diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/admin.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/admin.sgml
index b9afc7c57f..9aed48536b 100644
--- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/admin.sgml
+++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/admin.sgml
@@ -1,893 +1,893 @@
Administration systèmeOù sont les fichiers de démarrage du système ?De la version 2.0.5R à la version 2.2.1R, le fichier de
configuration principal était /etc/sysconfig .
Toutes les options sont spécifiées dans ce fichier et les autres
fichiers comme
/etc/rc et /etc/netstart ne font
que l'inclure.Regardez dans le fichier /etc/sysconfig
et changez les valeurs nécessaires pour configurer votre
système. Ce fichier inclut des commentaires indiquant les valeurs à
mettre.Pour les versions 2.2.1 et suivantes, le fichier
/etc/sysconfig a été renommé en
rc.conf et a été épuré au passage. Le fichier
/etc/netstart a aussi été renommé en
rc/network comme cela tous les fichiers peuvent être
copiés grâce à une seule commande : cp /usr/src/etc/rc* /etc. Le fichier /etc/rc.local existe
toujours et peut être utilisé pour démarrer des services additionnels
comme INN ou pour
positionner certaines valeurs.Le fichier /etc/rc.serial permet
d'initialiser les ports série (par exemple mettre en place les
caractéristiques du port, etc..).Le fichier /etc/rc.i386 est
spécifique aux paramètres des plateformes Intel, comme l'émulation
iBCS2 ou la configuration de la console système d'un PC.Avec la version 2.1.0R, vous pouvez définir des fichiers de
démarrage "locaux" se trouvant dans un répertoire spécifié dans le
fichier /etc/sysconfig (ou le fichier
/etc/rc.conf ):
# Emplacement des fichiers de démarrage locaux
local_startup=/usr/local/etc/rc.local.d
Chaque fichier se terminant par .sh
sera éxécuté dans l'ordre alphabétique.Si vous voulez vous assurez d'un certain ordre de
démarrage sans changer le nom des fichiers, vous pouvez utiliser un
schéma similaire à celui qui suit, en faisant précéder chaque fichier
de chiffres pour assurer l'ordre de démarrage:
10news.sh
15httpd.sh
20ssh.sh
Cela peut vous sembler un peu laid (ou SysV :-)) mais cela
fournit une façon simple pour les packages locaux ajoutés sans être
obligé d'éditer /etc/rc.local . La plupart des
ports ou des packages assument que le répertoire
/usr/local/etc/rc.d permet le démarrage des programmes
locaux.Comment ajouter simplement un utilisateur ?Utilisez la commande adduser
Il existe aussi un autre outil nommé
``new-account'' écrit en Perl par Ollivier Robert. Demandez le
lui. Cet outil est actuellement en cours de développements supplémentairesPour retirer un utilisateur, utilisez la commande rmuser.Comment ajouter un nouveau disque dur à mon système FreeBSD ? Voyez le tutoriel sur le formatage des
disques dur.Comment utiliser mon nouveau disque amovible ? Que ce soit un disque amovible de type ZIP ou EZ (ou
même une disquette), ou un disque dur, une fois installé et
reconnu par le système et que vous avez inséré une cartouche/disquette, la
manipulation est la même pour tous les périphériques.(Cette section est basée sur la FAQ des lecteurs ZIP de Mark Mayo)Si c'est un disque ZIP ou une disquette DOS, il y a déjà un système de fichier DOS installé, vous pouvez utilisez les commandes suivantes:
mount -t msdos /dev/fd0c /floppy
s'il s'agit d'une disquette; ou:
mount -r msdos /dev/sd2s4 /zip
s'il s'agit d'un lecteur ZIP dans sa configuration d'origine.
Pour les autres types de disques, voyez leur partitionnement en utilisant fdisk ou /stand/sysinstall .Les exemples qui suivent supposent que vous disposez d'un disque ZIP sur sd2, le troisième disque SCSI.Si votre disque amovible n'est pas une disquette, ou tout autre disque amovible que vous ne désirez par partager avec d'autres personnes, il vaut mieux mettre un système de fichiers BSD dessus. Vous pourrez avoir des noms longs, une amélioration de performances et une meilleur stabilité. Pour commencer, vous devez effacer la partition ou le système de fichiers DOS. Vous pouvez utiliser l'utilitaire fdisk ou /stand/sysinstall , ou pour un disque d'une petite capacité, détruire la table des partitions FAT et utiliser le partitionnement BSD standard :
dd if=/dev/zero of=/dev/rsd2 count=2
disklabel -Brw sd2 auto
Vous pouvez utiliser disklabel ou /stand/sysinstall pour créer plusieurs partitions BSD. Vous effectuerez probablement ces opérations si vous ajoutez de l'espace de "swap" sur un disque fixe, mais il est inconcevable de le faire sur un disque amovible ZIP.Pour finir construisez un nouveau système de fichier, utilisant tout l'espace disponible sur votre lecteur ZIP :
newfs /dev/rsd2c
et montez le :
mount /dev/sd2c /zip
C'est surement une bonne idée d'ajouter la ligne suivante au fichier /etc/fstab , cela vous permettra de ne taper que "mount /zip" par la suite :
/dev/sd2c /zip ffs rw,noauto 0 0
Comment monter une partition DOS étendue ?Les partitions DOS étendues se trouvent après la fin de toutes les partitions primaires. Par exemple, si vous avez une partition "E" en tant que partition DOS étendue sur le deuxième disque SCSI, vous devez créer le fichier spécial pour la partition 5 dans /dev et monter /dev/sd1s5 :
# cd /dev
# ./MAKEDEV sd1s5
# mount -t msdos /dev/sd1s5 /dos/e
Puis-je monter d'autres systèmes de fichiers sous FreeBSD ?Les CDROM Digital UNIX
au format UFS peuvent être montés directements sous FreeBSD. Il peut
être très difficile, par contre, de monter des partitions disques de
Digital UNIX, ou d'autres systèmes supportant l'UFS. Cela dépend des
partitionnements effectués sur le système en question.Linux: Les version 2.2 et
supérieures incluent le support des partitions
ext2fs . Pour plus d'informations voyez la page de manuel
de
mount_ext2fs .Toute autre information sur le sujet est appréciée.Comment utiliser le programme de démarrage de NT pour démarrer FreeBSD ?Il faut pour cela copier le premier secteur de votre
partition FreeBSD dans un fichier sur une partition DOS/NT. Nous
supposerons qu'il s'appelle c:\bootsect.bsd
(équivalent de c:\bootsect.dos
). Il suffit d'éditer le fichier
c:\boot.ini pour qu'il ressemble à ceci:
[boot loader]
timeout=30
default=multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS
[operating systems]
multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS="Windows NT"
C:\BOOTSECT.BSD="FreeBSD"
C:\="DOS" Cette
procédure implique que DOS, NT ou FreeBSD soient installés sur le
même disque. Dans mon cas DOS et NT sont installés
respectivement sur la première partition du disque et FreeBSD sur la
seconde. FreeBSD est aussi configuré pour démarrer depuis sa partition
et non depuis le MBR du
disque.Monter une disquette préformatée DOS (si vous cette
partition n'est pas en FAT, mais en NTFS) sous /mnt
.
dd if=/dev/rsd0a of=/mnt/bootsect.bsd bs=512 count=1
Redémarrez en mode DOS ou NT. Si vous
avez une partition NTFS copiez le fichier bootsect.bsd
de la disquette dans le répertoire C:\. Modifiez les
attributs (permissions) du fichier boot.ini.
attrib -s -r c:\boot.ini
Ajoutez la ligne correcte au fichier boot.ini et
restaurez les anciens attributs.
attrib -s -r c:\boot.ini
Si FreeBSD démarre depuis le MBR, restaurez-le avec
la commande DOS fdisk /MBR après avoir
reconfiguré FreeBSD pour démarrer depuis sa partition native.Comment démarrer FreeBSD et Linux grace à LILO ?Si vous avez installé FreeBSD et Linux sur le mème disque,
suivez les instructions du manuel de LILO pour démarrer sur d'autres
systèmes que Linux. En résumé il faut :Démarrer sous Linux et ajouter les lignes suivantes au
fichier /etc/lilo.conf :
other=/dev/hda2
table=/deb/hda
label=FreeBSD
(l'exemple précédant suppose que la partition FreeBSD
est connue par linux sous le nom /dev/hda2 .
Ensuite lancez lilo sous root, et c'est
fini.Si FreeBSD se trouve sur un autre disque vous devez
ajouter loader=/boot/chain.b au fichier de
configuration de lilo :
other=/dev/sdb4
table=/dev/sdb
loader=/boot/chain.b
label=FreeBSD
Dans certains cas, vous devez spécifier le numéro du disque connu par
le BIOS au programme de démarrage de FreeBSD pour démarrer sur le
deuxième disque. Par exemple, si votre disque SCSI contenant FreeBSD
est trouvé par le BIOS comme disque numéro 1, vous devez taper la ligne
suivante au prompt du programme de démarrage:
Boot: 1:sd(0,a)/kernel
Vous pouvez configurer le programme de
démarrage de FreeBSD version 2.2.5 ou supérieure pour prendre
cette chaine par défaut.Le document Linux+FreeBSD
mini-HOWTO est une très bonne référence sur
l'interopérabilité entre FreeBSD et Linux.Comment démarrer FreeBSD et Linux depuis BootEasy ?Il faut installer LILO au début de votre partition de
démarrage de Linux au lieu du MBR. Vous pouvez alors démarrer LILO
depuis BootEasy.Si vous utilisez Linux et Windows-95, c'est la meilleur
façon d'installer LILO si vous voulez continuer à démarrer Linux après
avoir réinstallé Windows-95 (qui lui ne tient pas contre des autres
systèmes et se croit seul sur le MBR).Est-ce dangereux d'utiliser un disque dédié ?La procédure d'installation vous permet de choisir deux
façons différentes pour partitionner vos disques. Par défaut, elle
permet de les rendre compatibles avec d'autres systèmes d'exploitation
se trouvant sur votre ordinateur en utilisant les entrées des tables
de fdisk (appelés "slices" sous FreeBSD), en faisant en sorte qu'une
"slice" FreeBSD corresponde à une partition. Vous pouvez aussi
installer un selecteur de démarrage pour choisir de démarrer sous un
autre système d'exploitation.Comme ceci correspond à la plupart des cas de personnes
venant des PC, les personnes venant d'Unix et qui désirent mettre en
place une machine pour y faire tourner FreeBSD et juste FreeBSD,
utilisent la procédure classique d'installation d'Unix, ou Unix
utilise le disque au complet, du premier secteur au dernier. Une
véritable table pour fdisk n'est d'aucune utilité dans le vas d'une
machine utilisant FreeBSD 24h/24, 7jours sur 7, car aucun autre
système d'exploitation ne sera démarré. Donc si vous sélectionnez
``A)ll FreeBSD '' dans l'éditeur de partition du programme
d'installation et répondez ``No'' à la question qui suit, vous serez
dans ce cas. Notez que cela implique que le programme de
démarrage BSD correspond au MBR de ce disque. N'essayez pas d'en
réinstaller un sous peine de détruire le précédent.Donc pourquoi est-ce donc ``dangereux'' ? Un disque
configuré de la sorte ne contient pas de table fdisk valides, pour la
plupart des utilitaires PC. Suivant la façon dont ils ont été conçus,
ils vous avertissent ou tout simplement ne disent rien et détruisent
le programme de démarrage BSD sans avertissement. Certains systèmes
d'exploitation très utilisés sur PC, sont connus pour agir de la
sorte (bien sûr, ils agissent de la sorte sous le couvert de système
"orienté-utilisateur"). Au moins un BIOS de chez Award, qui est par
exemple utilisé sur les HP Netserver (mais sur d'autre systèmes
aussi), est connu pour ignorer tout disque dur n'ayant pas de table
fdisk valide. Lorsque votre machine démarre il ignore tout simplement
de tels disques, tente de démarrer sur une disquette, et vous affiche
un ``Read error''. Très impressionnant, non ?. C'est ce que certains
appellent un système "orienté-utilisateur".Les avantages de ce partitionnement sont : FreeBSD utilise
le disque au complet, il n'y a donc pas de besoin de garder quelques
'pistes' au début du disque qui ne servaient à rien sauf pour un
modèle de partitionnement vieux et simpliste qui n'a maintenant plus
aucun sens. Ces contraintes étant ce que l'on peut appeler la plus
grosse prise de tête lors de l'installation des systèmes
d'exploitations sur PS, et qui menaient le plus souvent à deux façon
complètement redondantes de stockage des informations dans les tables
fdisk. Voyez le chapitre sur ``Missing
Operating System''. Dans le cas d'un disque ``dangereusement dédié'',
le programme de démarrage BSD commence au secteur 0, qui est le seul
secteur ne changeant de valeur C/H/S, pour les valeurs du disque du
BIOS. Vous pouvez donc, dans ce cas, interchanger des disques entre
plusieurs controleurs ou systèmes utilisant des schémas de translation
différents sans vous poser de questions.Pour passer d'un disque ``dangereusement dédié'' à un
disque normal de PC, il y a deux solutions simples. La première est de
recouvrir le MBR d'octets vides, pour permettre de faire croire que le
disque est vierge. Pour pouvez le faire de la façon suivante:
dd if=/dev/zero of=/dev/rds0 count=15
Ou en utilisant une fonctionnnalité non-documentée de DOS :
fdisk /mbr qui installe aussi un
nouveau MBR, en recouvrant le programme de démarrage BSD.Comme faire pour ajouter plus de "swap" ?La meilleur façon de faire, est d'augmenter la taille de
votre partition de swap, ou de prendre cette excuse pour ajouter un
autre disque.Ajouter du "swap" sur un autre disque permet plus d'augmenter
la rapidité que d'en ajouter sur le même disque. Par exemple, si
vous compilez des fichiers qui se trouvent sur un disque et que le "swap"
se trouve sur un autre disque, cela va beaucoup plus vite d'avoir
le "swap" et les sources sur le même disque. Ceci est
spécialement vrai pour les disques SCSI.Les disques IDE ne permettent pas l'accès à deux disques
sur le même canal au même moment (FreeBSD ne supporte pas
le mode 4, donc toutes les entrées/sorties disques sont
``programmées''). Je vous suggère de mettre le "swap" sur un autre
disque aussi. Les disques durs sont si peu couteux, que cela ne vaut
pas le coup de tout mettre sur un.C'est une très mauvaise idée de mettre le fichier de
"swap" sur une partition NFS, sauf si vous disposez d'un environnement
réseau extrèmement rapide, et d'un très bon serveur NFS.Voici un exemple pour ajouter 64Mo de swap en utilisant un
fichier se nommant /usr/swap0 .Assurez vous que votre noyau est compilé avec la ligne
pseudo-device vn 1 # #Vnode driver (turns a file into a device)
Le noyau GENERIC la contient par
défaut.
