename>
Après avoir ajouté les services désirés, l'appui sur Echap affichera un menu qui permettra de quitter et sauver les changements.
FTP anonyme User Confirmation Requested Do you want to have anonymous FTP access to this machine? Yes [ No ] Interdire l'accès FTP anonyme Choisir le [ No ] par défaut et appuyer sur Entrée permettra toujours aux utilisateurs ayant des comptes avec mot de passe d'utiliser FTP pour accéder à la machine. Autoriser l'accès FTP anonyme N'importe qui peut accéder à votre machine si vous choisissez d'autoriser les connexions par FTP anonyme. Les implications au niveau de la sécurité devraient être considérées avant d'activer cette option. Pour plus d'information sur la sécurité voir le . Pour autoriser le FTP anonyme, utilisez les touches fléchées pour sélectionner [ Yes ] et appuyez sur Entrée. L'écran suivant (ou semblable) apparaîtra:
Configuration par défaut du FTP anonyme
L'appui sur la touche F1 affichera l'aide: This screen allows you to configure the anonymous FTP user. The following configuration values are editable: UID: The user ID you wish to assign to the anonymous FTP user. All files uploaded will be owned by this ID. Group: Which group you wish the anonymous FTP user to be in. Comment: String describing this user in /etc/passwd FTP Root Directory: Where files available for anonymous FTP will be kept. Upload subdirectory: Where files uploaded by anonymous FTP users will go. Le répertoire racine du ftp sera placé dans /var par défaut. Si vous n'avez pas de place à cet endroit pour les besoins prévus du FTP, le répertoire /usr pourra être utilisé en configurant “FTP Root Directory” à /usr/ftp. Quand vous êtes satisfait de ces valeurs, appuyez sur Entrée pour continuer. User Confirmation Requested Create a welcome message file for anonymous FTP users? [ Yes ] No Si vous sélectionnez [ Yes ] et appuyez sur Entrée, un éditeur sera automatiquement lancé vous permettant d'éditer le message.
Edition du message de bienvenue du FTP
C'est un éditeur de texte appelé ee. Utilisez les instructions pour modifier le message ou faites-le plus tard en utilisant l'éditeur de texte de votre choix. Notez l'emplacement/le nom du fichier au bas de l'écran. Appuyez sur Echap et une boîte de dialogue apparaîtra avec l'option a) leave editor sélectionnée. Appuyez sur Entrée pour quitter et continuer.
Configurer le système de fichiers réseau - NFS Le système de fichiers réseau (NFS) permet le partage de fichiers à travers un réseau. Une machine peut être configurée en serveur, client, ou les deux. Référez-vous à la pour plus d'information. Serveur NFS User Confirmation Requested Do you want to configure this machine as an NFS server? Yes [ No ] S'il n'y a aucun de besoin de serveur ou client NFS, sélectionnez [ No ] et appuyez sur Entrée. Si [ Yes ] est choisi, un message apparaîtra indiquant que le fichier exports doit être créé. Message Operating as an NFS server means that you must first configure an /etc/exports file to indicate which hosts are allowed certain kinds of access to your local file systems. Press [Enter] now to invoke an editor on /etc/exports [ OK ] Appuyez sur Entrée pour continuer. Un éditeur de texte sera lancé pour permettre la création et l'edition du fichier exports.
Edition du fichier <filename>exports</filename>
Suivez les instructions pour ajouter les systèmes de fichiers à exporter maintenant ou plus tard en utilisant l'éditeur de texte de votre choix. Notez le nom/l'emplacement au bas de l'écran de l'éditeur. Appuyez sur Echap et une boîte de dialogue apparaîtra avec l'option a) leave editor sélectionnée. Appuyez sur Entrée pour quitter et continuer.
Client NFS User Confirmation Requested Do you want to configure this machine as an NFS client? Yes [ No ] Avec les touches fléchées, sélectionnez [ Yes ] ou [ No ] selon vos besoins et appuyez sur Entrée.
Profil de sécurité Un “profil de sécurité” est un ensemble d'options qui essaye de fournir un niveau de sécurité à la demande en activant et désactivant certains programmes et paramètres. Plus le profil de sécurité est sévère, moins de programmes seront activés par défaut. C'est l'un des principe de base de la sécurité: ne rien faire fonctionner excepté ce dont vous avez réellement besoin. Veuillez noter que le profil de sécurité n'est qu'une configuration de défaut. Tous les programmes peuvent être activés ou désactivés une fois que vous avez installé FreeBSD en éditant la(es) ligne(s) appropriée(s) dans /etc/rc.conf. Pour plus d'information, veuillez consulter la page de manuel &man.rc.conf.5;. Le tableau suivant décrit ce que fait chaque profil de sécurité. Les colonnes représentent les choix que vous avez pour un profil de sécurité, et les rangées le programme ou la caractéristique que le profil active ou désactive. Profils de sécurité possibles Extrême Modéré &man.sendmail.8; NON OUI &man.sshd.8; NON OUI &man.portmap.8; NON PEUT-ETRE Le portmapper est activé si la machine a été configurée comme client ou serveur NFS plus tôt dans l'installation. Serveur NFS NON OUI &man.securelevel.8; OUI Si vous choisissez un profil de sécurité qui fixe le niveau de sécurité à “Extreme” ou “High” (Extrême ou Haut), vous devez être conscient des implications. Veuillez lire la page de manuel &man.init.8; et faire tout particulièrement attention aux significations des niveaux de sécurité, ou sinon vous risquez d'avoir des ennuis plus tard! NON
User Confirmation Requested Do you want to select a default security profile for this host (select No for "medium" security)? [ Yes ] No Choisir [ No ] et appuyer sur Entrée activera le niveau de sécurité moyen (medium). Choisir [ Yes ] et appuyer sur Entrée permettra la sélection d'un profil de sécurité différent.
Choix du profil de sécurité
Appuyez sur F1 pour afficher l'aide. Appuyez sur Entrée pour retourner au menu de sélection. Utilisez les touches fléchées pour sélectionner Medium à moins que vous ne soyez sûr qu'un autre niveau est nécessaire pour vos besoins. Avec &gui.ok; surligné, appuyez sur Entrée. Un message approprié de confirmation s'affichera en fonction du réglage de sécurité qui a été choisi. Message Moderate security settings have been selected. Sendmail and SSHd have been enabled, securelevels are disabled, and NFS server setting have been left intact. PLEASE NOTE that this still does not save you from having to properly secure your system in other ways or exercise due diligence in your administration, this simply picks a standard set of out-of-box defaults to start with. To change any of these settings later, edit /etc/rc.conf [OK] Message Extreme security settings have been selected. Sendmail, SSHd, and NFS services have been disabled, and securelevels have been enabled. PLEASE NOTE that this still does not save you from having to properly secure your system in other ways or exercise due diligence in your administration, this simply picks a more secure set of out-of-box defaults to start with. To change any of these settings later, edit /etc/rc.conf [OK] Appuyez sur Entrée pour continuer avec la configuration de post-installation. Le profil de sécurité n'est pas une assurance tous risques! Même si vous utilisez le réglage Extrême, vous devez rester au courant des problèmes de sécurité en lisant la liste de diffusion appropriée, en utilisant de bons mots de passe et bonnes phrases clé (passphrases), et généralement avoir de bonnes pratiques sécuritaires. Il fixe simplement un niveau de sécurité désiré, bien précis, directement sans modifications du système.
Configuration de la console système Ils y a plusieurs options disponibles pour personnaliser la console système. User Confirmation Requested Would you like to customize your system console settings? [ Yes ] No Pour visualiser et configurer ces options, sélectionnez [ Yes ] et appuyez sur Entrée.
Options de configuration de la console système
Une option généralement utilisée est l'économiseur d'écran. Utilisez les touches fléchées pour sélectionner Saver et appuyez ensuite sur Entrée.
Options de l'économiseur d'écran
Sélectionnez l'économiseur d'écran désiré en utilisant les touches fléchées et puis appuyez sur Entrée. Le menu de configuration de la console système réapparaîtra. L'intervalle de temps par défaut est de 300 secondes. Pour changer cet intervalle de temps, sélectionnez Saver à nouveau. Au menu de configuration de l'économiseur d'écran, sélectionnez Timeout en utilisant les touches fléchées et appuyez sur Entrée. Une boîte de dialogue apparaîtra:
Délai de l'économiseur d'écran
La valeur peut être changée, ensuite sélectionnez &gui.ok; et appuyez sur Entrée pour retourner au menu de configuration de la console système.
Sortie de la configuration de la console système
En sélectionnant Exit et en appuyant sur Entrée on poursuivra avec les options de post-installation.
Réglage du fuseau horaire Régler le fuseau horaire sur votre machine lui permettra de corriger automatiquement tout changement horaire régional et d'exécuter d'autres fonctions liées au fuseau horaire correctement. L'exemple présenté est pour une machine située dans le fuseau horaire oriental des Etats-Unis. Vos choix changeront en fonction de votre position géographique. User Confirmation Requested Would you like to set this machine's time zone now? [ Yes ] No Sélectionnez [ Yes ] et appuyez sur Entrée pour régler le fuseau horaire. User Confirmation Requested Is this machine's CMOS clock set to UTC? If it is set to local time or you don't know, please choose NO here! Yes [ No ] Sélectionnez [ Yes ] ou [ No ] en fonction de la configuration de l'horloge de la machine et appuyez sur Entrée.