Créez un vn-device :
cd /dev
sh./MAKEDEV vn0
Créez le fichier de "swap" (/usr/swap0).
dd if=/dev/zero of=/usr/swap0 bs=1024k count=64 Activez le fichier de "swap" dans le fichier
/etc/rc.conf
swapfile="/usr/swap0" # Set to name of swapfile if aux swapfile desired.
Rebootez la machinePour activer le fichier de "swap" immédiatement, tapez
vnconfig -ce /dev/vn0c /usr/swap0 swap
J'ai des problèmes pour installer mon imprimante.Référez-vous à la section sur les imprimantes du Handbook. Elle
couvre l'essentiel des problèmes que l'on peut rencontrer.Le clavier est mal configuré sur mon ordinateur.Le programme kbdcontrol comporte une
option permettant de charger une configuration clavier différente.
Vous trouverez dans /usr/share/syscons/keymaps
différents fichiers de configuration. Choisissez celle voulue et
chargez la : kbdcontrol -l fr.iso
Dans tous les cas le programme kbdcontrol
recherche dans /usr/share/syscons/keymaps un
fichier se terminant par .kbd.Vous pouvez le configurer dans le fichier
/etc/sysconfig (ou rc.conf).
Regardez les commentaires apropriés dans ce fichier.Pour les versions 2.0.5 et suivantes, tout ce qui est
relatif aux fontes du texte, à la configuration du clavier se trouve dans
/usr/share/syscons.Actuellement les configurations de claviers suivantes sont supportées :
Belgian ISO-8859-1 Brazilian 275 keyboard Codepage 850 Brazilian 275 keyboard ISO-8859-1 Danish Codepage 865 Danish ISO-8859-1 French ISO-8859-1 German Codepage 850 German ISO-8859-1 Italian ISO-8859-1 Japanese 106 Japanese 106x Latin American Norwegian ISO-8859-1 Polish ISO-8859-2 (programmer's) Russian Codepage 866 (alternative) Russian koi8-r (shift) Russian koi8-r Spanish ISO-8859-1 Swedish Codepage 850 Swedish ISO-8859-1 Swiss-German ISO-8859-1 United Kingdom Codepage 850 United Kingdom ISO-8859-1 United States of America ISO-8859-1 United States of America dvorak United States of America dvorakx Comment faire en sorte que les quotas utilisateurs fonctionnent correctement ?Ne mettez pas de quotas sur '/',Mettez le fichier des quotas sur le système de fichiers
qui en dispose, par ex :
Système de fichier Emplacement du fichier des quotas
/usr /usr/admin/quotas
/home /home/admin/quotas
...
Qu'est-ce qui ne va pas avec ma configuration de ccd ?Le symptome est le suivant :
# ccdconfig -C
ccdconfig: ioctl (CCDIOCSET): /dev/ccd0c: Inappropriate file type or format
#
Ceci apparait la plupart du temps lorsque vous essayez de
concaténer les partitions ``c'', qui par défaut ont comme type
``unused''. Le gestionnaire de disque ccd nécessite que le type de la
partition soit de type FS_BSDFFS. Dans ce cas, éditez le label des
disques à concaténer et changez le type des partitions en type
``4.2BSD''.Pourquoi je ne peux pas éditer le label de mes disques concaténés ? Le symptome est le suivant :
# disklabel ccd0
(ça affiche quelque chose de particulier ici, donc essayons de l'éditer)
# disklabel -e ccd0
(édition, sauvegarde, sortie)
disklabel: ioctl DIOCWDINFO: No disk label on disk;
use "disklabel -r" to install initial label
#
Cela apparait souvent lorsque le label retourné par le
gestionnaire de disques concaténé est un faux, un qui n'est pas
véritablement sur le disque. Pour résoudre ce problème il faut écrire
explicitement sur le disque, comme ceci :
# disklabel ccd0 > /tmp/disklabel.tmp
# disklabel -Rr ccd0 /tmp/disklabel.tmp
# disklabel -e ccd0
(maintenant cela doit fonctionner correctement)
Est-ce que FreeBSD supporte les communications inter-processus de type Système V (IPC) ?Oui, FreeBSD supporte les communications inter-processus
de type Système V, IPC. Cela inclue la mémoire partagée, les files de
messages et les sémaphores. Vous devez ajouter les lignes suivantes à
votre fichier de configuration du noyau pour les activer :
options SYSVSHM
options "SHMMAXPGS=64" # 256Ko de mémoire partagée
options SYSVSEM # activation des sémaphores
options SYSVMSG # activation des files de messages
Recompilez le noyau et installez le.Note : Vous aurez sûrement
besoin d'augmenter SHMMAXPGS à un nombre plus élevé, comme 4096 (16M!)
si vous avez besoin d'utiliser GIMP. 256Ko est largement suffisant
pour la mémoire partagée dont à besoin X11R6.Comment configurer sendmail pour fonctionner avec UUCP ?La configuration de sendmail fournie avec FreeBSD,
correspond à un site directement connecté à l'Internet. Les sites qui
utilisent UUCP pour échanger du courrier électronique doivent
installer un autre fichier de configuration pour sendmail. Modifier directement le fichier
/etc/sendmail.cf est réservé la plupart du temps aux
gourous. La version 8 de sendmail dispose d'une interface m4 de génération
du fichier de configuration, qui encapsule le fichier de configuration
dans un format abstrait de haut niveau. Vous devez trouvez les
différents fichiers de configuration dans le répertoire
/usr/src/usr.sbin/sendmail/cf .Si vous n'avez pas installé tous les sources du système,
vous pouvez trouver les différents fichiers de configuration de
sendmail dans un fichier séparé des autres sources sur le CD-ROM. Si
vous avez monté le CD-ROM exécutez les commandes suivantes :
cd /usr/src
tar -xvzf /cdrom/dists/src/ssmailcf.aa
Cela correspond juste à une centaine de kilo-octets. Le
fichier README dans le répertoire
cf vous explique rapidement comment fonctionnne
m4.Pour utiliser UUCP, vous devez utiliser la fonctionnnalité
mailertable. Elle permet à sendmail de constituer
une base de données pour lui permettre de router le courrier
correctement.Pour commencer, vous devez créer une fichier de
configuration .mc. Tous ces types de fichiers se
trouvent dans le répertoire
/usr/src/usr.sbin/sendmail/cf/cf. Il y a quelques
fichiers d'exemples dans ce répertoire pouvant vous aider. En
supposant que vous avez appelé ce fichier foo.mc,
tout ce que vous devez faire pour le convertir en un
fichier valide de configuration de sendmail,
sendmail.cf est :
cd /usr/src/usr.sbin/sendmail/cf/cf
make foo.cf
cp foo.cf /etc/sendmail.cf
Un fichier classique ressemble à ceci:
include(`../m4/cf.m4')
VERSIONID(`Votre numéro de version)
OSTYPE(bsd4.4)
FEATURE(nodns)
FEATURE(nocanonify)
FEATURE(mailertable)
define(`UUCP_RELAY', nom.du.relai.uucp)
define(`UUCP_MAX_SIZE', 200000)
MAILER(local)
MAILER(smtp)
MAILER(uucp)
Cw alias.de.votre.nom.de.machine
Cw votrenomdenoeuduucp.UUCP
Les directives nodnset
nocanonify forcent sendmail à ne pas utiliser le
DNS lors de l'envoi du courrier. La directive
UUCP_RELAY est utilisée pour des raisons assez
bizarres; ne posez pas de questions et utilisez-la. Mettez juste un nom
de machine capable de recevoir du courrier en UUCP. La plupart du
temps il faut mettre le nom du serveur de messagerie de votre
fournisseur d'accès.Après avoir défini tout ceci, vous avez besoin d'un
fichier /etc/mailertable. Voici un exemple de ce
type de fichier :
#
# makemap hash /etc/mailertable.db < /etc/mailertable
#
horus.interface-business.de uucp-dom:horus
.interface-business.de uucp-dom:if-bus
interface-business.de uucp-dom:if-bus
.heep.sax.de smtp8:%1
horus.UUCP uucp-dom:horus
if-bus.UUCP uucp-dom:if-bus
. uucp-dom:sax
Les trois premières lignes font en sorte d'envoyer
le courrier à des serveurs UUCP ``voisins'' et non pas au serveur par
défaut, pour permettre de racourcir le temps d'envoi des messages. La
ligne suivante permet d'envoyer le courrier sur le domaine local en
protocole SMTP. Et pour finir, les ``voisins'' UUCP sont mentionner
dans la la notation de domaine .UUCP, permettant au format de mail
``voisin-uucp!destinataire'' d'écraser les règles par défaut. La
dernière ligne doit toujours être un ``.'', qui représente toutes les
destinations, qui doit correspondre à un serveur de messagerie UUCP
voisin, et qui sert de passerelle de courrier éléctronique vers le
reste du monde. Tous les noms de noeuds se trouvant après le mot clé
uucp-dom:doivent être des noms valides de voisins
UUCP, que vous pouvez vérifier en utilisant la commande
uunamePour vous rappeler que ce fichier doit être converti en
fichier DBM pour pouvoir être utilisé, la ligne de commande
nécessaire à sa création est rappelée dans les commentaires du fichier
mailertable. Vous devez lancer cette commande à chaque fois que vous
changez quelque chose dans ce fichier.Pour finir : si vous n'etes pas certain de votre
configuration d'envoi de messages électroniques, rappellez-vous
l'option -bt de sendmail. Cela lance sendmail en
mode test ; entrez simplement ``0 '' suivi de
l'adresse que vous voulez tester. La dernière ligne vous indiquera
alors le type d'agent utilisé pour l'envoi, la machine auquelle
l'agent enverra le courrier, et l'adresse à laquelle il l'enverra. Pour
quitter ce mode tapez Control-D.
j@uriah 191% sendmail -bt
ADDRESS TEST MODE (ruleset 3 NOT automatically invoked)
Enter <ruleset> <address>
> 0 foo@interface-business.de
rewrite: ruleset 0 input: foo @ interface-business . de
...
rewrite: ruleset 0 returns: $# uucp-dom $@ if-bus $: foo \
< @ interface-business . de >
> ^D
j@uriah 192%
Comment mettre en oeuvre le courrier électronique avec une connexion temporaire à un réseau ?Si vous disposez d'un adresse IP statique, vous ne devez rien changer. Definissez juste votre nom de machine pour qu'il corresponde à votre nom de machine internet et sendmail s'occupera du reste.Dans le cas ou vous disposez d'une adresse IP
-dynamiquement assignée et que vous utilisez une connection ppp pour
+dynamiquement assignée et que vous utilisez une connexion ppp pour
accèder à l'internet, vous diposez probablement d'une boite aux
lettres chez votre fournisseur d'accès. Prenons comme exemple que le
domaine de votre fournisseur soit monISP.com, que
votre nom d'utilisateur soit monlogin, que votre nom
de machine soit bsd.perso et que votre
fournisseur vous aie indiqué la machine
relai.monISP.com comme serveur relai de
messagerie électronique.Pour pouvoir recevoir votre courrier depuis votre boite à
lettres, vous devez installer un agent de rapatriement de
mail.Fetchmail est un bon choix, car
il supporte la plupart des protocoles de messagerie. La plupart du
temps, votre fournisseur offre l'accès à travers le protocole POP3. Si
vous avez décidé d'utiliser la partie utilisateur de ppp, vous pouvez
automatiquement rapatrier votre courrier lorsque la connexion vers le
réseau est établie en ajoutant la ligne suivante au fichier
/etc/ppp/ppp.linkup :
MYADDR:
!bg su monlogin -c fetchmail
Ici nous assumons que vous disposez d'un compte nommé
monlogin sur la machine
bsd.perso. Vous devez alors créer un fichier
.fetchmailrc dans votre répertoire principal
contenant :
poll monISP.com protocol pop3 fetchall pass monPasswd:
Naturellement, ce fichier ne doit être lisible que par
l'utilisateur monlogin car il contient le mot de
passe monPasswd.Pour permettre d'envoyer du courrier avec l'entête
from: correcte, vous devez configurer
sendmail pour utiliser l'adresse
monlogin@monISP.com plutôt que
monlogin@bsd.perso. Vous devez aussi dire à votre
sendmail d'envoyer tout le courrier via le serveur
relai.monISP.com, permettant au courrier
d'être envoyé plus rapidement.Le fichier de configuration .mc suivant doit convenir :
VERSIONID(`bsd.perso.mc version 1.0')
OSTYPE(bsd4.4)dnl
FEATURE(nouucp)dnl
MAILER(local)dnl
MAILER(smtp)dnl
Cwlocalhost
Cwbsd.perso
MASQUERADE_AS(`monISP.com')dnl
FEATURE(allmasquerade)dnl
FEATURE(masquerade_envelope)dnl
FEATURE(nocanonify)dnl
FEATURE(nodns)dnl
define(SMART_HOST, `relai.monISP.com')
Dmbsd.perso
define(`confDOMAIN_NAME',`bsd.perso')dnl
define(`confDELIVERY_MODE',`deferred')dnl
Reférez-vous à la section précédente pour l'explication
détaillée de conversion du fichier .mcen fichier
sendmail.cf. N'oubliez pas non plus de redémarrer
sendmail après avoir modifié le fichier
/etc/sendmail.cfHorreur !! J'ai perdu le mot de passe de root !! Ne paniquez pas! Redémarrez tout simplement le système en
tapant -s au "prompt" Boot: pour passer en mode mono-utilisateur. A la
question sur le shell à utiliser, appuyez sur ENTREE. Vous obtiendrez
alors un prompt "#". Tapez la commande mount -u
pour remonter votre partition primaire en lecture/écriture et lancez
la commande mount -a pour remonter tous les
systèmes de fichiers. Tapez passwd root pour
changer le mot de passe root puis tapez exit pour
continuer le processus de démarrage du système.Comment empècher le redémarrage du système en appuyant sur les touches Control-Alt-Delete ?Editez le fichier de configuration du clavier que vous
utilisez pour la console et remplacez le mot clé
boot par nop. Le fichier de
configuration du clavier utilisé par défaut est
/usr/share/syscons/keymaps/us.iso.kbd. Vous
pouvez changer la configuration en éditant le fichier
/etc/rc.conf. Bien sur si vous utilisez une autre
configuration, il faut éditer le fichier de configuration la
décrivant.Comment transformer les fichiers textes au format DOS en fichiers UNIX ?Utilisez tout simplement la commande perl suivante :
perl -i.bak -pe 's/\r\n/\n/g' fichier.dos ...
fichier.dos étant le fichier à modifier. Cette commande
remplace dans le fichier et sauvegarde l'ancien sous le nom
fichier.dos.bak.Comment tuer un processus par son nom ?Utilisez killall(1)Pourquoi la commande su me dit sans arrêt que je ne suis pas dans les ACL de root ?Cette erreur vient du système d'authentification distribué
Kerberos. Ceci n'est pas un problème très grave. Un palliatif consiste
à utiliser l'option "-k" de su ou de désinstaller Kerberos comme
expliqué à la section suivante.Comment désinstaller Kerberos ?Pour désinstaller Kerberos de votre système, vous devez
réinstaller la distribution bin depuis votre
version de FreeBSD. Si vous disposez d'un CDROM, vous devez monter le
cd (la plupart du temps dans /cdrom) et lancer :
cd /cdrom/bin
./install.sh
Comment ajouter des pseudo-terminaux au système ?Si vous avez un grand nombre de telnet, ssh, X, or screen users,
vous risquez probablement de manquer de pseudo-terminaux.
Voici comment en ajouter plusieurs :Créer et installer un nouveau noyau avec la ligne
pseudo-device pty 256
dans le fichier de configuration.Exécuter la commande :
# cd /dev
# ./MAKEDEV pty{1,2,3,4,5,6,7}
pour créer 256 device nodes pour les nouveaux terminaux.Editer /etc/ttys et
jouter une ligne pour chacun des 256 terminaux.
Elles doivent correspondre à la forme des entrées existantes.
c'est à dire ressembler à :
ttyqc none network
L'ordre des lettres de désignation est
tty[pqrsPQRS][0-9a-v],
en utilisant une expression régulière. Démarrez le système avec le nouveau noyau
et vous êtes prêts à travailler.
diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/applications.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/applications.sgml
index ce9f6f1dcd..0239ae5296 100644
--- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/applications.sgml
+++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/applications.sgml
@@ -1,149 +1,149 @@
ApplicationsOu puis-je trouver toutes les applications utilisateurs?Allez voir sur la page des
ports pour plus d'informations sur les packages portés sur
FreeBSD. La liste complète inclut plus de 1000 ports, et grossit chaque
jours, donc vérifiez souvent cette liste, ou souscrivez à la mailing
liste freebsd-announce pour
vous tenir au courant des mises à jour.La plupart des ports sont disponibles pour la branche 2.2
et 3.0, et la plupart d'entre eux sont susceptibles de fonctionner sur
des systèmes 2.1.x. A chaque fois qu'une version de FreeBSD est
livrée, une version des ports, au moment de la livraison de la
version, est incluse dans le répertoire ports
.FreeBSD supporte aussi le concept de ``package'', qui
n'est rien de plus qu'une distribution binaire compressée avec
quelques informations en plus, permettant de l'installer très
simplement. Un ``package'' peut être installé et désinstallé
facilement, sans avoir besoin de savoir les détails sur les fichiers
qu'il inclut.Il vous suffit d'utiliser le menu d'installation des
``package'' du programme /stand/sysinstall ou
servez vous de la commande pkg_add(1) pour
installer les ``packages'' que vous désirez. Les fichiers des
``packages'' sont très simple à identifiés de part leur suffixe
.tgz . Les personnes disposant d'une
distribution sur CDROM les trouveront dans le répertoire
packages/All . Ils sont aussi disponibles sur ces
différents serveurs ftp:
Pour les versions 2.1.x-release: ftp://ftp.FreeBSD.ORG/pub/FreeBSD/packages-2.1.7/Pour les versions 2.2.6-release/2.2.-stable: ftp://ftp.FreeBSD.ORG/pub/FreeBSD/packages-2.2.6/Pour la version 3.0-current: ftp://ftp.FreeBSD.ORG/pub/FreeBSD/packages-3.0/ ou sur un site mirroir.Notez, que tous les ports ne sont pas obligatoirement
disponibles sous forme de ``package''. C'est une bonne idée de
vérifier régulièrement la disponibilité des différents packages sur le
site principal de
FreeBSDOu trouver la librairie libc.so.3.0?Cela veut dire que vous essayez d'utiliser un ``package''
compilé pour des versions 2.2/3.0 sur un système 2.1.x. Voyez la
section précedente et retrouvez le port/package correct pour votre
système. ghostscript m'affiche énormément d'erreurs sur mon 386/486SX. Vous n'avez pas de coprocesseur mathématique, n'est-ce pas ? Vous
devez absolument compiler l'émulateur mathématique fournit dans votre
noyau; il vous suffit d'ajouter la ligne suivante dans votre fichier
de configuration du noyau: options GPL_MATH_EMULATE
NOTE: Vous devez retirer la ligne contenant l'option
MATH_EMULATE si vous activez la
précédente.Lorsque je lance des applications SCO/iBCS2, elles plantent sur socksys Vous devez en tout premier éditer le fichier
/etc/sysconfig (ou /etc/rc.conf
) et positionner la variable suivante sur YES :
# à positionner sur YES si vous voulez que l'émulation ibcs2(SCO) soit chargée au démarrage
ibcs2=NO
Cela activera le module ibcs2 au
démarrage.Vous devrez aussi créer le répertoire
/compat/ibcs2/dev et mettre en place ce qui suit :
lrwxr-xr-x 1 root wheel 9 Oct 15 22:20 X0R@ -> /dev/null
lrwxr-xr-x 1 root wheel 7 Oct 15 22:20 nfsd@ -> socksys
-rw-rw-r-- 1 root wheel 0 Oct 28 12:02 null
lrwxr-xr-x 1 root wheel 9 Oct 15 22:20 socksys@ -> /dev/null
crw-rw-rw- 1 root wheel 41, 1 Oct 15 22:14 spx
Il suffit de faire pointer socksys vers /dev/null
pour tromper les open & close. Le code, dans la version -current,
fera le reste. Si vous avez besoin du driver spx
- pour la connection d'une socket X, définissez
+ pour la connexion d'une socket X, définissez
SPX_HACK lors de la compilation de votre
système.Comment dois-je configurer INN (Internet News) pour mon système ?Après avoir installé le package ou le port de inn, la
meilleur façon de commencer est de voir la page de Fabien TASSIN
sur INN, ou vous trouverez la FAQ de INN.Quelle version de Microsoft FrontPage dois-je utiliser ?Utilisez les ports ! Une pré-version patchée pour Apache est
disponible dans les ports
diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/book.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/book.sgml
index df5c82ddf9..ec6d2d1736 100644
--- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/book.sgml
+++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/book.sgml
@@ -1,93 +1,97 @@
%urls;
+ %translators;
+
+ %authors;
+ %mailing-lists;
%includes;
]>
Questions Fréquemment Posées sur FreeBSD 2.XSébastienGIORIA
- gioria@francenet.fr
+ gioria@FreeBSD.orgTuyet TramDANG NGOCdntt@prism.uvsq.frSeptembre - Décembre 1998
Ceci est la FAQ pour les versions de FreeBSD 2.X. Toutes les entrées sont
relatives à FreeBSD 2.05 et les versions ultérieures.Toutes
les entrées finissant avec <XXX> sont en cours de
construction. Si vous êtes intéressé par ce projet,
envoyez un email sur la "mailing-list" : freebsd-france@freebsd.francenet.fr.
La dernière version de ce document est disponible en anglais à
l'adresse suivante : FreeBSD
World Wide Web server . Ce document est également disponible
en format texte et en format
postscriptNous recherchons des relecteurs pour la correction de cette FAQ.
&preface;
&install;
&hardware;
&troubleshoot;
&commercial;
&applications;
&kernelconfig;
&admin;
&x;
&network;
&serial;
&misc;
&hackers;
&acknowledgments;
diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/hardware.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/hardware.sgml
index 43deb6cabf..19b482805c 100644
--- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/hardware.sgml
+++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/hardware.sgml
@@ -1,478 +1,478 @@
Compatibilité matérielleQuels sont les types de disques durs supportés par FreeBSD ?FreeBSD supporte les disques EIDE et SCSI (pour les contrôleurs
compatibles, voir la section suivante), ainsi que tous les disques
utilisant l'interface originale "Western Digital" (MFM, RLL, ESDI
et bien sûr IDE).
Quelques contrôleurs ESDI utilisant des interfaces propriétaires
peuvent ne pas marcher: utilisez les interfaces WD1002/3/6/7 et leurs
clones.Quels sont les contrôleurs SCSI supportés ?Voir la liste complète dans le
Handbook.Quels sont les lecteurs CD-ROM supportés par FreeBSD ?N'importe quel lecteur SCSI connecté à un contrôleur supporté
est supporté.Les interfaces CD-ROM propriétaires suivantes sont aussi supportées:
- Mitsumi LU002 (8bit), LU005 (16 bits) et FX001D
+ Mitsumi LU002 (8 bits), LU005 (16 bits) et FX001D
(16 bits double vitesse).Sony CDU 31/33ACD-ROM Sound Blaster Non-SCSICD-ROM Matsushita/PanasonicCD-ROM ATAPI compatible IDEToutes les cartes non-SCSI sont connues pour être extrêmement lentes
par rapport aux lecteurs SCSI, et certains CDROM ATAPI peuvent ne pas
être pris en charge.A partir de la version 2.2, le CD-ROM FreeBSD de Walnut Creek
permet de démarrer directement FreeBSD depuis le CD.Est-ce que FreeBSD supporte les lecteurs ZIP ?FreeBSD supporte bien sûr les lecteurs ZIP SCSI de base
- out of the box.