Choisissez votre région
La région appropriée est sélectionnée en utilisant les touches fléchées, puis en appuyant sur Entrée.
Sélectionnez votre pays
Sélectionnez le pays approprié en utilisant les touches fléchées et appuyez sur Entrée.
Sélectionnez votre fuseau horaire
Le fuseau horaire approprié est sélectionné en utilisant les touches fléchées et en appuyant sur Entrée. Confirmation Does the abbreviation 'EDT' look reasonable? [ Yes ] No Confirmez que l'abbréviation pour le fuseau horaire est correcte. Si cela semble bon, appuyez sur Enter pour continuer avec la configuration de post-installation.
Compatibilité Linux User Confirmation Requested Would you like to enable Linux binary compatibility? [ Yes ] No La sélection de [ Yes ] et l'appui sur Entrée permettra d'exécuter des logiciels Linux sous FreeBSD. L'installation ajoutera les logiciels pré-compilés appropriés pour la compatibilité Linux. Si l'on installe par FTP, la machine devra être connectée à l'Internet. Parfois un site FTP distant n'aura pas tous les ensembles de distributions comme la compatibilité binaire Linux. Cela peut être installé plus tard si nécessaire. Configuration de la souris Cette option vous permettra de copier-coller du texte dans la console et les programmes utilisateur avec une souris 3 boutons. Si vous utilisez une souris 2 boutons, référez-vous à la page de manuel &man.moused.8;, après l'installation pour des détails sur l'émulation du troisième bouton. Cet exemple décrit la configuration d'une souris non-USB. User Confirmation Requested Does this system have a non-USB mouse attached to it? [ Yes ] No Sélectionnez [ Yes ] pour une souris non-USB ou [ No ] pour une souris USB et appuyez sur Entrée.
Sélectionner la configuration du protocole de la souris
Utilisez les touches fléchées pour sélectionner Type et appuyez sur Entrée.
Configurer le protocole de la souris
La souris utilisée dans cet exemple est de type PS/2, aussi la valeur par défaut Auto était appropriée. Pour changer le protocole, utilisez les touches fléchées pour sélectionner une autre option. Vérifiez que &gui.ok; est surligné puis appuyez sur Entrée pour quitter ce menu.
Configuration du port de la souris
Utilisez les touches fléchées pour sélectionner Port et appuyez sur Entrée.
Choisir le port de la souris
Ce système avait une souris PS/2, aussi la valeur par défaut PS/2 était appropriée. Pour changer le port, utilisez les touches fléchées et puis appuyez sur Entrée.
Activer le “daemon” - gestionnaire de la souris
Finalement, le gestionnaire de la souris est activé et testé.
Tester le gestionnaire de la souris
Le curseur s'est déplacé sur l'écran donc le gestionnaire de la souris fonctionne. Sélectionnez [ Yes ] pour retourner au menu précédent puis choisissez Exit avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée pour continuer la configuration de post-installation.
Configurer le serveur X En vue d'utiliser une interface graphique utilisateur comme KDE, GNOME, ou d'autres, le serveur X devra être configuré. Afin d'utiliser XFree86 en tant qu'utilisateur autre que root vous devrez avoir le programme x11/wrapper installé. Ce dernier est installé par défaut depuis FreeBSD 4.7. Pour les versions précédentes il peut être ajouté à partir du menu de sélection des logiciels pré-compilés. Pour savoir si votre carte vidéo est supportée, vérifiez-le sur le site web XFree86. User Confirmation Requested Would you like to configure your X server at this time? [ Yes ] No Il est nécessaire de connaître les spécifications de votre moniteur et les informations sur votre carte vidéo. Les équipements peuvent être endommagés si les réglages sont incorrects. Si vous n'avez pas ces informations, sélectionnez [ No ] et effectuez la configuration après l'installation quand vous aurez l'information en utilisant /stand/sysinstall, puis en sélectionnant Configure et enfin XFree86. Si vous avez les informations sur la carte graphique et le moniteur, sélectionnez [ Yes ] et appuyez sur Entrée pour continuer la configuration du serveur X.
Sélectionnez la méthode de configuration
Il y a plusieurs façons de configurer le serveur X. Utilisez les touches fléchées pour sélectionner une des méthodes et appuyez sur Entrée. Veillez à lire toutes les instructions avec soin. xf86cfg et xf86cfg -textmode peuvent donner un écran noir et prendre quelques secondes pour démarrer. Soyez patient. Ce qui suit décrira l'utilisation de l'outil de configuration xf86config. Les choix de configuration que vous ferez dépendront du matériel présent dans le système aussi vos choix seront probablement différents de ceux présentés. Message You have configured and been running the mouse daemon. Choose "/dev/sysmouse" as the mouse port and "SysMouse" or "MouseSystems" as the mouse protocol in the X configuration utility. [ OK ] [ Press enter to continue ] Ceci indique que le gestionnaire de souris précédemment configuré a été détecté. Appuyez sur Entrée pour continuer. Le lancement de xf86config fera apparaître une brève introduction: This program will create a basic XF86Config file, based on menu selections you make. The XF86Config file usually resides in /usr/X11R6/etc/X11 or /etc/X11. A sample XF86Config file is supplied with XFree86; it is configured for a standard VGA card and monitor with 640x480 resolution. This program will ask for a pathname when it is ready to write the file. You can either take the sample XF86Config as a base and edit it for your configuration, or let this program produce a base XF86Config file for your configuration and fine-tune it. Before continuing with this program, make sure you know what video card you have, and preferably also the chipset it uses and the amount of video memory on your video card. SuperProbe may be able to help with this. Press enter to continue, or ctrl-c to abort. L'appui sur Entrée lancera la configuration de la souris. Assurez-vous de suivre les instructions et d'utiliser “Mouse Systems” comme protocol de souris et /dev/sysmouse comme port de la souris même si l'utilisation d'une souris PS/2 est présentée comme illustration. First specify a mouse protocol type. Choose one from the following list: 1. Microsoft compatible (2-button protocol) 2. Mouse Systems (3-button protocol) & FreeBSD moused protocol 3. Bus Mouse 4. PS/2 Mouse 5. Logitech Mouse (serial, old type, Logitech protocol) 6. Logitech MouseMan (Microsoft compatible) 7. MM Series 8. MM HitTablet 9. Microsoft IntelliMouse If you have a two-button mouse, it is most likely of type 1, and if you have a three-button mouse, it can probably support both protocol 1 and 2. There are two main varieties of the latter type: mice with a switch to select the protocol, and mice that default to 1 and require a button to be held at boot-time to select protocol 2. Some mice can be convinced to do 2 by sending a special sequence to the serial port (see the ClearDTR/ClearRTS options). Enter a protocol number: 2 You have selected a Mouse Systems protocol mouse. If your mouse is normally in Microsoft-compatible mode, enabling the ClearDTR and ClearRTS options may cause it to switch to Mouse Systems mode when the server starts. Please answer the following question with either 'y' or 'n'. Do you want to enable ClearDTR and ClearRTS? n You have selected a three-button mouse protocol. It is recommended that you do not enable Emulate3Buttons, unless the third button doesn't work. Please answer the following question with either 'y' or 'n'. Do you want to enable Emulate3Buttons? y Now give the full device name that the mouse is connected to, for example /dev/tty00. Just pressing enter will use the default, /dev/mouse. On FreeBSD, the default is /dev/sysmouse. Mouse device: /dev/sysmouse Le clavier est l'élément suivant à configurer. Un modèle générique de 101 touches est présenté comme exemple. N'importe quel modèle peut être utilisé comme variante ou appuyez simplement sur Entrée pour accepter la valeur par défaut. Please select one of the following keyboard types that is the better description of your keyboard. If nothing really matches, choose 1 (Generic 101-key PC) 1 Generic 101-key PC 2 Generic 102-key (Intl) PC 3 Generic 104-key PC 4 Generic 105-key (Intl) PC 5 Dell 101-key PC 6 Everex STEPnote 7 Keytronic FlexPro 8 Microsoft Natural 9 Northgate OmniKey 101 10 Winbook Model XP5 11 Japanese 106-key 12 PC-98xx Series 13 Brazilian ABNT2 14 HP Internet 15 Logitech iTouch 16 Logitech Cordless Desktop Pro 17 Logitech Internet Keyboard 18 Logitech Internet Navigator Keyboard 19 Compaq Internet 20 Microsoft Natural Pro 21 Genius Comfy KB-16M 22 IBM Rapid Access 23 IBM Rapid Access II 24 Chicony Internet Keyboard 25 Dell Internet Keyboard Enter a number to choose the keyboard. 1 Please select the layout corresponding to your keyboard 1 U.S. English 2 U.S. English w/ ISO9995-3 3 U.S. English w/ deadkeys 4 Albanian 5 Arabic 6 Armenian 7 Azerbaidjani 8 Belarusian 9 Belgian 10 Bengali 11 Brazilian 12 Bulgarian 13 Burmese 14 Canadian 15 Croatian 16 Czech 17 Czech (qwerty) 18 Danish Enter a number to choose the country. Press enter for the next page 1 Please enter a variant name for 'us' layout. Or just press enter for default variant us Please answer the following question with either 'y' or 'n'. Do you want to select additional XKB options (group switcher, group indicator, etc.)