Les lecteurs ZIP ne peuvent être réglés que pour marcher sur les cibles
SCSI d'adresse 5 ou 6, mais si le BIOS de votre adaptateur SCSI hôte
le permet, vous pourrez même démarrer à partir du ZIP.
Je ne sais pas quel adaptateur SCSI hôte vous permet de démarrer
depuis des cibles autres que 0 ou 1... regardez votre documentation
(et dites moi si cela marche pour vous).Les ZIP ATAPI (IDE) sont pris en charge par FreeBSD 2.2.6
ainsi que par les versions ultérieures.FreeBSD 3.0-STABLE contient le support pour lecteur ZIP
sur port parallèle, mais pour cela, vous aurez à construire
un nouveau noyau avec support pour ppbus (Parallel Port Bus)
afin d'utiliser le ZIP.
Prendre le fichier de configuration LINT comme exemple.Regarder aussi cette note traitant des
disques amovibles, ainsi que celle sur
le 'formatage'.Est-ce que FreeBSD supporte JAZ, EZ et autres disques amovibles ?A part la version IDE du lecteur EZ, ce sont tous des
périphériques SCSI, alors pour FreeBSD, ils sont considérés comme des
disques SCSI, et le lecteur IDE EZ est considéré comme un lecteur IDE.
Je ne suis pas sûr que FreeBSD supporte
correctemement un changement de media en cours de fonctionnement.
Vous devrez bien sûr démonter le lecteur avant l'échange, et vous
assurer que les unités externes soient allumées pendant le démarrage
du système de sorte que FreeBSD puisse les voir. Quelles sont les cartes séries multi-ports prises en charge par FreeBSD ?Une liste est disponible à la section
périphériques divers
du handbook.A notre connaissance, certaines cartes clone sans marque
sont connues pour fonctionner, en particulier celles qui se disent
être compatibles AST.Regarder la page de manuel
sio pour
plus d'informations sur la configuration de telles cartes.J'ai une souris bus inhabituelle. Comment la configurer ?FreeBSD supporte les souris bus et les souris bus InPort de
constructeurs tels que Microsoft, Logitech et ATI. Le contrôleur du bus
est compilé dans le noyau GENERIC par défaut. Si vous construisez un noyau
personalisé avec le contrôleur de souris bus, assurez-vous d'avoir bien
mis la ligne suivante dans le fichier de configuration du noyau :
device mse0 at isa? port 0x23c tty irq5 vector mseintr
La souris bus vient souvent avec une interface dédiée.
Cela vous permet de mettre une adresse de port et un numéro
d'IRQ autres que ceux donnés ci-dessus.
Reportez-vous au manuel de votre souris et à la page de manuel
mse
pour plus d'informations.Comment utiliser ma souris PS/2 (``port souris'' ou ``clavier'') ?Si vous utilisez une version de FreeBSD post-2.2.5, le pilote
nécessaire, psm, est inclu et activé dans le noyau.
Le noyau devrait détecter votre souris PS/2 au moment du démarrage.Si vous utilisez une version précédente mais assez récente de
FreeBSD (2.1.x ou mieux), alors vous pouvez simplement l'activer
dans le menu de configuration du noyau à l'installation, ou plus tard
avec -c à l'invite du démarrage (boot). Il est désactivé par défaut,
c'est pourquoi vous aurez à l'activer explicitement.Si vous utilisez une version plus ancienne du noyau, alors
vous aurez à ajouter la ligne suivante dans la configuration
de votre noyau, et compiler un nouveau noyau :
device psm0 at isa? port "IO_KBD" conflicts tty irq 12 vector psmintr
Voir la section du
Handbook sur la configuration du noyau si vous n'avez aucune
expérience dans la construction d'un noyau.Un fois que vous aurez un noyau détectant correctement psm0 au
moment du démarrage, assurez vous qu'une entrée pour psm0 existe bien
dans /dev. Vous pouvez le faire en tapant :
cd /dev; sh MAKEDEV psm0
une fois loggué sous root.Puis-je utiliser ma souris en dehors de X Window ?Si vous utilisez le pilote de console par défaut, syscons, vous
pourrez utiliser un curseur souris dans les consoles texte pour couper
et coller du texte.
Lancer le démon (de gestion de la) souris : moused, et déclencher
le curseur de souris dans la console virtuelle.
moused -p /dev/xxxx -t yyyy
vidcontrol -m on
Où xxxx est le nom du périphérique souris et
yyyy le type de protocole pour la souris.
Voir la page de manuel
moused
pour les types de protocoles supportés. Peut-être préférez-vous lancer le démon gérant la souris au
moment du démarrage du système.
Dans la version 2.2.1, positionnez les variables suivantes dans
/etc/sysconfig.
mousedtype="yyyy"
mousedport="xxxx"
mousedflags=""
Dans les versions 2.2.2 et plus, positionnez les variables
suivantes dans /etc/rc.conf.
moused_type="yyyy"
moused_port="xxxx"
moused_flags=""
A partir de la version 2.2.6 de FreeBSD, le démon souris
est capable de déterminer le type de protocole approprié
automatiquement à moins que votre souris série ne soit d'un modèle
relativement ancien.
Spécifiez ``auto'' comme protocole pour activer la
détection automatique.Quand le démon souris tourne, l'accès à la souris doit être
coordonné entre le démon souris et les autres programmes
comme X-Window. Se référer à une autre
section de ce document.Comment puis-je couper et coller du texte avec ma souris dans ma console texte ?Une fois que vous aurez réussi à lancer le démon souris
(voir section précédente), appuyez
en le maintenant sur le bouton 1 (bouton de gauche) et déplacez la
souris afin de sélectionner une partie du texte. Puis, appuyez
(clicquez) sur le bouton 2 (bouton du milieu) ou bouton 3 (bouton
de droite) pour le coller à l'endroit du curseur texte.Dans les versions 2.2.6 et plus, un clic sur le bouton 2 collera
le texte. Un clic sur le bouton droit ``étendra'' la partie de
texte sélectionné.
Si votre souris n'a pas de bouton du milieu, vous
pouvez l'émuler ou redéfinir les boutons en utilisant les
options de la souris. Se reporter à la page de référence
moused
pour plus de détails.Ma souris a une roulette et des boutons ésotériques. Puis-je les utiliser sous FreeBSD ? Malheureusement, la réponse est: ``Cà dépend''.
Ces souris avec des fonctionnalités supplémentaires ont
besoin de pilotes spéciaux dans la majorité des cas.
Alors, à moins que le pilote de la souris ou que le
programme utilisateur ait un support spécifique pour cette
souris, la souris se comportera comme une souris standard 2 ou 3
boutons.Comment utiliser la souris/trackball/touchpad de mon portable ? Se référer à la réponse à la question
précédente, ainsi qu'à cette section sur
les ordinateurs portables.Quels types de lecteurs de bandes sont supportés ? FreeBSD supporte les lecteurs de bandes magnétique SCSI,
QIC-36 (avec une interface QIC-02) et QIC-40/80 (basés sur
l'interface Floppy).
Ceci inclut les lecteurs 8-mm (connus sous le nom d'Exabyte) et
lecteurs DAT. Les lecteurs QIC-40/80 sont connus pour être lents.Parmi les premiers lecteurs 8-mm, quelques-uns ne sont pas tout à
fait compatibles SCSI-2, et peuvent de ce fait ne pas très bien
marcher avec FreeBSD.FreeBSD supporte-t-il les changeurs de bandes ?FreeBSD 2.2 gère les changeurs SCSI en utilisant le périphérique
ch ainsi
que la commande
chio.
Pour avoir plus de détails sur le contrôle du changeur, lisez la page du
manuel chio.
Si vous n'utilisez pas
AMANDA
ou un autre produit qui gère déjà les changeurs,
souvenez-vous qu'ils ne savent que déplacer une bande d'un
point à un autre. Par conséquent, vous devrez garder une
trace de l'emplacement dans lequel une bande est mise, ainsi que celui
où la bande courante devra revenir.Quelles sont les cartes son supportées par FreeBSD ?FreeBSD prend en charge les cartes son: SoundBlaster,
SoundBlaster Pro, SoundBlaster 16, Pro Audio Spectrum 16,
AdLib et Gravis UltraSound.
Il y a aussi un support limité pour les cartes MPU-401 et
compatible MIDI.
Les cartes conformes aux spécifications Microsoft Sound System
sont aussi supportées par l'intermédiaire du pilote pcm.Ceci n'est valable que pour les sons!
Ce pilote ne supporte pas les CD-ROMs, SCSI ou joysticks sur
ces cartes, excepté pour la SoundBlaster.
L'interface SCSI SoundBlaster et quelques CD-ROM non-SCSI sont
aussi supportés.
Mais vous ne pourrez pas démarrer depuis ces périphériques.Quels sont les cartes réseau supportées par FreeBSD ?Regarder la section
cartes éthernet du handbook pour une liste complète.Je n'ai pas de coprocesseur arithmétique. Est-ce un problème ?Cela ne touche que ceux qui ont un 386/486SX/486SLC -
toutes les autres machines en ont déjà un intégré dans la CPU.En règle générale, il n'y a pas d'inconvénient, mais il
existe des circonstances dans lesquelles cela peut causer
des problèmes aussi bien au niveau des performances qu'au niveau de la
précision du code d'émulation arithmétique (voir la section
sur l'émulation FP).
En particulier, le dessin de courbes sous X sera TRES lent.
Il est hautement recommandé d'acheter un coprocesseur arithmétique :
c'est quand même mieux avec !Certains coprocesseurs mathématiques sont meilleurs que d'autres.
Cela nous peine de le dire, mais personne n'a jamais été licencié
pour avoir acheté de l'Intel.
A moins que d'être sûr qu'ils fonctionnent avec FreeBSD,
méfiez-vous des clones !Quels autres périphériques la version 2.X supporte-t-elle ?Lire le Handbook
pour obtenir la liste des périphériques supportés.FreeBSD supporte-t-il le gestionnaire d'énergie de mon portable ?FreeBSD supporte l'APM sur certaines machines.
Regardez dans le fichier de configuration du noyau
LINT, et cherchez le mot-clef
APM.Solutions de contournement pour des problèmes matériels particuliers.Cette section traite de solutions de contournement pour des
problèmes rencontrés par nos utilisateurs sur certains matériels
particuliers.Les systèmes Micron sont suspendus au moment du démarrage. Certaines cartes mères Micron ont des implémentations
non-conformes de PCI BIOS, ce qui peut poser des problèmes
lorsque FreeBSD démarre car les périphériques PCI ne sont pas
configurés à l'adresse annoncée.Désactivez l'option "Système d'exploitation Plug and Play"
dans le BIOS pour contourner ce problème.
Des compléments d'informations peuvent être trouvés à
"http://cesdis.gsfc.nasa.gov/linux/drivers/vortex.html#micron"J'ai un nouveau contrôleur Adaptec, et FreeBSD ne le reconnait pas. Les nouvelles puces de la série Adaptec AIC789x sont supportées
dans le cadre du CAM SCSI qui démarre avec la 3.0.
Des patches pour la version 2.2-STABLE sont disponibles à
ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/cam/
Une disquette d'amorce avec CAM est disponible à
http://www.freebsd.org/~abial/cam-boot/.
Dans les deux cas, lisez le fichier README avant toute chose.J'ai un modem interne plug'n play, et FreeBSD ne le reconnait pas.Vous devez ajouter l'ID PnP du modem à la liste des ID PnP dans
le pilote série.
Pour activer le support Plug & Play, il faut compiler un nouveau
noyau avec controller pnp0 dans le fichier de
configuration, puis redémarrer le système. Le noyau affichera alors
l'ID PnP de tous les périphériques qu'il trouvera.
Copier alors l'ID PnP du modem dans le tableau de
/sys/i386/isa/sio.c, vers la ligne 1200.
Cherchez la chaîne de caractère "SUP1310" dans la structure
"siopnp_ids[]" pour trouver le tableau.
Construire à nouveau le noyau, installer, redémarrer, et votre
modem devrait être reconnu.Vous pouvez configurer manuellement les périphériques PnP en
utilisant la commande `pnp' à la configuration au moment du démarrage,
avec une commande du style :
pnp 1 0 enable os irq0 3 drq0 0 port0 0x2f8
pour afficher le modem.Comment puis-je obtenir l'invite de commande ``boot:'' sur la console série ?
Construire un noyau avec options COMCONSOLE.
Créer un fichier /boot.config avec pour seul contenu
-P
Déconnecter le clavier du système.
Redardez /usr/src/sys/i386/boot/biosboot/README.serial
pour plus d'informations.Pourquoi ma carte réseau 3Com PCI ne marche pas avec mon Micron ?Certaines cartes mères Micron ont une implémentation non-conforme
du BIOS PCI qui ne configure pas les périphériques PCI à l'adresse
annoncée.
Cela cause des problèmes quand FreeBSD démarre. Pour contourner ce problème, désactiver l'option "Système
d'exploitation Plug and Play" dans le BIOS.Pour plus d'informations sur ce problème, allez voir à l'URL:
http://cesdis.gsfc.nasa.gov/linux/drivers/vortex.html#micron FreeBSD supporte-t-il les Multiprocesseurs Symétriques (SMP) ?SMP n'est supporté que dans la version 3.0-STABLE et les versions
suivantes.
diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/misc.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/misc.sgml
index 31282d2eee..4025d8adb4 100644
--- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/misc.sgml
+++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/misc.sgml
@@ -1,353 +1,353 @@
Questions diverses FreeBSD utilise beaucoup plus d'espace swap que Linux. pourquoi ?
Non. Vous voulez peut-être dire "pourquoi mon swap semble être plein ?".
Si cela est vraiment ce que vous voulez dire, c'est en fait parce que
mettre les choses dans le swap plutôt que les mettre de côté rend toujours
plus facile sa récupération que si le pager devait aller chercher à travers
tout le système de fichier afin de récupérer des blocs propres (non modifié)
d'un exécutable.
La quantité actuelle de pages "sales" que vous pouvez avoir dans le
noyau en même temps n'est pas réduit, les pages propres sont déplacées
si nécessaires.
Pourquoi utiliser (qu'est-ce) a.out et les formats exécutables ELF ?
Afin de comprendre pourquoi FreeBSD utilise le format
a.out, vous devez d'abord savoir
quelques trucs sur les 3 formats exécutables courant "dominants" pour
UNIX :
a.out Le
vieux et `classique' format des objets unix. Il utilise un court et
compact en-tête avec un nombre magique au début, qui est souvent
utilisé pour caractériser le format (voir a.out(5)
pour plus de détails). Il contient trois segments chargés : .text,
.data, et .bss plus une table de symboles et une table de chaînes.
COFF Le formats des
objets SVR3. L'en-tête comprend une table de section, de telle sorte
que vous avez plus de sections que juste .text, .data, et .bss.
ELF Le successeur de
COFF, qui permet des sections
multiples et des valeurs possibles de 32 bits et 64 bits. Un
inconvénient majeur : ELF a aussi été
conçu en supposant le fait qu'il y qu'un seul ABI par architecture
système. Cette hypothèse est assez incorrecte, et même dans le monde
SYSV (qui a au moins 2 ABIs : SVR4, Solaris, SCO) cela ne se vérifie
pas.
FreeBSD essaye de contourner ce problème en
fournissant un utilitaire pour marquer un exécutable connu ELF avec des informations sur l'ABI qui va avec.
Regardez la page de manuel pour brandelf
pour plus d'informations.
FreeBSD vient du camp "classique" et utilise traditionnellement le
format
a.out,
une technologie esssayée et éprouvée à travers des générations de
releases BSD. Bien qu'il a aussi été quelques fois possible de
construire et de lancer des binaires natifs ELF (et noyau)
sur un système FreeBSD, FreeBSD a initiallement résisté à la "pression"
de passer à ELF comme format par défaut.
Pourquoi ? Bien, quand le camp Linux ont fait leur difficile
transition vers ELF,
il ne suffisait pas de fuir le format exécutable
a.out.
mais leur mécanisme de librairies partagées
basé sur des table de sauts inflexible ce
qui rendait la
construction de librairies partagées difficiles pour les
vendeurs et développeurs.
Depuis
comme les outils ELF offrent une solution
au problème des librairies partagées et semblent
en général perçus comme "la voie du progrès" de
toute façon, le coût de migration a été
entendu comme nécessaire, et la transition a
été réalisée.
Dans le cas FreeBSD, notre mécanisme de librairie partagée se rapproche
plus des style de mécanisme de librairie partagée des
SunOS de Sun, et de la sorte, est très simple à utiliser.
Quoiqu'il en soit, à partir de 3.0, FreeBSD supportera officiellement
les binaires ELF comme format par défaut. Même si les
formats exécutables a.out nous ont beaucoup servis, les gens du GNU
auteurs des outils de compilation que nous utilisons ont arrêté leur
supports pour le format a.out.
Cela nous a forcé à maintenir des versions divergentes du compilateur et
de l'éditeur de liens, et nous a empêché de bénéficier des
derniers efforts du développement GNU. Et puis, les demandes de
ISO-C++, notemment pour les constructeurs et les destructeurs,
nous ont aussi conduit à supporter de l'
ELF natif pour les futures release de FreeBSD. Pourquoi chmod ne veulent pas changer les permissions sur les liens symboliques ?
Vous devez utiliser soit ``-H'' ou
``-L'' ensemble avec
l'option ``-R'' pour que cela marche.
Regardez les pages de manuels de
chmod et
symlink.
ATTENTION l'option
``-R'' fait un chmod
RECURSIFchmod. Faites attention en spécifiant
le répertoire
ou les liens symboliques vers les repertoires où vous lancerez
chmod. Si vous voulez changer les permissions
d'un répertoire référencé par un symlink, utiliser
chmod
sans aucune option et suivre le lien symbolique avec un slash final
(``/''). Par exemple, si
``foo'' est un lien
symbolique vers le répertoire ``bar'',
et que vous voulez changer les
permissions de ``foo''
(actuellement ``bar''),
vous devrez sans doute faire quelque chose comme :
chmod 555 foo/
Avec un slash final,
chmod
suivra le lien symbolique, ``foo'', pour changer les droits sur
le répertoire ``bar''. Pourquoi les noms de logins sont encore restreints à 8 caractères ?
Vous pouvez penser qu'il est assez simple de changer
UT_NAMESIZE
et de reconstruire tout le monde, et que tout marcherait.
Malheureusement, il y a souvent une escouade d'applications et
d'utilitaires (y compris les outils systèmes) qui ont codé en dur les
petits nombres (pas toujours "8" ou "9", mais d'autres plus étranges
comme "15" ou "20") dans les structures et les buffers. Non seulement cela
vous donnera des fichiers logs qui seront altérés (à cause des longueurs
des variables enregistrés là où des enregistrement de taille fixées sont
attendus), mais cela peut planter les clients NIS de Sun, et
potentiellement causer d'autres problèmes lors de l'interaction avec
d'autres systèmes UNIX.
Dans FreeBSD 3.0 et plus, la longueur maximale des noms a été
augmentée à
16 caractères et tous ces divers utilitaires avec des tailles de noms codés
en dur ont été trouvés et corrigés. Le fait que cela touche tant de
domaines du système explique en fait pourquoi le changement n'a pas été
fait avant la 3.0.
Si vous êtes absolument confiant dans votre habileté à trouver et à
corriger ces sortes de problèmes par vous-même quand ils arrivent, vous
pouvez augmenter la taille des noms de login dans les releases
précédentes en éditant
/usr/include/utmp.h et en changeant en fonction de la taille que vous
voulez donner, la variable UT_NAMESIZE. Vous devez aussi mettre à jour la
variable MAXLOGNAME dans /usr/include/sys/param.h pour correspondre au
changement de UT_NAMESIZE. Au final, si vous construisez depuis les
sources, n'oubliez pas que /usr/include est mis à jour à chaque fois !
Changer les fichiers appropriés dans /usr/src/... à la place.
Puis-je lancer des binaires DOS sous FreeBSD?
Oui, à partir de la version 3.0, vous pouvez utiliser
rundos l'émulateur DOS de BSDI,
qui a été intégré et perfectionné.
Envoyez un courrier électronique à
la liste de discussion sur les émulations de FreeBSD
si cela vous interesse de vous joindre à cet effort en progression.
Pour les systèmes pre-3.0, il y a un bel utiltaire appelé
pcemu
dans la collection de pports, qui émule un 8088 et assez de services
BIOS pour pouvoir lancer des applications DOS en mode texte. Cela requiert
le système X Windows (fourni comme XFree86). Qu'est ce ``sup'', et comment l'utilise je ? SUP
veut dire Software Update Protocol, et a été développé par CMU
pour pouvoir synchroniser leurs arbres de développement. Nous l'utilisons
pour garder les sites distants en synchronisation avec nos sources
centraux de développement
SUP n'est pas très ami avec la bande passante et a été retiré. La méthode
actuelle recommandé pour pouvoir garder vos sources à jour est
Handbook entry on CVSupJusqu'à quel point FreeBSD est-il cool ?
Q. Quelqu'un a-t-il déjà fait des tests de température de FreeBSD ?
Je sais que Linux tourne moins chaudement que DOS, mais je n'ai jamais
vu aucune mention sur FreeBSD. Ca semble tourner vraiment très
chaudement.
A. Non, mais nous avons effectué de nombreux tests gustatifs sur des
volontaires ayant les yeux bandés et aussi 250 microgrammes de
LSD-25 administré préalablement. 35%des volontaires ont dit
que FreeBSD avait un goût d'orange, alors que Linux avait un goût
de purple haze. Aucun des groupes n'a mentionné une variance de
température particulière (si je me souviens bien).
Nous avons de toute façon dû jeter tous les résultats quand
nous nous sommes aperçu que de nombreux volontaires s'étaient
promené en dehors de la salle durant les tests, faussant ainsi les
résultats. Je pense que la plupart des volontaires sont à
présent chez Apple, travaillant pour leur nouveau GUI 'scratch and
sniff'. C'est un drôle de monde dans lequel nous vivons !
Sérieusement, FreeBSD et Linux utilisent tous les deux l'instruction
``HLT'' (halt) quand le système est idle de telle sorte à baisser
leur consommation d'énergie et donc la chaleur que cela génère. Et aussi,
si vous avez APM (automatic power management) configuré, alors FreeBSD
peut aussi mettre le CPU dans un mode basse énergie.Qui est-ce qui fait grésiller mes banques mémoires ?
Q. Y a t il quelque chose d'"étrange" que fait FreeBSD quand il compile le
noyau qui pourrait faire que la mémoire fasse un grésillement ?
Quand ça compile (et pour un bref moment après avoir reconnu le lecteur de
-disquette au démarrage), un étrange grésillement émane dpuis ce qui semble
+disquette au démarrage), un étrange grésillement émane depuis ce qui semble
être les banques mémoire.
A. Oui! Vous verrez des fréquentes références aux "démons" dans la
documentation BSD, et ce que les gens ne savent pas, c'est que cela se
réfère aux entités non-corporelle qui possède à présent votre ordinateur.
Le grésillement venant de la mémoire est en fait le murmure échangé entre
les démons lorsqu'ils débattent sur les différentes tâches de
l'administration système.
Si le bruit vous parvient, un bon ``fdisk /mbr''
depuis le DOS vous en débarassera, mais ne soyez pas surpris s'il
réagissent et qu'ils essayent de vous contrer. De plus, si jamais à un
moment de l'opération, vous entendez la voix satanique de Bill Gates
vous parvenant du haut-parleur interne, continuez, et ne regardez jamais
en arrière !
Délivré de l'influence contre-balançante des démons BSD, les démons
jumeaux de DOS et Windows pourront alors prendre le contrôle totale de
votre machine jusqu'à la damnation éternelle de votre âme.
S'il fallait choisir, je pense que je préfèrerais m'habituer au
grésillement !Que veut dire 'MFC' ?
MFC est un acronyme pour 'Merged From -CURRENT.' C'est utilisés dans
les logs CVS pour noter quand un changement a migré depuis un
CURRENT vers une branche STABLE
diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/network.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/network.sgml
index 67645d9612..8fda1dc746 100644
--- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/network.sgml
+++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/network.sgml
@@ -1,1588 +1,1588 @@
RéseauxOù puis-je trouver des informations sur le ``boot sans disque''?
Le ``boot sans disque'' veut dire que la machine sous FreeBSD est bootée depuis le
réseau, et lit les fichiers nécessaires depuis un serveur et non depuis
son disque dur. Pour plus de détails, lisez la section du Handbook sur le Diskless booting Une machine sous FreeBSD peut-elle être utilisée comme routeur dédié ?
Les standards de l'Internet et de bonnes pratiques techniques nous
interdisent de faire par défaut du routage de paquets avec
FreeBSD. Mais vous pouvez néamoins activer cette fonctionnalité en
changeant la variable suivante à YES
dans rc.conf:
gateway_enable=YES # L'hote agira comme routeur s'il est positionne a YES
Cette option mettra la variable sysctlnet.inet.ip.forwarding à 1.
Dans la plupart des cas, vous aurez aussi à lancer un processus de routage
afin de renseigner les autres systèmes sur votre routeur.
FreeBSD est fourni avec le démon de routage standard BSD
routed,
ou pour des situations plus complexes, vous pouvez essayer GaTeD (disponible par FTP depuis ftp.gated.Merit.EDU)
qui supporte FreeBSD depuis 3_5Alpha7.