? n Ensuite, nous passons à la configuration du moniteur. Ne pas dépasser les limites de votre moniteur. Des dommages peuvent subvenir. Si vous avez un quelconque doute, effectuez la configuration après avoir obtenu l'information. Now we want to set the specifications of the monitor. The two critical parameters are the vertical refresh rate, which is the rate at which the whole screen is refreshed, and most importantly the horizontal sync rate, which is the rate at which scanlines are displayed. The valid range for horizontal sync and vertical sync should be documented in the manual of your monitor. If in doubt, check the monitor database /usr/X11R6/lib/X11/doc/Monitors to see if your monitor is there. Press enter to continue, or ctrl-c to abort. You must indicate the horizontal sync range of your monitor. You can either select one of the predefined ranges below that correspond to industry- standard monitor types, or give a specific range. It is VERY IMPORTANT that you do not specify a monitor type with a horizontal sync range that is beyond the capabilities of your monitor. If in doubt, choose a conservative setting. hsync in kHz; monitor type with characteristic modes 1 31.5; Standard VGA, 640x480 @ 60 Hz 2 31.5 - 35.1; Super VGA, 800x600 @ 56 Hz 3 31.5, 35.5; 8514 Compatible, 1024x768 @ 87 Hz interlaced (no 800x600) 4 31.5, 35.15, 35.5; Super VGA, 1024x768 @ 87 Hz interlaced, 800x600 @ 56 Hz 5 31.5 - 37.9; Extended Super VGA, 800x600 @ 60 Hz, 640x480 @ 72 Hz 6 31.5 - 48.5; Non-Interlaced SVGA, 1024x768 @ 60 Hz, 800x600 @ 72 Hz 7 31.5 - 57.0; High Frequency SVGA, 1024x768 @ 70 Hz 8 31.5 - 64.3; Monitor that can do 1280x1024 @ 60 Hz 9 31.5 - 79.0; Monitor that can do 1280x1024 @ 74 Hz 10 31.5 - 82.0; Monitor that can do 1280x1024 @ 76 Hz 11 Enter your own horizontal sync range Enter your choice (1-11): 6 You must indicate the vertical sync range of your monitor. You can either select one of the predefined ranges below that correspond to industry- standard monitor types, or give a specific range. For interlaced modes, the number that counts is the high one (e.g. 87 Hz rather than 43 Hz). 1 50-70 2 50-90 3 50-100 4 40-150 5 Enter your own vertical sync range Enter your choice: 2 You must now enter a few identification/description strings, namely an identifier, a vendor name, and a model name. Just pressing enter will fill in default names. The strings are free-form, spaces are allowed. Enter an identifier for your monitor definition: Hitachi Ensuite, il a la sélection d'un pilote de périphérique pour la carte vidéo. Si vous passez votre carte sur la liste, continuez d'appuyer sur Entrée et la liste se répétera. Seul un extrait de la liste est présenté. Now we must configure video card specific settings. At this point you can choose to make a selection out of a database of video card definitions. Because there can be variation in Ramdacs and clock generators even between cards of the same model, it is not sensible to blindly copy the settings (e.g. a Device section). For this reason, after you make a selection, you will still be asked about the components of the card, with the settings from the chosen database entry presented as a strong hint. The database entries include information about the chipset, what driver to run, the Ramdac and ClockChip, and comments that will be included in the Device section. However, a lot of definitions only hint about what driver to run (based on the chipset the card uses) and are untested. If you can't find your card in the database, there's nothing to worry about. You should only choose a database entry that is exactly the same model as your card; choosing one that looks similar is just a bad idea (e.g. a GemStone Snail 64 may be as different from a GemStone Snail 64+ in terms of hardware as can be). Do you want to look at the card database? y 288 Matrox Millennium G200 8MB mgag200 289 Matrox Millennium G200 SD 16MB mgag200 290 Matrox Millennium G200 SD 4MB mgag200 291 Matrox Millennium G200 SD 8MB mgag200 292 Matrox Millennium G400 mgag400 293 Matrox Millennium II 16MB mga2164w 294 Matrox Millennium II 4MB mga2164w 295 Matrox Millennium II 8MB mga2164w 296 Matrox Mystique mga1064sg 297 Matrox Mystique G200 16MB mgag200 298 Matrox Mystique G200 4MB mgag200 299 Matrox Mystique G200 8MB mgag200 300 Matrox Productiva G100 4MB mgag100 301 Matrox Productiva G100 8MB mgag100 302 MediaGX mediagx 303 MediaVision Proaxcel 128 ET6000 304 Mirage Z-128 ET6000 305 Miro CRYSTAL VRX Verite 1000 Enter a number to choose the corresponding card definition. Press enter for the next page, q to continue configuration. 288 Your selected card definition: Identifier: Matrox Millennium G200 8MB Chipset: mgag200 Driver: mga Do NOT probe clocks or use any Clocks line. Press enter to continue, or ctrl-c to abort. Now you must give information about your video card. This will be used for the "Device" section of your video card in XF86Config. You must indicate how much video memory you have. It is probably a good idea to use the same approximate amount as that detected by the server you intend to use. If you encounter problems that are due to the used server not supporting the amount memory you have (e.g. ATI Mach64 is limited to 1024K with the SVGA server), specify the maximum amount supported by the server. How much video memory do you have on your video card: 1 256K 2 512K 3 1024K 4 2048K 5 4096K 6 Other Enter your choice: 6 Amount of video memory in Kbytes: 8192 You must now enter a few identification/description strings, namely an identifier, a vendor name, and a model name. Just pressing enter will fill in default names (possibly from a card definition). Your card definition is Matrox Millennium G200 8MB. The strings are free-form, spaces are allowed. Enter an identifier for your video card definition: Ensuite les modes vidéo sont paramétrés pour les résolutions désirées. Habituellement, les gammes utiles sont 640x480, 800x600, et 1024x768 mais ces dernières sont en fonction des capacités de la carte vidéo, de la taille du moniteur, et du confort visuel. Quand vous sélectionnez une profondeur de couleur, choisissez la valeur la plus grande que supportera votre carte. For each depth, a list of modes (resolutions) is defined. The default resolution that the server will start-up with will be the first listed mode that can be supported by the monitor and card. Currently it is set to: "640x480" "800x600" "1024x768" "1280x1024" for 8-bit "640x480" "800x600" "1024x768" "1280x1024" for 16-bit "640x480" "800x600" "1024x768" "1280x1024" for 24-bit Modes that cannot be supported due to monitor or clock constraints will be automatically skipped by the server. 1 Change the modes for 8-bit (256 colors) 2 Change the modes for 16-bit (32K/64K colors) 3 Change the modes for 24-bit (24-bit color) 4 The modes are OK, continue. Enter your choice: 2 Select modes from the following list: 1 "640x400" 2 "640x480" 3 "800x600" 4 "1024x768" 5 "1280x1024" 6 "320x200" 7 "320x240" 8 "400x300" 9 "1152x864" a "1600x1200" b "1800x1400" c "512x384" Please type the digits corresponding to the modes that you want to select. For example, 432 selects "1024x768" "800x600" "640x480", with a default mode of 1024x768. Which modes? 432 You can have a virtual screen (desktop), which is screen area that is larger than the physical screen and which is panned by moving the mouse to the edge of the screen. If you don't want virtual desktop at a certain resolution, you cannot have modes listed that are larger. Each color depth can have a differently-sized virtual screen Please answer the following question with either 'y' or 'n'. Do you want a virtual screen that is larger than the physical screen? n For each depth, a list of modes (resolutions) is defined. The default resolution that the server will start-up with will be the first listed mode that can be supported by the monitor and card. Currently it is set to: "640x480" "800x600" "1024x768" "1280x1024" for 8-bit "1024x768" "800x600" "640x480" for 16-bit "640x480" "800x600" "1024x768" "1280x1024" for 24-bit Modes that cannot be supported due to monitor or clock constraints will be automatically skipped by the server. 1 Change the modes for 8-bit (256 colors) 2 Change the modes for 16-bit (32K/64K colors) 3 Change the modes for 24-bit (24-bit color) 4 The modes are OK, continue. Enter your choice: 4 Please specify which color depth you want to use by default: 1 1 bit (monochrome) 2 4 bits (16 colors) 3 8 bits (256 colors) 4 16 bits (65536 colors) 5 24 bits (16 million colors) Enter a number to choose the default depth. 4 Finalement, la configuration doit être sauvegardée. Soyez sûr d'entrer /etc/XF86Config comme emplacement pour sauvegarder la configuration. I am going to write the XF86Config file now. Make sure you don't accidently overwrite a previously configured one. Shall I write it to /etc/X11/XF86Config? n Si la configuration échoue, vous pouvez recommencer à nouveau en sélectionnant [ Yes ] quand le message suivant apparaît: User Confirmation Requested The XFree86 configuration process seems to have failed. Would you like to try again? [ Yes ] No Si vous avez des problèmes en configurant XFree86, sélectionnez [ No ] et appuyez sur Entrée et continuez avec le processus d'installation. Après l'installation vous pouvez utiliser xf86cfg -textmode ou xf86config pour accéder aux utilitaires de configuration en ligne de commande en tant que root. Il existe une méthode supplémentaire pour configurer XFree86 décrite dans le . Si vous choisissez de ne pas configurer XFree86 à cet instant, le menu suivant sera pour la sélection des logiciels pré-compilés. Le paramétrage par défaut autorise de tuer le serveur grâce à la séquence de touches CtrlAlt Backspace. Cela peut être effectué si quelque chose ne va pas avec les paramètres du serveur et pour prévenir les dommages matériels. Le paramétrage par défaut qui autorise le basculement entre modes vidéos permettra le changement de mode durant le fonctionnement d'X à l'aide de la séquence de touches CtrlAlt+ ou CtrlAlt- . Après l'installation, l'affichage peut être ajusté en hauteur, largeur, ou centrage en utilisant xvidtune durant le fonctionnement d'XFree86. Il y aura des avertissements sur le fait qu'un paramétrage incorrect peut endommager votre équipement. Tenez-en compte. En cas de doute, ne faites rien. Au lieu de cela, utilisez les contrôles du moniteur pour ajuster l'affichage pour X Window. Il peut y avoir des différences d'affichage quand on revient au mode texte, mais c'est mieux que d'endommager votre équipement. Lire la page de manuel d'&man.xvidtune.1; avant d'effectuer un quelconque ajustement. Suite à une installation réussie d'Xfree86, on passera à la sélection de l'environnement de travail par défaut.
Sélectionner l'environnement X par défaut Il y a une grande variété de gestionnaires de fenêtre disponible. Cela va de l'environnement très basique aux environnements de travail complets avec une large suite de logiciels. Certains exigent seulement un espace disque minimal et peu de mémoire tandis que d'autres avec plus d'éléments exigent beaucoup plus. La meilleure façon de déterminer celui qui est le plus approprié à vos besoins et d'en essayer plusieurs. Ils sont disponibles dans le catalogue de logiciels portés ou comme logiciel pré-compilé et peuvent être ajoutés après l'installation. Vous pouvez choisir un des environnements de travail populaires pour être installé et configuré comme environnement par défaut. Cela vous permettra de le lancer juste après l'installation.
Sélectionner l'environnement par défaut
Utilisez les touches fléchées pour sélectionner un environnement et appuyez sur Enter. L'installation de l'environnement choisi s'effectuera.
Installer des logiciels pré-compilés - “packages” Les “packages” sont des logiciels pré-compilés et sont une manière commode d'installer des programmes. L'installation d'un logiciel pré-compilé est présenté comme illustration. Des logiciels pré-compilés supplémentaires peuvent être également ajoutés à ce moment-là si désiré. Après l'installation /stand/sysinstall peut être utilisé pour ajouter des logiciels pré-compilés supplémentaires. User Confirmation Requested The FreeBSD package collection is a collection of hundreds of ready-to-run applications, from text editors to games to WEB servers and more. Would you like to browse the collection now? [ Yes ] No La sélection de [ Yes ] et l'appui sur Entrée seront suivis par les écrans de sélection des logiciels pré-compilés:
Sélection d'une catégorie de logiciels pré-compilés
Tous les logiciels disponibles seront affichés si All est sélectionné ou vous pouvez choisir une catégorie particulière. Faites votre sélection en utilisant les touches fléchées puis appuyez sur Entrée. Un menu s'affichera en montrant tous les logiciels pré-compilés disponibles pour la catégorie sélectionnée:
Sélection des logiciels pré-compilés
L'interpréteur de commande bash apparaît sélectionné. Choisissez autant de logiciels que désiré en les surlignant et en appuyant sur la touche Espace. Une courte description de chaque logiciel apparaîtra dans le coin inférieur gauche de l'écran. En appuyant sur la touche Tab on basculera entre le dernier logiciel pré-compilé, &gui.ok;, et &gui.cancel;. Quand vous avez fini de marquer les logiciels pré-compilés pour l'installation, appuyez sur Tab une nouvelle fois pour basculer sur &gui.ok; et appuyez sur Entrée pour revenir au menu de sélection des logiciels pré-compilés. Les touches fléchées gauche et droite basculeront également entre &gui.ok; et &gui.cancel;. Cette méthode peut être utilisée pour sélectionner &gui.ok; et ensuite appuyer sur Entrée pour retourner au menu de sélection des logiciels pré-compilés.
Installation des logiciels pré-compilés
Utilisez les touches fléchées pour sélectionner [ Install ] et appuyez sur Entrée. Vous devrez alors confirmer que vous voulez installer les logiciels pré-compilés:
Confirmation de l'installation de logiciels pré-compilés
Sélectionner &gui.ok; et l'appui sur Entrée lancera l'installation des logiciels. Des messages d'installation apparaîtront jusqu'à la fin de l'installation. Prenez note des éventuels messages d'erreur. La configuration se poursuit après que les logiciels pré-compilés soient installés.
Ajouter des Utilisateurs/Groupes Vous devriez ajouter au moins un utilisateur pendant l'installation de sorte que vous puissiez utiliser le système sans être attaché en tant que root. La partition racine est généralement petite et utiliser des applications en tant que root peut rapidement la remplir. Un plus grand danger est signalé ci-dessous: User Confirmation Requested Would you like to add any initial user accounts to the system? Adding at least one account for yourself at this stage is suggested since working as the "root" user is dangerous (it is easy to do things which adversely affect the entire system). [ Yes ] No Sélectionnez [ Yes ] et appuyez sur Entrée pour continuer avec l'ajout d'un utilisateur.
Sélectionner l'ajout d'utilisateur
Sélectionnez User avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée.
Ajout de l'information utilisateur
Les descriptions suivantes apparaîtront dans la partie inférieure de l'écran au fur et à mesure que les éléments seront sélectionnés avec Tab pour aider dans l'entrée des informations nécessaires: Login ID - “Indentifiant” L'identifiant du nouvel utilisateur (obligatoire). UID L'identifiant numérique pour cet utilisateur (laisser tel quel pour le choix automatique). Group - “Groupe” Le nom du groupe pour cet utilisateur (laisser tel quel pour le choix automatique). Password - “Mot de passe” Le mot de passe pour cet utilisateur (compléter ce champ avec précaution!). Full name - “Nom complet” Le nom complet de l'utilisateur (commentaire). Member groups - “Membre des groupes” Les groupes auxquels appartient l'utilisateur (i.e. dont il a les droits accès). Home directory - “Répertoire d'utilisateur” Le répertoire de l'utilisateur (laisser tel quel pour le choix automatique). Login shell - “L'interpréteur de commande” L'interpréteur de commande de l'utilisateur (laisser tel quel pour le choix automatique, i.e. /bin/sh). On a changé l'interpréteur de commande /bin/sh pour /usr/local/bin/bash afin d'utiliser bash qui a été installé précédemment sous forme de logiciel pré-compilé. N'essayez pas d'utiliser un interpréteur de commande qui n'existe pas ou vous ne serez pas en mesure d'ouvrir de session. L'utilisateur a aussi été ajouté au groupe wheel pour qu'il puisse devenir super-utilisateur avec les privilèges de root. Quand vous êtes satisfait, appuyez sur &gui.ok; et le menu de gestion des utilisateurs et des groupes réapparaîtra:
Quitter la gestion des utilisateurs et des groupes
Des groupes pourront également être ajouté à ce moment si des besoins spécifiques sont connus. Sinon, cela pourra être fait en utilisant /stand/sysinstall quand l'installation sera achevée. Quand vous en avez terminé avec l'ajout d'utilisateurs, sélectionnez Exit avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée pour continuer l'installation.
Définir le mot de passe de <username>root</username> Message Now you must set the system manager's password. This is the password you'll use to log in as "root". [ OK ] [ Press enter to continue ] Appuyez sur Entrée pour définir le mot de passe de root. Le mot de passe devra être saisi deux fois correctement. Inutile de dire, que vous devez vous assurer d'avoir un moyen de retrouver le mot de passe si vous l'oubliez. Changing local password for root. New password : Retype new password : L'installation continuera après que le mot de passe ait été entré avec succès. Quitter l'installation Si vous devez configurer des périphériques réseau supplémentaires ou faire toutes autres configurations, vous pouvez le faire à ce moment-là ou après l'installation en utilisant /stand/sysinstall. User Confirmation Requested Visit the general configuration menu for a chance to set any last options? Yes [ No ] Sélectionnez [ No ] avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée pour retourner au menu principal d'installation.
Quitter l'installation
Sélectionnez [X Exit Install] avec les touches fléchées et appuyez sur Entrée. On vous demandera de confirmer votre désir de quitter l'installation: User Confirmation Requested Are you sure you wish to exit? The system will reboot (be sure to remove any floppies from the drives). [ Yes ] No Sélectionnez [ Yes ] et retirez la disquette si vous avez démarré depuis le lecteur de disquette. Le lecteur de CDROM est verrouillé jusqu'au redémarrage de la machine. Le lecteur de CDROM est alors déverrouillé et le CDROM peut être retiré du lecteur (rapidement). Le système redémarrera aussi faites attention à tout message d'erreur qui pourrait apparaître.