Nous nous devons de vous prévenir que lorsque FreeBSD est
configuré de cette manière, il ne correspond pas tout à fait
aux requis standards de l'Internet sur les routeurs. Néamoins,
-il s'en rapproche asez pour un usage ordinaire.
+il s'en rapproche assez pour un usage ordinaire.
Puis-je connecter ma machine sous Win95 à l'Internet via FreeBSD ?
Typiquement, les gens qui posent cette questions sont ceux qui ont 2 PC
à la maison, un avec FreeBSD et un avec Win95. L'idée est d'utiliser
la machine sous FreeBSD pour se connecter à l'Internet et puis
pouvoir ensuite accéder à l'Internet depuis la machine sous Windows 95
via la machine sous FreeBSD.
Ce n'est en réalité qu'un cas particulier de la question précédente.
Il y a un document très pratique qui explique comment configurer
FreeBSD comme routeur par connexion PPPNOTE:
Cela requiert que vous ayez au moins deux adresses IP fixes, et
probablement 3 ou plus, cela dépend du travail que vous voulez effectuer
pour pouvoir mettre en place la machine sous Windows.
Comme alternative, si vous n'avez pas d'adresse IP fixe, vous pouvez
utiliser une des adresses IP privés et installer des proxies
comme
SQUID et
le TIS firewall toolkit
sur la machine sous FreeBSD.
Voir aussi la section sur
natd .
Pourquoi la recompilation du dernier BIND de ISC échoue-t-elle ?
Il y a un conflit entre le fichier ``cdefs.h''
de la distribution et celui fourni par FreeBSD.
Vous n'avez qu'à enlever
compat/include/sys/cdefs.h.
FreeBSD supporte-t-il SLIP et PPP?
Oui, regardez les pages de manuel
slattach,
sliplogin,
pppd et
ppp.
pppd et ppp
permettent les connexions entrantes et sortantes
Sliplogin ne peut s'utiliser qu'avec des connexions entrantes
et
slattach qu'avec des connexions sortantes.
Ces programmes sont décrits dans les sections suivantes du
handbook:
référence du handbook sur SLIP (côté serveur)référence du handbook sur SLIP (côté client)référence du handbook sur PPP (mode noyau)référence du handbook sur PPP (mode utilisateur)
Si vous avez accès à l'Internet à travers un "compte shell"
vous pouvez jeter un coup d'oeil au paquetage
slirp.
Il peut vous fournir un accès (limité) aux services tels que ftp
et http directement depuis votre machine locale.
- Est-ce que FreeBSD supporte NAT ou le Masquerading
+ Est-ce que FreeBSD supporte NAT ou le Masquerading ?
Si vous avez un sous-réseau local (une ou plusieur machines), mais qu'une
seule adresse IP vous a été allouée (même si ce n'est qu'une adresse IP
dynamique), vous pouvez regarder le programme
natd
. Natd vous permet de connecter un sous-réseau entier
à l'Internet en n'utilisant qu'une seule adresse IP.
-Le programme ppp a des fonctionnalité similaires construit par l'intermédiaire
+Le programme ppp a des fonctionnalités similaires construit par l'intermédiaire
de l'option -alias switch.
La
bibliothèque alias
est utilisée dans les deux cas.
Je n'arrive pas à faire marcher ppp. Où me suis-je trompé ?
Vous devriez tout d'abord lire la page de manuel
ppp et
la section du handbook sur ppp.
Activer le logging avec la commande
set log Phase Chat Connect Carrier lcp ipcp ccp command
Cette commande peut-être tapée à l'invite de commande de ppp
ou peut-être entrée dans le fichier de configuration
/etc/ppp/ppp.conf.
(le début de la section par défaut default
est l'endroit idéal pour le mettre).
Assurez vous que le fichier /etc/syslog.conf contienne les lignes
!ppp
*.* /var/log/ppp.log
et que le fichier /var/log/ppp.log existe.
Vous pouvez aussi tirer pas mal de renseignements sur ce qui se passe en
lisant les fichiers log.
Ne vous inquiétez pas même si cela vous semble dénué de sens, si vous obtenez
de l'aide de quelqu'un, pour lui, cela aura un sens.
Si votre version de ppp ne comprend pas la commande "set log"
vous devriez charger la
dernière version.
Il pourrra se construire sur FreeBSD version 2.1.5 et plus.
Ppp se bloque quand je le lance
Cela est usuellement dû au fait que votre nom d'hôte ne peut être résolu. La meilleure solution pour résoudre ce problème est de s'assurer que votre
/etc/hosts est consulté en
premier par votre résolveur en éditant
/etc/host.conf et en mettant la ligne
hosts en premier.
Puis, ajoutez simplement une entrée pour votre machine locale
dans /etc/hosts.
Si vous n'avez pas de réseau local, changez simplement votre
ligne localhost :
127.0.0.1 foo.bar.com foo localhost
Sinon, ajoutez simplement une autre entrée pour votre hôte. Consultez les pages de manuels appropriées pour plus de détails.
Vous devrez être alors capable de réussir à faire un
ping -c1 `hostname` quand vous aurez fini.
Ppp ne veut pas communiquer en mode -auto
Tout d'abord, vérifiez que vous avez bien un routage par défaut
en lançant netstat -rn, vous devriez voir deux entrées comme suivent :
Destination Gateway Flags Refs Use Netif Expire
default 10.0.0.2 UGSc 0 0 tun0
10.0.0.2 10.0.0.1 UH 0 0 tun0
-ici, on supposera que vous avez utilisés les adresses données en exemple
+ici, on supposera que vous avez utilisé les adresses données en exemple
dans le handbook, les pages man ou depuis le fichier
ppp.conf.sample.
Si vous n'avez pas de routage par défaut, c'est peut-être parce que vous
utilisez une vieille version de ppp qui ne comprend pas le mot
HISADDR dans le fichier ppp.conf.
Si votre version de
ppp est antérieure à FreeBSD 2.2.5,
changer la ligne
add 0 0 HISADDR
par celle-ci :
add 0 0 10.0.0.2
Une autre raison au fait que la ligne du routage par défaut soit
-manquant est que vous avez pu réglé un routage par défaut erroné dans
+manquante est que vous avez pu régler un routage par défaut erroné dans
le fichier /etc/rc.conf (ce fichier est appelé
/etc/sysconfig avant la release 2.2.2), et que vous avez
oublié la ligne suivante :
delete ALL
from ppp.conf. Si cela est le cas, revenez à la section du
handbook sur
la configuration finale du système section of the handbook.
Que veut dire "No route to host" ?
Cette erreur est usuellement dûe à une omission de la section
MYADDR:
delete ALL
add 0 0 HISADDR
dans votre fichier /etc/ppp/ppp.linkup.
Cela est seulement nécessaire si vous avez une adresse IP dynamique ou que
vous ne savez pas l'adresse de votre routeur. Si vous utilisez le mode
interactif, vous pouvez taper les lignes suivantes après être entré
en mode paquet (le mode paquet est indiqué par le
PPP en majuscule à l'invite):
delete ALL
add 0 0 HISADDR
Se référer à la section du handbook sur
PPP et les adresses IP dynamiques pour plus de détails.
- Ma connection se termine au bout de 3 minutes
+ Ma connexion se termine au bout de 3 minutes
La limite de temps (timeout) par défaut de ppp est de 3 minutes. Cela peut-être
ajusté avec les lignes :
set timeout NNN
où NNN est le nombre de secondes d'inactivité avant que la connexion ne
soit fermée.
Si NNN est égal à zero, la connexion ne sera jamais fermée pour cause
de limite de temps écoulée.
Il est possible de mettre cette commande dans le fichier
-ppp.conf, ou de le taper à l'invite en mode interactif.
+ppp.conf, ou de la taper à l'invite en mode interactif.
Il est également possible de l'ajuster au vol alors que la ligne est
active, en se connectant à la socket du serveur ppp
en utilisant
telnet ou
pppctl.
Se réferer à la page de manuel de
ppp
pour plus de détails.
Ma connexion se termine lors de gros chargements.
-Si vous avez configuré le report de la qualité de connexion (Link Quality Reporting (LQR)),
+Si vous avez activé le report de la qualité de connexion (Link Quality Reporting (LQR)),
il est possible ce soit parce que que trop de paquets LQR sont perdus entre la machine
et son interlocuteur. PPP en déduit que la ligne doit être trop
mauvaise, et se déconnecte. Avant la version 2.2.5 de FreeBSD,
-LQR était activée par défaut.
+LQR était activé par défaut.
Il est maintenant désactivé par défaut.
LQR peut-être désactivé avec la ligne suivante :
disable lqr
Ma connexion se termine après un certain temps aléatoire.
Parfois, sur une ligne de téléphone avec des parasites, ou même
sur une ligne avec des attentes d'appels activées, le modem peut se
suspendre parce qu'il pense (de manière erronée) qu'il y a une perte du
support de connexion (lost carrier)
Il y a un réglage sur la plupart des modems qui déterminent le degré de
tolérance sur la perte temporaire de la ligne porteuse. Sur un
USR Sportster par exemple, cela est mesuré par le registre S10 en
dixième de secondes. Pour rendre votre modem plus tolérant, vous
pouvez ajouter la séquence envoi-attente suivante à votre chaîne de
connexion :
set dial "...... ATS10=10 OK ......"
-Se référer à votre manuel du modem pour plus de détails.
+Se référer au manuel de votre modem pour plus de détails.
Rien ne se passe après le message Login Ok!
Avant la version 2.2.5 de FreeBSD, une fois la ligne établie,
ppp devait attendre que ce soit l'autre parti (peer)
qui initialise le protocole de
contrôle de ligne (Line Control Protocol (LCP).
Or, plusieurs ISPs ne débuteront pas la négociation et attendront du client
qu'il le fasse. Pour forcer ppp
à initialiser le LCP, utiliser la ligne suivante :
set openmode active
Note:
Cela ne fait pas de dégats si chacun des deux parties initialisent tous les deux
la connexion, c'est pourquoi openmode est à présent activé par défaut.
Quoiqu'il en soit, la prochaine section expliquera quand est-ce ce que
cela peut gêner.
Je n'arrête pas de voir des erreurs à propos de magic being the same
De temps en temps, juste après la connexion, vous pouvez voir des
messages dans le log qui dit "magic is the same".
Parfois ces messages sont sans conséquences, et parfois l'un ou l'autre des
partis quitte.
La plupart des implémentations ppp ne peuvent survivre à ce problème, et
même si la ligne semble venir, vous verrez régulièrement des demandes de
configuration et des accusés de réception de configuration dans le
fichier log à moins que ppp abandonne et ne ferme la connexion.
Cela apparaît normallement sur les machines serveurs avec des disques
lents qui diffusent un getty sur le port, et qui exécute ppp depuis un
script ou programme de login après le login.
J'ai aussi eu vent de cela arrivant lorsqu'on utilise slirp.
La raison est qu'entre le temps où getty quitte et que ppp commence,
le ppp côté-client commence par envoyer des paquets
Line Control Protocol (LCP). Parce que l'ECHO est toujours actif
sur les ports du côté serveur, le client ppp verra ces paquets qui lui
seront "reflèté".
Une partie de la négociation LCP est d'établir un nombre magique
(magic number)
de chaque côté de la ligne, ceci afin que les "réflexions" soient
détectées. Le protocole dit que lorsque l'autre parti essaye de
négocier le même nombre magique, un NAK devrait être envoyé et un
nouveau nombre magique choisi.
Durand la période où le serveur où le port serveur a l'ECHO activé, le
client ppp envoie des paquets LCP, voit le même nombre magique dans les
paquets reflètés et il le "NAK".
Il voit aussi les reflexions de NAK (qui veut aussi dire que ppp devrait
changer son nombre magique). Cela produit potentiellement un énorme
nombre de nombre magiques à changer, chacun d'entre eux tous
s'empilant joyeusement dans le buffer stty du serveur.
Aussitôt que ppp démarre sur le serveur, il est innondé par des
changement de nombre magique et souvent décide qu'il a assez essayé
de négociation LCP et abandonne.
Pendant ce temps, le client qui ne voit alors plus de réflexions,
se réjouit juste le temps de voir que le serveur l'a déconnecté.
Cela peut-être évité en autorisant l'autre parti à démarrer la
négociation avec la ligne suivante dans le fichier ppp.conf
set openmode passive
Cela dit à ppp d'attendre que le serveur débute la négociation LCP.
Certains serveurs toutefois peuvent ne jamais initier la négociation. Si
cela est le cas, vous pouvez faire quelque chose du genre :
set openmode active 3
Cela dit à ppp de rester passif pendant 3 secondes, et puis commencer à
envoyer les requêtes LCP/ Si l'autre parti commence à envoyer des
requêtes durant cette période, ppp répondra immédiatement plutôt qu'en
attendant que la période des 3 secondes se termine.
Les négociations LCP continuent jusqu'à ce que la connexion soit fermée.
Cela est pour l'instant un défaut d'implémentation dans
ppp où il n'associe pas les réponses
LCP, CCP & IPCP avec leur requête originale.