Démarrage de FreeBSD Démarrage de FreeBSD sur i386 Si tout s'est bien passé, vous verrez des messages défiler à l'écran et vous arriverez à l'invite de session. Vous pouvez visualiser ces messages en appuyant sur Arrêt-défil et en utilisant les touches PgUp et PgDn. En appuyant à nouveau sur Arrêt-défil on retournera à l'invite. L'intégralité des messages peut de pas être affichée (limitation du tampon) mais peut être visualisée depuis la ligne de commande après l'ouverture d'une session en tapant dmesg à l'invite. Attachez-vous au système en utilisant le nom d'utilisateur et le mot de passe définis durant l'installation (rpratt, dans cet exemple). Evitez d'ouvrir des sessions en tant que root excepté quand cela est nécessaire. Messages de démarrage typiques (information sur la version omise): Copyright (c) 1992-2002 The FreeBSD Project. Copyright (c) 1979, 1980, 1983, 1986, 1988, 1989, 1991, 1992, 1993, 1994 The Regents of the University of California. All rights reserved. Timecounter "i8254" frequency 1193182 Hz CPU: AMD-K6(tm) 3D processor (300.68-MHz 586-class CPU) Origin = "AuthenticAMD" Id = 0x580 Stepping = 0 Features=0x8001bf<FPU,VME,DE,PSE,TSC,MSR,MCE,CX8,MMX> AMD Features=0x80000800<SYSCALL,3DNow!> real memory = 268435456 (262144K bytes) config> di sn0 config> di lnc0 config> di le0 config> di ie0 config> di fe0 config> di cs0 config> di bt0 config> di aic0 config> di aha0 config> di adv0 config> q avail memory = 256311296 (250304K bytes) Preloaded elf kernel "kernel" at 0xc0491000. Preloaded userconfig_script "/boot/kernel.conf" at 0xc049109c. md0: Malloc disk Using $PIR table, 4 entries at 0xc00fde60 npx0: <math processor> on motherboard npx0: INT 16 interface pcib0: <Host to PCI bridge> on motherboard pci0: <PCI bus> on pcib0 pcib1: <VIA 82C598MVP (Apollo MVP3) PCI-PCI (AGP) bridge> at device 1.0 on pci0 pci1: <PCI bus> on pcib1 pci1: <Matrox MGA G200 AGP graphics accelerator> at 0.0 irq 11 isab0: <VIA 82C586 PCI-ISA bridge> at device 7.0 on pci0 isa0: <ISA bus> on isab0 atapci0: <VIA 82C586 ATA33 controller> port 0xe000-0xe00f at device 7.1 on pci0 ata0: at 0x1f0 irq 14 on atapci0 ata1: at 0x170 irq 15 on atapci0 uhci0: <VIA 83C572 USB controller> port 0xe400-0xe41f irq 10 at device 7.2 on pci0 usb0: <VIA 83C572 USB controller> on uhci0 usb0: USB revision 1.0 uhub0: VIA UHCI root hub, class 9/0, rev 1.00/1.00, addr 1 uhub0: 2 ports with 2 removable, self powered chip1: <VIA 82C586B ACPI interface> at device 7.3 on pci0 ed0: <NE2000 PCI Ethernet (RealTek 8029)> port 0xe800-0xe81f irq 9 at device 10.0 on pci0 ed0: address 52:54:05:de:73:1b, type NE2000 (16 bit) isa0: too many dependant configs (8) isa0: unexpected small tag 14 fdc0: <NEC 72065B or clone> at port 0x3f0-0x3f5,0x3f7 irq 6 drq 2 on isa0 fdc0: FIFO enabled, 8 bytes threshold fd0: <1440-KB 3.5" drive> on fdc0 drive 0 atkbdc0: <keyboard controller (i8042)> at port 0x60-0x64 on isa0 atkbd0: <AT Keyboard> flags 0x1 irq 1 on atkbdc0 kbd0 at atkbd0 psm0: <PS/2 Mouse> irq 12 on atkbdc0 psm0: model Generic PS/2 mouse, device ID 0 vga0: <Generic ISA VGA> at port 0x3c0-0x3df iomem 0xa0000-0xbffff on isa0 sc0: <System console> at flags 0x1 on isa0 sc0: VGA <16 virtual consoles, flags=0x300> sio0 at port 0x3f8-0x3ff irq 4 flags 0x10 on isa0 sio0: type 16550A sio1 at port 0x2f8-0x2ff irq 3 on isa0 sio1: type 16550A ppc0: <Parallel port> at port 0x378-0x37f irq 7 on isa0 ppc0: SMC-like chipset (ECP/EPP/PS2/NIBBLE) in COMPATIBLE mode ppc0: FIFO with 16/16/15 bytes threshold ppbus0: IEEE1284 device found /NIBBLE Probing for PnP devices on ppbus0: plip0: <PLIP network interface> on ppbus0 lpt0: <Printer> on ppbus0 lpt0: Interrupt-driven port ppi0: <Parallel I/O> on ppbus0 ad0: 8063MB <IBM-DHEA-38451> [16383/16/63] at ata0-master using UDMA33 ad2: 8063MB <IBM-DHEA-38451> [16383/16/63] at ata1-master using UDMA33 acd0: CDROM <DELTA OTC-H101/ST3 F/W by OIPD> at ata0-slave using PIO4 Mounting root from ufs:/dev/ad0s1a swapon: adding /dev/ad0s1b as swap device Automatic boot in progress... /dev/ad0s1a: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS /dev/ad0s1a: clean, 48752 free (552 frags, 6025 blocks, 0.9% fragmentation) /dev/ad0s1f: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS /dev/ad0s1f: clean, 128997 free (21 frags, 16122 blocks, 0.0% fragmentation) /dev/ad0s1g: FILESYSTEM CLEAN; SKIPPING CHECKS /dev/ad0s1g: clean, 3036299 free (43175 frags, 374073 blocks, 1.3% fragmentation) /dev/ad0s1e: filesystem CLEAN; SKIPPING CHECKS /dev/ad0s1e: clean, 128193 free (17 frags, 16022 blocks, 0.0% fragmentation) Doing initial network setup: hostname. ed0: flags=8843<UP,BROADCAST,RUNNING,SIMPLEX,MULTICAST> mtu 1500 inet 192.168.0.1 netmask 0xffffff00 broadcast 192.168.0.255 inet6 fe80::5054::5ff::fede:731b%ed0 prefixlen 64 tentative scopeid 0x1 ether 52:54:05:de:73:1b lo0: flags=8049<UP,LOOPBACK,RUNNING,MULTICAST> mtu 16384 inet6 fe80::1%lo0 prefixlen 64 scopeid 0x8 inet6 ::1 prefixlen 128 inet 127.0.0.1 netmask 0xff000000 Additional routing options: IP gateway=YES TCP keepalive=YES routing daemons:. additional daemons: syslogd. Doing additional network setup:. Starting final network daemons: creating ssh RSA host key Generating public/private rsa1 key pair. Your identification has been saved in /etc/ssh/ssh_host_key. Your public key has been saved in /etc/ssh/ssh_host_key.pub. The key fingerprint is: cd:76:89:16:69:0e:d0:6e:f8:66:d0:07:26:3c:7e:2d root@k6-2.example.com creating ssh DSA host key Generating public/private dsa key pair. Your identification has been saved in /etc/ssh/ssh_host_dsa_key. Your public key has been saved in /etc/ssh/ssh_host_dsa_key.pub. The key fingerprint is: f9:a1:a9:47:c4:ad:f9:8d:52:b8:b8:ff:8c:ad:2d:e6 root@k6-2.example.com. setting ELF ldconfig path: /usr/lib /usr/lib/compat /usr/X11R6/lib /usr/local/lib a.out ldconfig path: /usr/lib/aout /usr/lib/compat/aout /usr/X11R6/lib/aout starting standard daemons: inetd cron sshd usbd sendmail. Initial rc.i386 initialization:. rc.i386 configuring syscons: blank_time screensaver moused. Additional ABI support: linux. Local package initilization:. Additional TCP options:. FreeBSD/i386 (k6-2.example.com) (ttyv0) login: rpratt Password: La génération des clés RSA et DSA peut prendre du temps sur les machines lentes. Cela ne se produit qu'au premier démarrage d'une nouvelle installation. Les démarrages suivants seront plus rapides. Si le serveur X a été configuré et l'environnement de travail par défaut choisi, il peut être lancé en tapant startx sur la ligne de commande. Démarrage de FreeBSD sur Alpha Alpha Une fois la procédure d'installation terminée, vous serez en mesure de démarrer FreeBSD en tapant quelque chose comme ceci à l'invite SRM: >>>BOOT DKC0 Cela demande au firmware de démarrer sur le disque indiqué. Pour faire démarrer FreeBSD automatiquement dans le futur, utilisez ces commandes: >>> SET BOOT_OSFLAGS A >>> SET BOOT_FILE '' >>> SET BOOTDEF_DEV DKC0 >>> SET AUTO_ACTION BOOT Les messages de démarrage seront semblables (mais pas identiques) à ceux produits par le démarrage de FreeBSD sur i386. Arrêt de FreeBSD Il est important d'arrêter proprement le système d'exploitation. N'appuyez pas directement sur votre bouton de marche-arrêt. Tout d'abord, devenez super-utilisateur en tapant su sur la ligne de commande et en entrant le mot de passe de root. Cela ne fonctionnera que si l'utilisateur est membre du groupe wheel. Sinon, ouvrez une session en tant que root et utilisez shutdown -h now. The operating system has halted. Please press any key to reboot. On peut arrêter la machine sans risques après la que commande d'arrêt ait été effectuée et que le message “Please press any key to reboot” (Veuillez appuyez sur une touche pour redémarrer) apparaît. Si une touche est enfoncée plutôt que d'arrêter l'ordinateur, le système redémarrera. Vous pouvez également utiliser la combinaison de touches CtrlAlt Suppr, cependant cela n'est pas recommandé pour une utilisation normale.