Comme conséquence, si l'une des implémentations
ppp est 6 secondes plus lente que
l'autre côté, l'autre côté enverra 2 requêtes de configuration LCP
supplémentaire. Cela est fatal.
Soient 2 implémentations, A et
B. A
commence à envoyer des requêtes LCP immédiatement après s'être connecté
et B met 7 secondes à démarer.
Quand B démarre,
A a envoyé 3 requêtes LCP.
Nous supposons que la ligne a désactivée l'ECHO, car dans le cas
contraire nous verrions des problèmes de nombres magiques comme décrit
dans la section précédente.
B envoi un REQ, puis un ACK au premier
REQ de A.
Le résultat est que A entre
dans l'état OPENED et envoie un ACK
(le premier) en retour à B.
Pendant ce temps, B renvoi 2 ACK de plus
en réponse au 2 REQ supplémentaires envoyés par
A avant
B que B n'ait commencé.
B reçoit alors le premier ACK
de A et entre dans l'état
OPENED.
A reçoit le deuxième ACK de
B et revient à l'état
REQ-SENT, et envoie un autre (quatrième)
REQ comme décrit dans la RFC.
Il envoie alors un troisième ACK et entre dans l'état
OPENED.
Durant ce moment, B
reçoit le quatrième REQ de A,
par conséquent, revient dans l'état
ACK-SENT et envoie un autre (second)
REQ et (quatrième) ACK as per the RFC.
A reçoit le REQ, va dans l'état
REQ-SENT et envoie un autre REQ.
Il reçoit alors immédiatement le ACK suivant et entre dans l'état
OPENED.
Cela continue tant qu'un des partis ne s'aperçoive qu'ils n'iront
nulle part comme cela et abandonne.
La meilleure façon d'éviter cela est de configurer un côté comme étant
passif - cela fait,
faire de telle sorte qu'un des côtés attende que l'autre commence la
négociation. Cela peut-être fait par la commande :
set openmode passive
Faire attention avec cette option, vous devriez aussi utiliser
la commande
set stopped N
afin de limiter la durée avant que
ppp attende de l'autre parti de
commencer la négociation.
D'une autre façon, la commande
set openmode active N
(où N est le nombre de secondes
qu'il faut attendre avant que le démarrage de la négociation ne soit
faite). Regardez les pages de manuels pour plus de détails.
Ppp se verrouille peu après la connexion.
Avant la version 2.2.5 de FreeBSD, il était possible que votre
-ligne soit désactivée peu après la connection, dûe à
+ligne soit désactivée peu après la connexion, dûe à
une mauvaise négociation de compression Predictor1 de
ppp
Cela ne devrait arriver que si
deux côtés essayent de négocier des protocoles de
contrôle de compression (
Compression Control Protocols (CCP) différents.
Ce problème est à présent résolu, mais si vous utilisez toujours une
vieille version de
ppp,
le problème peut-être sauté avec la ligne
disable pred1
Ppp se verrouille quand je "shell" pour le tester.
Quand vous exécutez le shell ou la
commande !,
ppp exécute un shell (ou si vous avez
passé des arguments, ppp
exécutera ces arguments). Ppp attendra que la commande se termine avant
de continuer. Si vous avez l'intention d'utiliser la connexion ppp
pendant que vous lancez la commande, la connexion apparaîtra
alors comme ayant été gelée.
Cela parce que ppp attend que la
commande se termine.
Si vous voulez exécuter des commandes comme cela, utilisez plutôt la
commande !bg.
Cela exécutera la commande en arrière plan, et ppp
pourra continuer de servir la connexion.
Ppp sur un null-modem ne quitte jamais.
Il n'y a aucune manière pour que ppp
détermine automatiquement qu'une connexion directe
s'est achevée. Cela est dû aux lignes utilisées dans un câble série
null-modem. Quand on utilise cette sorte de connexion, LQR devrait
être toujours activé avec la ligne :
enable lqr
LQR est accepté pas défaut si négocié par l'autre parti.
Pourquoi ppp tente de se connecter sans raison em mode -auto ?
Si ppp tente de se comnnecter
sans raison aucune, vous devez en déterminer la cause et mettre en place
des filtrages d'appels (dfilters) pour prévenir de tels appels.
Afin d'en déterminer la cause, utilisez la ligne suivant :
set log +tcp/ip
Cela tracera tous le trafic à travers une connexion. La prochaine fois
que la connexion se mettra en place de manière inattendue, vous verrez
la raison tracé avec le moment où cela s'est produit à côté.
Vous pouvez à présent désactiver les appels sous ces circonstances.
D'habitude, ces sortes de problèmes arrivent à cause des DNS lookup.
Pour empêcher le DNS lookup d'établir une connexion (cela n'empêchera
pasppp
de passer les paquets à travers une connexion établie), utilisez les
lignes suivantes :
set dfilter 1 deny udp src eq 53
set dfilter 2 deny udp dst eq 53
set dfilter 3 permit 0/0 0/0
Cela ne convient pas toujours puisqu'il
enlèvera effectivement vos fonctionnalités de demandes d'appels - la
plupart des programmes auront besoin du DNS lookup
avant de faire quelque chose ayant un rapport avec le réseau.
Dans le cas DNS, vous pouvez essayer de déterminer qui est-ce qui essaye
actuellement de résoudre le nom de l'hôte.
La plupart du temps, c'est
sendmail le coupable.
Vous devez vous assurer que vous avez dit à sendmail de ne faire aucun
DNS lookup dans ses fichiers de configuration,
regardez la section sur
la configuration du mail pour les détails de comment créer son propre fichier de
comfiguration, et qu'est ce qu'on doit mettre dedans.
Vous pouvez aussi vouloir ajouter les lignes suivantes dans votre
fichier .mc :
define(`confDELIVERY_MODE', `d')dnl
Cela fera que sendmail mettra tout en file d'attente
jusqu'à ce que la file soit lancée (habituellement, sendmail est
invoqué avec ``-bd -q30m'', lui disant de lancer la file
d'attente toutes les 30 minutes) ou jusqu'à ce que un
``sendmail -q'' soit effectué (peut-être dans votre fichier ppp.linkup).
Que veulent dire ces erreurs CCP ?
Je n'arrête pas de voir les erreurs suivantes dans mon fichier log :
CCP: CcpSendConfigReq
CCP: Received Terminate Ack (1) state = Req-Sent (6)
Ceci est obtenu parce que ppp est en train de négocier la compression
Predictor1 et que l'autre parti ne veut pas du tout négocier de compression.
Ces messages sont sans conséquences aucune, mais si vous voulez les enleverm
vous pouvez désactiver la compression Predictor1 aussi en local.
disable pred1
Ppp se bloque durant les transferts de fichiers avec une erreur IO.
Sous FreeBSD 2.2.2 et avant, il y avait un bug dans le driver tun
qui stoppait tous les paquets entrants d'une taille plus grande que la taille
MTU de l'interace tun.
La réception de paquets plus grands que la taille du MTU
résultait en une erreur IO qui était alors tracé avec syslogd,
Les spécifications ppp disent qu'un MTU de 1500 devrait
toujours être accepté
comme un minimum, ceci
quelque soit la négociation LCP. Il est toutefois possible que vous
diminuez le MTU à moins de 1500, votre ISP vous transmettra des paquets
de 1500 sans s'en préoccuper, et cela vous bloquera,
gelant ainsi la ligne.
Ce problème peut être contourné en ne réglant jamais un MTU en dessous
de 1500 sous FreeBSD 2.2.2 et avant.
Pourquoi ppp ne trace-t-il pas ma vitesse de connexion ?
La façon de tracer toutes les lignes de la ``conversation'' de
votre modem est d'activer :
set log +connect
Cela permettra à
ppp
de tout tracer jusqu'à la dernière chaîne de requête d'"attente"
Si vous voulez voir votre vitesse de connexion et que vous utilisez
PAP ou CHAP (et donc ne rien avoir avec "chat" après le CONNECT
dans le script dial - pas de script "set login"), vous devez
vous assurer que vous prévenez ppp de s'attendre tout la ligne CONNECT,
quelque chose comme :
set dial "ABORT BUSY ABORT NO\\sCARRIER TIMEOUT 4 \"\" ATZ OK-ATZ-OK ATDT\\T TIMEOUT 60 CONNECT \\c \\n"
Ici, nous avons notre CONNECT, ne rien envoyer, et puis attendre
un saut de ligne, forçant
ppp à lire toute la réponse
CONNECT.
Ppp ignore le caractère `\' dans mon script chat
Ppp parse chacune des lignes de votre fichier de configuration, de telle
sorte qu'il puisse interprêter des chaines comme
set phone "123 456 789" correctement
(et réaliser qu'il n'y a que un
seul argument.
Pour pouvoir spécifier un caractère ``"'', vous devez
l'échapper avec un backslash (``\'').
Quand l'interprêteur chat parse chaque argument, il re-interprête
l'argument de telle sorte à trouver des séquences de caractères
d'échappement comme
``\P'' ou ``\T'' (voir les pages de manuel). En conséquence de
ce double-parsing, vous devez vous souvenir d'utiliser le nombre
correct d'échappement.
Si vous voulez envoyer un caractère ``\'' à votre modem,
vous aurez besoin de faire quelque chose comme :
set dial "\"\" ATZ OK-ATZ-OK AT\\\\X OK"
qui se résultera en la séquence suivante :
ATZ
OK
AT\X
OK
ou encore
set phone 1234567
set dial "\"\" ATZ OK ATDT\\T"
résultera en la séquence suivante :
ATZ
OK
ATDT1234567
Ppp reçoit une erreur de segmentation, mais je ne trouve pas de fichier ppp.core
Ppp (ou n'importe quel programme dans le même cas) ne devrait jamais
faire de coredump. Parce que ppp tourne avec une identité d'utilisateur
effectif de 0, le système d'exploitation n'écrira pas d'image du core sur le
disque avant de l'avoir terminé. Si, malgrè tout, ppp se
termine actuellement à cause d'une violation
de segmentation, ou n'importe quel autre signal qui cause normalement un
core dump, et que vous êtes sûr
que vous utilisez la dernière version (voir le début de cette section),
alors vous devriez faire la chose suivante :
$ tar xfz ppp-*.src.tar.gz
$ cd ppp*/ppp
$ echo STRIP= >>Makefile
$ echo CFLAGS+=-g >>Makefile
$ make clean all
$ su
make install
chmod 555 /usr/sbin/ppp
Vous aurez alors une version déboguable de ppp installé. Vous aurez à être
root pour lancer ppp puisque tous ses privilèges auront été révoqués. Quand
vous démarrez ppp, retenez soigneusement le répertoire courant dans lequel
vous étiez.
A présent, si et quand ppp recevra une violation de segmentation, cela
crééra un fichier core nommé ppp.core. Vous aurez alors à faire la chose
suivante :
$ su
gdb /usr/sbin/ppp ppp.core
(gdb) bt
.....
(gdb) f 0
.....
(gdb) i args
.....
(gdb) l
.....
Toutes ces informations devront être données suivant votre question,
rendant ainsi possible le diagnostique de votre problème.
Si vous êtes familier avec gdb, vous pouvez vouloir trouver d'autres
techniques pour trouver ce qui a causé le dump, et les adresses et
valeurs des variables concernées.
Le processus qui force un appel en mode auto ne se connecte jamais.
Cela est un problème connu quand ppp
est réglé de telle sorte à négocier une adresse IP dynamique avec son
homologue. Quand ce programme initial appelle
connect(2) ,
l'adresse IP de l'interface tun est assignée à l'extrêmité de la
socket. Le noyau crée le premier paquet sortant et l'écrit sur le
périphérique tun. Ppp
lit alors le paquet et établit alors la connexion. Si, comme
résultat de l'assignation dynamique de
ppp,
l'adresse de l'interface est changée, l'extrêmité originale de
la socket sera invalide. Tout paquet envoyé à l'autre parti sera alors
en principe perdu. Et même s'il ne l'était pas, toute réponse ne
pourrait pas être renvoyée à la machine originelle puisque l'adresse IP
ne serait plus possèdée par cette machine.
Théoriquement, il y a plusieurs manières d'aborder ce problème.
Le mieux serait que l'homologue re-assigne la même adresse IP si
possible :-)
La meilleure méthode de notre côté, serait de ne jamais changer
l'adresse IP de l'interface tun, mais à la place, changer tous les
paquets sortant de telle sorte que les adresses IP de la source soient
changées de l'interface Ip à l'IP négocié au vol. C'est essentiellement ce
que
libalias(3)
(et l'option -alias de ppp)
font actuellement.
Une autre alternative (et probablement la plus sûre); est d'implémenter
un appel système qui change tous les sockets reliées depuis une
adresse IP à une autre.
Ppp utiliserait cet appel pour
modifier la socket de tous les programmes existant lorsqu'une nouvelle
adresse IP est négociée.