Matériel supporté matériel FreeBSD fonctionne actuellement sur une grande variété de PCs à bus ISA, VLB, EISA et PCI avec processeurs “x86” d'Intel, AMD, Cyrix, ou NexGen, aussi bien que sur de nombreuses machines basées sur le processeur Compaq Alpha. Le support pour les disques IDE génériques ou ESDI, de nombreux contrôleurs SCSI, les cartes PCMCIA, les périphériques USB, et les cartes réseaux et séries est aussi fournit. FreeBSD supporte également le bus microchannel d'IBM (MCA). Une liste du matériel supporté est disponible avec chaque version de FreeBSD dans la liste de compatibilité matérielle. Ce document peut être généralement trouvé sous la forme d'un fichier nommé HARDWARE.TXT, sur la racine d'un CDROM ou le répertoire d'un FTP de distribution ou dans le menu de documentation de sysinstall. Ce fichier énumère, pour une architecture donnée, quels sont les périphériques supportés par chaque version de FreeBSD. La liste du matériel supporté par chaque version et architecture peut également être trouvée sur la page d'Information sur les versions du site Web de FreeBSD. Dépannage installation dépannage La section suivante couvre le dépannage de base de l'installation, les problèmes courants qui ont été rapportés. Il y a aussi un ensemble de questions-réponses pour les personnes désirant un double démarrage FreeBSD et MS-DOS. Que faire si quelque chose se passe mal En raison des nombreuses limitations de l'architecture PC, il est impossible que la détection du matériel soit à 100% fiable, cependant, il y a quelques petites choses que vous pouvez faire si cela échoue. Vérifiez la liste du matériel supporté pour votre version de FreeBSD pour être sûr que votre matériel est bien supporté. Si votre matériel est supporté et que vous expérimentez toujours des blocages ou autres problèmes, appuyez sur le bouton de reset de votre ordinateur, et quand l'option de configuration visuelle du noyau apparaît, choisissez-là. Cela vous permettra de naviguer à travers votre matériel et de fournir l'information au système à son sujet. Le noyau présent sur les disques de démarrage est configuré de telle façon qu'il supposera que la plupart des périphériques seront dans leur configuration d'usine en termes d'IRQs, d'adresses d'E/S, et canaux de DMA. Si votre matériel a été reconfiguré vous devrez très probablement employer l'éditeur de configuration pour dire à FreeBSD où trouver les choses. Il est également possible que la détection d'un périphérique absent provoque plus tard l'échec de la détection d'un périphérique présent. Dans ce cas, les pilotes de périphériques conflictuels devraient être désactivés. Quelques problèmes d'installation peuvent être évités ou allégés en mettant à jour le firmware de divers composants matériels, en particulier la carte mère. Le firmware de la carte mère peut également être désigné par le terme BIOS et la plupart des constructeurs de cartes mères ou d'ordinateur ont un site web où peuvent être trouvées les mises à jour et les informations de mises à jour. La plupart des fabricants déconseillent fortement de mettre à jour le BIOS de la carte mère à moins d'avoir une bonne raison de le faire, ce qui pourrait probablement être une mise à jour critique si l'on peut dire. Le processus de mise à jour peut mal se passer, causant des dommages permanents au circuit contenant le BIOS. Ne désactivez aucun pilote de périphérique dont vous aurez besoin durant l'installation, comme celui de votre écran (sc0). Si l'installation se bloque ou échoue mystérieusement après avoir quitté l'éditeur de configuration, c'est que vous avez probablement retiré ou modifié quelque chose qui ne devrait pas l'être. Redémarrez et essayez encore. Dans le mode de configuration, vous pouvez: Lister les pilotes de périphériques présents dans le noyau. Désactiver les pilotes de périphériques pour le matériel qui n'est pas présent dans votre système. Modifier les IRQs, les DRQs, et les adresses des ports d'E/S utilisés par un pilote de périphérique. Après l'ajustement du noyau à votre configuration matérielle, tapez Q pour démarrer avec les nouveaux réglages. Une fois l'installation achevée, tous les changements que vous avez faits en mode configuration seront permanents aussi vous ne devrez pas reconfigurer votre système à chaque démarrage. Il est fortement probable que vous vouliez par la suite compiler un noyau personnalisé. Questions et Réponses pour les utilisateurs MS-DOS DOS De nombreux utilisateurs veulent installer FreeBSD sur des PCs qui fonctionnent sous MS-DOS. Voici quelques questions fréquentes concernant l'installation de FreeBSD sur de tels systèmes: A l'aide, je n'ai plus de place! Faut-il que je commence par tout effacer? Si votre machine tourne déjà sous MS-DOS et qu'il ne vous reste que peu ou pas de place pour installer FreeBSD, tout n'est pas perdu! L'utilitaire FIPS qui se trouve dans le répertoire tools du CDROM FreeBSD ou sur les différents sites ftp vous sera probablement très utile. FIPS FIPS vous permet de scinder en deux une partition MS-DOS existante, tout en préservant le contenu de la partition originale et vous permettant d'installer FreeBSD sur la partition ainsi créée. Vous défragmentez tout d'abord votre partition MS-DOS en utilisant l'utilitaire Windows DEFRAG (allez dans l'Explorateur, clic-droit sur le disque dur, et choisissez de défragmenter votre disque dur) ou les Norton Disk Tools. Vous devez ensuite lancer FIPS. Il vous demandera le reste des informations dont il a besoin. Ensuite, vous pouvez redémarrer et installer FreeBSD sur la tranche libre. Voyez le menu Distributions pour avoir une estimation de l'espace libre dont vous aurez besoin pour le type d'installation que vous désirez. Partition Magic Il existe également un produit très utile de chez PowerQuest appelé Partition Magic. Cette application a bien plus de fonctionnalités que FIPS, et est fortement recommandée si vous projetez d'ajouter/retirer régulièrement des systèmes d'exploitation (comme moi). Cependant ce programme coûte de l'argent, et si vous projetez d'installer FreeBSD une seule fois et ensuite le laisser tel quel, FIPS sera probablement parfait pour vous. Puis-je utiliser des systèmes de fichiers MS-DOS compressés depuis FreeBSD? Non. Si vous employez un utilitaire comme Stacker ou DoubleSpace, FreeBSD sera juste capable d'utiliser les parties du système de fichiers que vous n'avez pas compressées. Le reste du système de fichiers apparaîtra comme un seul gros fichier (le fichier compressé). N'effacez pas ce fichier où vous le regretterez très certainement! Il est probablement mieux de créer une autre partition MS-DOS primaire non compressée et l'utiliser pour les échanges entre MS-DOS et FreeBSD. Puis-je monter ma partition MS-DOS étendue? partitions slices Oui. Les partitions DOS étendues sont référencées après les autres “tranches” par FreeBSD, e.g., votre disque D: pourra être /dev/da0s5, votre disque E:, /dev/da0s6, et ainsi de suite. Cet exemple suppose, bien sûr, que votre partition étendue est sur le disque SCSI 0. Pour les disques IDE, remplacez da par ad là où cela est approprié si vous installez une version 4.0-RELEASE ou suivante, et remplacez da par wd si vous installez une version de FreeBSD antérieure à la 4.0. A part cela, vous monterez les partitions étendues exactement comme vous le feriez pour tout autre disque DOS, par exemple: &prompt.root; mount -t msdos /dev/ad0s5 /dos_d Questions et Réponses pour les utilisateurs de systèmes Alpha Alpha Cette section répond à quelques questions fréquemment posées sur l'installation de FreeBSD sur les systèmes Alpha. Puis-je démarrer à partir de l'ARC ou de la console Alpha BIOS? ARC Alpha BIOS SRM Non. &os;, comme Compaq True64 et VMS, ne démarrera qu'à partir de la console SRM. A l'aide, je n'ai plus de place! Faut-il que je commence par tout effacer? Malheureusement, oui. Puis-je monter mes systèmes de fichiers Compaq Tru64 ou VMS? Non, pas pour le moment. Valentino Vaschetto Contribution de Guide avancé d'installation Cette section décrit comment installer FreeBSD dans des cas exceptionnels. Installer FreeBSD sur un système sans moniteur ou sans clavier installation headless (console série) console série Ce type d'installation est appelé “headless install” (installation sans écran), parce que la machine sur laquelle vous êtes en train d'installer FreeBSD soit n'a pas de moniteur, soit n'a même pas de sortie VGA. Comment est-ce possible, allez-vous demander? En utilisant une console série. Une console série est en quelques mots l'utilisation d'une autre machine comme écran et clavier pour un autre système. Pour faire cela, suivez juste les étapes suivantes: Récupérer les bonnes images de disquettes de démarrage Tout d'abord vous devrez obtenir les bonnes images de disquettes pour que vous puissiez démarrer sur le programme d'installation. Le secret de l'utilisation d'une console série est de demander au chargeur (“loader”) d'envoyer les E/S sur le port série vers une autre machine au lieu d'afficher la sortie de la console sur le périphérique VGA et de lire les entrées à partir d'un clavier rattaché à cette autre machine. Assez de cela maintenant, retournons à la récupération des images de disquettes. Vous devrez récupérer kern.flp et mfsroot.flp depuis le répertoire floppies. Ecrire les fichiers images sur les disquettes Les fichiers images, comme kern.flp, ne sont pas des fichiers normaux que vous copiez sur la disquette. Au lieu de cela, ce sont des images du contenu complet de la disquette. Cela signifie que vous ne pouvez pas utiliser des commandes comme la commande DOS copy pour écrire les fichiers. A la place, vous devez utiliser des outils spécifiques pour écrire les images directement sur la disquette. fdimage Si vous créez les disquettes à partir d'un ordinateur tournant sous DOS alors nous fournissons un outil, pour faire cela, appelé fdimage. Si vous utilisez les disquettes du CDROM, et que votre lecteur de CDROM est le lecteur E: alors vous lanceriez ceci: E:\> tools\fdimage floppies\kern.flp A: Répétez cette commande pour chaque fichier .flp, en remplaçant la disquette à chaque fois. Ajustez la ligne de commande si nécessaire, en fonction de l'endroit où vous avez placé les fichiers .flp. Si vous n'avez pas le CDROM alors fdimage peut être téléchargé depuis le répertoire tools sur le site FTP de FreeBSD. Si vous écrivez les disquettes depuis un système Unix (comme un autre système FreeBSD) vous pouvez utiliser la commande &man.dd.1; pour écrire les fichiers images directement sur les disquettes. Sur FreeBSD vous lanceriez: &prompt.root; dd if=kern.flp of=/dev/fd0 Sur FreeBSD /dev/fd0 fait référence au premier lecteur de disquette (le lecteur A:). /dev/fd1 serait le lecteur B:, et ainsi de suite. D'autres variantes d'Unix peuvent avoir des noms différents pour les lecteurs de disquettes, et vous devrez vérifier dans la documentation du système si nécessaire. Configurer les disquettes de démarrage pour démarrer à travers la console série N'essayez pas de monter une disquette si elle est protégée en écriture. mount Si vous deviez démarrer avec les disquettes que vous venez de faire, FreeBSD démarrerait dans son mode d'installation normal. Nous voulons que FreeBSD démarre sur la console série pour notre installation. Pour faire cela, vous devez monter la disquette kern.flp sur votre système FreeBSD en utilisant la commande &man.mount.8;. &prompt.root; mount /dev/fd0 /mnt Maintenant que vous avez la disquette montée, vous devez vous rendre dans le répertoire de la disquette: &prompt.root; cd /mnt C'est à cet endroit que vous devez configurer la disquette pour démarrer sur la console série. Vous devez créer un fichier appelé boot.config contenant la ligne /boot/loader -h. Tout ceci provoque le passage d'une option au chargeur pour démarrer sur la console série. &prompt.root; echo "/boot/loader -h" > boot.config Maintenant que vous avez votre disquette correctement configurée, vous devez démonter la disquette en utilisant la commande &man.umount.8;: &prompt.root; cd / &prompt.root; umount /mnt Maintenant vous pouvez retirer la disquette de son lecteur. Connecter votre câble null modem câble null modem Vous devez maintenant connecter un câble null modem entre les deux machines. Connectez juste le câble sur le port série des deux machines. Un câble série normal ne conviendra pas ici, vous avez besoin d'un câble null modem parce certains fils sont croisés à l'intérieur. Démarrer l'installation Il est maintenant temps de lancer l'installation. Mettez la disquette kern.flp dans le lecteur de la machine que vous allez installer sans moniteur et clavier, et allumez la machine. Connexion à la machine sans moniteur ni clavier cu Maintenant vous devez vous connecter à cette machine à l'aide de &man.cu.1;: &prompt.root; cu -l /dev/cuaa0 Voilà! Vous devriez pouvoir contrôler la machine sans moniteur et sans clavier désormais à travers votre session cu. On vous demandera d'insérer la disquette mfsroot.flp, et ensuite on vous proposera de choisir le type de terminal à utiliser. Sélectionnez juste la console couleur FreeBSD et effectuez votre installation! Préparer votre propre support d'installation Pour éviter les répétitions, “disque FreeBSD” dans ce contexte signifie un CDROM ou DVD FreeBSD que vous avez acheté, ou produit vous-même. Il peut y avoir quelques situations dans lesquelles vous devez créer votre propre support et/ou source d'installation de FreeBSD. Cela pourrait être un support physique, comme une bande, ou une source que sysinstall pourrait employer pour récupérer les fichiers, comme un site FTP local, ou une partition MS-DOS. Par exemple: Vous avez beaucoup de machines connectées sur votre réseau local, et un seul disque FreeBSD. Vous voulez créer un site FTP local utilisant le contenu du disque FreeBSD, et ensuite faire utiliser ce site FTP local par vos machines plutôt que de se connecter à l'Internet. Vous avez un disque FreeBSD, mais FreeBSD ne reconnaît pas votre lecteur de CD/DVD, mais DOS/Windows oui. Vous voulez copier les fichiers d'installation de FreeBSD sur une partition DOS sur le même ordinateur, et ensuite installer FreeBSD en utilisant ces fichiers. L'ordinateur sur lequel vous voulez installer n'a pas de lecteur de CD/DVD, ou de carte réseau, mais vous pouvez connecter un câble série ou parallèle de “type Laplink” sur un ordinateur qui lui dispose d'un lecteur de CD/DVD ou d'une carte réseau. Vous voulez créer une bande qui peut être utilisée pour installer FreeBSD. Créer un CDROM d'installation Comme élément de chaque nouvelle version, le projet FreeBSD met à disposition cinq images de CDROM (“images ISO”). Ces images peuvent inscrites (“gravées”) sur CDs si vous disposez d'un graveur de CD, et puis être utilisées pour installer FreeBSD. Si vous avez un graveur de CD, et comme la bande passante est bon marché, alors c'est la méthode la plus simple pour installer FreeBSD. Télécharger les bonnes images ISO Les images ISO de chaque version peuvent être téléchargées à partir de ftp://ftp.FreeBSD.org/pub/FreeBSD/ISO-IMAGES-arch/version ou du miroir le plus proche. Remplacez arch et version par les valeurs appropriées. Ce répertoire contiendra normalement les images suivantes: Noms des images ISO de FreeBSD et leurs significations Nom du fichier Contenu version-mini.iso Tout ce dont vous avez besoin pour installer FreeBSD. version-disc1.iso Tout ce dont vous avez besoin pour installer FreeBSD, et autant de logiciels tiers pré-compilés que l'espace sur le disque le permet. version-disc2.iso Un système de fichiers “live”, qui est utilisé avec la fonction “Repair” de sysinstall. Une copie de l'arborescence CVS de FreeBSD. Et autant de logiciels tiers pré-compilés que l'espace sur le disque le permet. version-disc3.iso De nombreux logiciels tiers pré-compilés, autant que l'espace sur le disque le permet. version-disc4.iso De nombreux logiciels tiers pré-compilés, autant que l'espace sur le disque le permet.
L'image ISO dite “mini” fut produite pour FreeBSD 4.4 et les version suivantes. Les images pour les disques deux, trois, et quatre furent produites seulement pour FreeBSD 4.5 et versions suivantes. Vous devez télécharger soit l'image ISO mini, soit l'image du disque numéro un. Ne télécharger pas les deux, étant donné que le disque numéro un contient tout le contenu de l'image ISO mini. Utilisez l'ISO mini si votre accès Internet est bon marché. Elle vous laissera installer FreeBSD, et vous pourrez ensuite installer des logiciels tiers en les téléchargeant en employant le système de logiciels pré-compilés/logiciels portés (voir le ) si nécessaire. Utilisez l'image du disque numéro un si vous voulez une bonne sélection de logiciels tiers également sur le disque. Les images des autres disques sont utiles, mais pas indispensables, tout particulièrement si vous disposez d'un accès Internet à haut débit.
Graver les CDs Vous devez ensuite graver les images de CD. Si vous faites cela à partir d'un autre système FreeBSD consultez alors la pour plus d'informations (en particulier les et ). Si vous le faites à partir d'une autre plate-forme alors vous devrez utiliser les utilitaires existants pour commander votre graveur de CD sur cette plate-forme.
Création d'un site FTP local avec le disque FreeBSD installation réseau FTP Les disques FreeBSD sont présentés comme le site FTP. Cela rend très facile la création d'un site FTP local qui peut être utilisé par d'autres machines de votre réseau lors de l'installation de FreeBSD. Sur l'ordinateur FreeBSD qui hébergera le site FTP, soyez sûr que le CDROM est dans la lecteur, et monté en /cdrom. &prompt.root; mount /cdrom Créez un compte pour le FTP anonyme dans /etc/passwd. Faites cela en éditant /etc/passwd avec &man.vipw.8; et en ajoutant cette ligne: ftp:*:99:99::0:0:FTP:/cdrom:/nonexistent Vérifiez que le service FTP est activé dans /etc/inetd.conf. N'importe qui avec un accès réseau à votre machine peut désormais choisir un support de type FTP et taper ftp://votre machine après avoir sélectionné “Other” dans le menu des sites FTP durant l'installation. Cette approche est correcte pour une machine qui est sur votre réseau local, et qui est protégée par votre coupe-feu. Offrir un accès FTP à d'autres machines sur Internet (et non sur votre réseau local) expose votre ordinateur à l'attention de crackers et autres indésirables. Nous recommandons fortement de suivre de bonnes pratiques de sécurité si vous faites cela. Création de disquettes d'installation installation disquettes Si vous devez installer à partir de disquettes (ce que nous suggérons de ne pas faire), soit en raison d'un matériel non supporté, soit que vous aimez vous compliquer la vie, vous devez d'abord préparer des disquettes pour l'installation. Il vous faudra au minimum autant de disquettes 1.44 MO ou 1.2 MO que nécessaire pour y mettre tous les fichiers du répertoire bin (distribution binaire). Si vous préparez ces disquettes sous DOS, alors elles DOIVENT être formatées en utilisant la commande MS-DOS format. Si vous utilisez Windows, utilisez l'Explorateur pour formater les disquettes (clic-droit sur le lecteur A: , et sélectionnez “Formater”). Ne faites pas confiance aux disquettes préformatées en usine. Reformatez-les vous-même, de façon à être sûr. Nos utilisateurs nous ont, dans le passé, signalé de nombreux problèmes dus à des disquettes incorrectement formatées, ce qui explique pourquoi nous insistons autant maintenant. Si vous créez les disquettes sur une autre machine FreeBSD, ce n'est toujours pas une mauvaise idée de les formatter, bien que vous n'ayez pas besoin de mettre un système de fichiers MS-DOS sur chaque disquette. Vous pouvez utiliser les commandes disklabel et newfs pour y mettre un système de fichier UFS à la place, comme le montre la séquence de commandes suivantes (pour une disquette 3.5" de 1.44 MO): &prompt.root; fdformat -f 1440 fd0.1440 &prompt.root; disklabel -w -r fd0.1440 floppy3 &prompt.root; newfs -t 2 -u 18 -l 1 -i 65536 /dev/fd0 Utilisez fd0.1200 et floppy5 pour les disquettes 5.25" 1.2 MO. Vous pouvez alors les monter et y écrire comme sur n'importe quel autre système de fichiers. Après avoir formatter les disquettes, vous devrez y copier les fichiers. Les fichiers de la distribution sont scindés en morceaux de taille telle que 5 d'entre eux tiendront sur une disquette 1.44 MO ordinaire. Préparez les disquettes les unes après les autres, en y mettant sur chacune autant de fichiers que vous pouvez, jusqu'à ce que vous ayez recopié toutes les distributions que vous voulez installer. Chaque distribution doit avoir son propre sous-répertoire sur la disquette, e.g.: a:\bin\bin.aa, a:\bin\bin.ab, et ainsi de suite. Une fois que vous êtes à l'écran de sélection du support d'installation, sélectionnez “Floppy” (disquette) et vous aurez ensuite des indications sur la marche à suivre. Installation depuis une partition MS-DOS installation depuis MS-DOS Pour préparer l'installation depuis une partition MS-DOS, copiez les fichiers de la distribution dans un répertoire appelé freebsd dans le répertoire racine de cette partition. Par exemple, c:\freebsd. L'arborescence des répertoires du CDROM ou du site FTP doit être partiellement reproduite dans ce répertoire, aussi nous suggérons l'utilisation de la commande DOS xcopy si vous copiez à partir d'un CDROM. Par exemple, pour préparer une installation minimale de FreeBSD: C:\> md c:\freebsd C:\> xcopy e:\bin c:\freebsd\bin\ /s C:\> xcopy e:\manpages c:\freebsd\manpages\ /s En supposant que C: est l'endroit où vous avez de l'espace libre et que votre CDROM soit monté sur E:. Si vous n'avez pas de lecteur de CDROM, vous pouvez télécharger la distribution depuis ftp.FreeBSD.org. Chaque distribution est dans son propre répertoire; par exemple la distribution base peut être trouvée dans le répertoire &rel.current;/base/. Copiez chaque distribution que vous voulez installer depuis la partition MS-DOS (et pour laquelle vous avez de l'espace libre) dans c:\freebsd — la distribution BIN n'est que le minimum obligatoire. Création d'une bande d'installation installation à partir de bandes QIC/SCSI Installer à partir de bandes est probablement la méthode la plus simple, mis à part l'installation en ligne avec FTP ou depuis le CDROM. Le programme d'installation s'attend à ce que les fichiers soient simplement archivés sur la bande. Après avoir récupéré tous les fichiers des distributions qui vous intéressent, archivez-les avec tar sur la bande: &prompt.root; cd /freebsd/distdir &prompt.root; tar cvf /dev/rwt0 dist1 ... dist2 Quand vous installez, vous devez vous assurer qu'il y a assez de place dans un répertoire temporaire (que vous pourrez choisir) pour y mettre le contenu entier de la bande que vous avez créée. En raison de l'accès non-aléatoire des bandes, cette méthode exige un espace de stockage temporaire important. Vous devez donc vous attendre à avoir autant d'espace de stockage temporaire que vous avez mis de données sur la bande. Au moment d'installer, la bande doit être dans le lecteur avant de démarrer avec la disquette. Sinon les tests risquent de ne pas la trouver. Avant d'installer via le réseau installation réseau série (SLIP ou PPP) installation réseau parallèle (PLIP) installation réseau Ethernet Il y a trois types d'installation réseau possibles. Par port série (SLIP ou PPP), par port parallèle (PLIP (câble laplink)), ou par Ethernet (un contrôleur Ethernet standard (y compris certains contrôleurs PCMCIA)). Le support SLIP est assez rudimentaire, et essentiellement limité aux lignes directes, comme un câble série entre un ordinateur portable et un autre ordinateur. La liaison devra être directe car l'installation par SLIP n'offre pas la possibilité de se connecter par téléphone; cette fonctionnalité est fournie par l'utilitaire PPP, qu'il faut utiliser de préférence à SLIP chaque fois que c'est possible. Si vous utilisez un modem, PPP est presque certainement votre seul choix. Veillez à avoir sous la main les informations concernant votre fournisseur d'accès car vous en aurez besoin assez tôt dans la procédure d'installation. Si vous utilisez PAP ou CHAP pour vous connecter à votre fournisseur d'accès (en d'autres termes, si vous pouvez vous connecter au fournisseur d'accès sous Windows sans utiliser de script), alors tout ce que vous aurez à faire est de taper dial à l'invite de ppp. Sinon, vous devrez savoir comment se connecter à votre fournisseur d'accès en utilisant les “commandes AT” propres à votre modem, car le programme d'appel PPP ne fournit qu'un émulateur de terminal très simplifié. Veuillez vous reporter aux sections concernant ppp utilisateur du Manuel et de la FAQ pour plus d'informations. Si vous avez des problèmes, connectez-vous directement à l'écran avec la commande set log local .... Si vous disposez d'une liaison directe à une autre machine FreeBSD (2.0-R ou ultérieure), vous pourrez envisager d'installer avec un câble “laplink” sur le port parallèle. La vitesse de transmission sur le port parallèle est plus importante que celle que l'on obtient habituellement avec une liaison série (jusqu'à 50 Koctets/sec), ce qui accélère l'installation. Finalement, pour une installation réseau la plus rapide possible, une carte Ethernet est toujours un bon choix! FreeBSD supporte la plupart des cartes Ethernet PC courantes; une liste des cartes supportées (et leur paramétrage requis) est fournie dans la liste de compatibilité matérielle de chaque version de FreeBSD. Si vous utilisez une des cartes Ethernet PCMCIA supportée, assurez-vous qu'elle soit en place avant d'allumer le portable! FreeBSD ne supporte pas, malheureusement, actuellement l'insertion à chaud des cartes PCMCIA pendant l'installation. Vous devrez aussi connaître votre adresse IP sur le réseau, le masque de réseau pour votre classe d'adresses, et le nom de votre machine. Si vous installez par l'intermédiaire d'une connexion PPP et que vous n'avez pas d'IP fixe, ne prenez pas peur, l'adresse IP peut être dynamiquement assignée par votre fournisseur d'accès. Votre administrateur système peut vous dire quelles valeurs utiliser pour votre configuration réseau particulière. Si vous devez référencer d'autres machines par leur nom plutôt que par leurs adresses IP, vous devrez aussi connaître un serveur de noms et peut-être l'adresse d'une passerelle (si vous utilisez PPP, c'est l'adresse IP de votre fournisseur d'accès) pour accéder à ce serveur. Si vous voulez installer par FTP via un proxy HTTP (voir plus bas), vous aurez également besoin de l'adresse du proxy. Si vous n'avez pas les réponses à toutes ou la plupart de ces questions, alors vous devriez vraiment en discuter avec votre administrateur système ou votre fournisseur d'accès avant d'essayer ce type d'installation. Avant d'installer par NFS installation réseau NFS L'installation NFS est assez directe. Copiez simplement les fichiers de la distribution FreeBSD que vous voulez quelque part sur le serveur et ensuite mentionnez ce répertoire au moment de sélectionner le support NFS. Si le serveur n'accepte que les accès sur les “ports privilégiés” (ce qui est généralement le cas par défaut sur les stations de travail Sun), vous devrez le préciser dans le menus des “Options” avant de procéder à l'installation. Si vous avez une carte Ethernet de mauvaise qualité qui souffre de vitesses de transfert très faibles, vous devrez peut-être aussi positionner l'indicateur approprié dans ce menu. Pour que l'installation NFS fonctionne, le serveur doit pouvoir monter des sous-répertoires, e.g., si le répertoire pour votre distribution de FreeBSD 3.4 est: ziggy:/usr/archive/stuff/FreeBSD, alors ziggy devra autoriser le montage de /usr/archive/stuff/FreeBSD, et non seulement de /usr ou /usr/archive/stuff. Dans le fichier /etc/exports de FreeBSD, on contrôle cela avec l'option . D'autres serveurs NFS peuvent avoir d'autres conventions. Si le serveur vous envoie des messages “permission denied”, alors il est probable que vous n'avez pas activé correctement cette fonctionnalité.