Une troisième possibilité est d'autoriser à une interface de
s'activer sans adresse IP. Les paquets sortant auront une adresse IP de
255.255.255.255 jusqu'à ce que le premier SIOCAIFADDR ioctl soit fait.
Cela reviendrait à lier entièrement la socket, et
ça serait à ppp
de changer l'adresse IP source, mais seulement si il est à
255.255.255.255, et seulement si le numéro IP et le checksum IP
doivent être changés. Quoiqu'il en soit, c'est de la
bidouille puisque le noyau enverra des paquets invalides à une
interface mal configurée, en supposant que d'autres
mécanismes seront capables de réparer les choses
retrospectivement.
Aucune de ces solutions n'a (encore) été implémentée.
Pourquoi la plupart des jeux ne marchent pas avec l'option -alias ?
La raison pour laquelle les jeux et assimilés ne marchent pas avec
libalias est que la machine extérieure essaye d'ouvrir une connexion
ou envoyer des paquets UDP (non sollicités) à la machine
interne. Le logiciel packet alias ne sait alors pas qu'il faut envoyer
ces paquets à une machine interne.
Pour que ça marche, assurez vous que la seule chose qui tourne est le
logiciel avec lequel vous avez des problèmes, puis alors, soit vous
lancez tcpdump sur votre interface tun de votre routeur, soit vous
activez le login ppp tcp/ip (``set log +tcp/ip'') sur votre routeur.
Quand vous démarrez le logiciel incriminé, vous devriez voir les paquets
passer à travers la machine routeur. Quand quelque chose revient depuis
l'extérieur, il sera retiré (c'est ça le problème). Noter le numéro
de port de ces paquets, puis arrêtez le logiciel incriminé. Faite ceci
quelques fois pour voir si les numéro de ports sont consistants. Si ils
le sont, alors la ligne suivante dans la section appropriée de
/etc/ppp/ppp.conf rendra le logiciel fonctionnel.
alias port proto internalmachine:port port
où ``proto'' est soit ``tcp'' ou ``udp'',
``internalmachine'' est la machine à laquelle vous voulez que les
paquets soient envoyés et ``port'' le numéro de port de destination des
paquets.
Vous ne pourrez pas utiliser le logiciel sur d'autres machines sans
changer la commande du dessus, et lancer le logiciel sur 2 machines
internes en même temps est hors de question - après tout, le monde
extérieur voit tout votre réseau entier comme une seule machine.
Si les numéros de ports ne sont pas consistants, il y a 3 autres
options :
1) Soumettre le support dans libalias.
Des exemples de ``cas spéciaux'' peuvent être trouvés dans
/usr/src/lib/libalias/alias_*.c (alias_ftp.c
iest un bon prototype).
Cela implique habituellement la lecture de certains paquets sortant
reconnus, identification des instructions qui dit à la machine
extérieure d'initialiser la connexion en retour vers machine interne sur un port
(aléatoire) spécifique, et mettre en place une
``route'' dans la table d'alias de telle sorte que les paquets concernés
sachent où aller.
C'est la solution la plus difficile, mais c'est la meilleure et
permettra au logiciel de marcher sur plusieurs machines
2)
Utiliser un proxy. L'application peut pouvoir supporter socks5 par
exemple, ou (comme dans le cas de ``cvsup'') peut avoir une option
``passive'' qui évite d'avoir à toujours demander que l'autre parti
ouvre une connexion en retour sur la machine locale.
3)
Tout rediriger vers une machine interne utilisant
``alias addr''. C'est l'approche "bourrin".
Rien de cela ne marche - je suis désespéré !
Si tout le reste échoue, envoyer autant d'informations que vous pouvez,
y compris vos fichiers de configuration, comment vous avez démarré
ppp, les parties pertinentes de
votre fichier log, et la sortie de la commande
netstat -rn (avant et après connexion) à la liste de diffusion
freebsd-questions@FreeBSD.org ou au newsgroup
comp.unix.bsd.freebsd.misc, et quelqu'un devrait vous orienter dans la bonne direction.
Je ne peux pas créer un périphérique /dev/ed0 !
Dans le cadre des réseaux Berkeley, les interfaces réseaux sont
seulement directement accessibles par le code du noyau.
Regarder le fichier
/etc/rc.network
et les pages de manuels pour les différents programmes réseaux mentionnés
ici pour plus d'informations. Si cela vous est complètement confus, vous
devriez prendre un livre décrivant l'administration réseaux sur un autre
système d'exploitation relatif à BSD; à quelques exceptions
mineures, administrer un réseau sous FreeBSD est basiquement la
même chose que sur un SunOS 4.0 ou un Ultrix.
Comment puis-je régler les alias éthernet ?
Ajouter ``netmask 0xffffffff'' à votre
ligne de commande
ifconfig
comme ci-dessous :
ifconfig ed0 alias 204.141.95.2 netmask 0xffffffff
Comment puis-je faire pour que mon 3C503 utilise l'autre port réseau ?
Si vous voulez utiliser les autres ports, vous avez à spécifier un
paramêtre supplémentaire dans la ligne de commande
ifconfig.
Le port par défaut est``link0''.
Pour utiliser le port AUI à la place du BNC,utiliser
``link2''.
Ces paramêtres devraient être spécifiés en utilisant les variables
de ifconfig_* variables dans /etc/rc.conf.
J'ai des problèmes avec NFS depuis/vers FreeBSD.
Certaines cartes réseaux sont meilleures que d'autres
et peuvent causer quelquefois des problèmes lors d'applications
réseaux intensives comme NFS.
Regarder la partie du Handbook sur NFS pour plus d'informations à ce sujet.
Pourquoi ne puis-je pas monter par NFS depuis une machine sous Linux ?
Certaines versions du code NFS de Linux ne peuvent accepter des
requêtes de montages que depuis un port privilègié; essayez
mount -o -P linuxbox:/blah /mnt
Pourquoi ne puis-je pas monter un NFS depuis une machine Sun ?
Les stations de travail Sun sous SunOS 4.X n'acceptent seulement des
requêtes de montage que depuis un port privilègié; essayez
mount -o -P sunbox:/blah /mnt
J'ai des problème pour parler PPP à des machines NeXTStep.
Essayer de désactiver l'extension TCP dans /etc/rc.conf en changeant la variable à NO :
tcp_extensions=NO
les machines Xylogic's Annex ne marchent pas non plus dans ce contexte,
et vous devez changer de même que ci-dessus pour pouvoir vous
connecter au travers d'elles.
Comment activer le support multicast IP ?
Les opérations multicast sont entièrement supportées par FreeBSD 2.0 et
plus par défaut. Si vous voulez que votre machine marche comme un
routeur multicast, vous devez recompiler votre noyau avec l'option
MROUTING et lancer
mrouted. FreeBSD 2.2 et plus
démarrera mrouted au moment du boot si
l'option mrouted_enable est mis à
"YES" dans /etc/rc.conf.
Les outils MBONE tools sont disponibles dans leur
propre catégorie de ports, mbone. Si vous cherchez les outils de
conférence vic et
vat,
c'est là qu'il faut voir !
Pour plus d'informations, regarder
le web d'information Mbone.
Quelles cartes réseaux sont basées sur le chipset DEC PCI ?
Voici une liste compilée par
Glen Foster,
avec quelques ajouts récents :
Vendor Model
----------------------------------------------
ASUS PCI-L101-TB
Accton ENI1203
Cogent EM960PCI
Compex ENET32-PCI
D-Link DE-530
Dayna DP1203, DP2100
DEC DE435
Danpex EN-9400P3
JCIS Condor JC1260
Linksys EtherPCI
Mylex LNP101
SMC EtherPower 10/100 (Model 9332)
SMC EtherPower (Model 8432)
TopWare TE-3500P
Zynx ZX342
Pourquoi dois-je utiliser le FQDN pour les hôtes de mon site ?
Vous verrez probablement que l'hôte est actuellement dans un domaine
différent; par exemple, si vous êtes dans foo.bar.edu
et que vous voulez atteindre un hôte nommé ``mumble''
dans le domaine bar.edu domain, vous aurez à vous y référer
par son nom de domaine entièrement qualifié, ``mumble.bar.edu'', à la place de
juste ``mumble''.
Traditionellement, cela était autorisés par les résolveurs
BSD BIND. Malgrè tout, la version courante de
bind
qui est fournie avec FreeBSD ne fournit plus d'abbréviation par défaut
pour un domaine non entièrement qualifié; autre que le domaine dans
lequel vous êtes.
Ainsi, un hôte non-qualifié mumble
doit soit être trouvé comme
mumble.foo.bar.edu,
ou alors il sera cherché dans le domaine racine.
Cela est différent du comportement décrit auparavant, où la recherche
continuait à travers mumble.bar.edu,
et mumble.edu.
Jetez un coup d'oeil à la RFC 1535 pour savoir pourquoi cela est
considéré comme une mauvaise pratique, ou encore même un trou de
sécurité.
Comme détour, vous pouvez placer la ligne :
search foo.bar.edu bar.edu
à la place de la précédente :
domain foo.bar.edu
dans votre fichier
/etc/resolv.conf .
Quoiqu'il en soit, assurez vous que l'ordre de recherche
ne vas pas en dehors des ``limites entre l'administration locale
et publique'', comme appelée dans la RFC 1535.
``Permission denied'' pour toutes les opérations réseaux.
Si vous avez compilé votre noyau avc l'option
IPFIREWALL, vous devez être prévenu, que la
politique par défaut depuis le
2.1.7R (cela a changé durant le développement
du 2.1-STABLE) est de refuser tous les paquets qui ne sont pas
explicitement autorisés.
Si vous avez inintentionnellement mal configuré votre système pour le
firewall, vous pouvez rétablir les fonctionnalité réseaux en tapant la
commande suivante sous root :
ipfw add 65534 allow all from any to any
Vous pouvez aussi régler "firewall_type='open'" dans
/etc/rc.conf.
Pour plus d'informations sur la configuration d'un firewall FreeBSD,
voir la section correspondante du handbook.
Combien d'overhead, IPFW implique-t-il ?
La réponse à ceci dépend pour la plupart à votre ensemble de règle et à
votre vitesse de processeur. Pour la plupart des applications
utilisant ethernet et de petits ensembles de règles, la réponse est :
négligeable. Pour tous ceux d'entre vous qui veulent des mesures
actuelles pour satisfaire leur curiosité, continuez à lire :
Les mesures suivantes ont été réalisées en utilisant 2.2.5-STABLE sur
un 486-66. IPFW a été modifié pour mesurer le temps écoulé par
l'intermédiaire de la routine ip_fw_chk
en affichant les résultats sur la console tous les 1000 paquets.
2 ensembles de règles, chacun avec 1000 règles ont été testés.
Le premier ensemble a été conçu pour démontrer le scénario du pire des
cas en répétant la règle :
ipfw add deny tcp from any to any 55555
Cela démontre le pire des cas en faisant que chaque paquet IPFW entraine l'exécution de
la routine de vérification qui finallement décide que le
paquet ne correspond pas aux règles (en vertu du numéro de port)?
Apès la 999eme itération de cette règle, il y avait un
allow ip from any to any.
Le second ensemble de règles a été conçu pour annuler la vérification de
règle très rapidement :
ipfw add deny ip from 1.2.3.4 to 1.2.3.4
Les adresses IP des sources non correspondantes aux règles énoncées
ci-dessus font que ces règles sont sautées très rapidement. Comme
auparavant, la 1000eme règle était un
allow ip from any to any.
L'étude par paquet dans le premier cas a été approximativement de
2.703ms/paquet, soit en gros 2.7 microseconds par règle
.
Ainsi, la limite théorique d'étude de paquet avec ces règles est de 370
paquets par secondes. En supposant un éthernet 10Mbps et des paquets
d'environ 1500 bytes, nous ne pourrons être capable que d'obtenir une
utilisation de la bande passante de 55.5%
Pour le dernier cas, chaque paquet a été étudié en approximativement
1.172ms, soit en gros 1.2 microseconds par règle.
La limite théorique de l'étude des paquets ici, serait d'environ de 853
paquets par secondes, ce qui pourrait consommer une bande passante
d'un éthernet 10Mbps.
Le nombre excessif de règle testés, et la nature de ces règles ne
fournissent pas un scénario du monde réel -- ils ont été utilisés que
pour générer les informations de temps présentés ici.Voici certaines
choses à garder à l'esprit pour construire un ensemble de règles
efficaces :
Placer une règle d'`établissement' très tôt afin de pouvoir
gérer la majorité du trafic TCP. Ne mettre aucun
allow tcp
avant cette règle.
Placer les règles souvent sollicitées le plus au début de l'ensemble
des règles plutôt que celles rarement utilisées
(sans changer la permissivité du firewall , bien sûr).
Vous pourrez voir quels sont les règles les plus souvent utilisées en
examinant les statistiques des comptages des paquets avec
ipfw -a l.
Comment puis-je rediriger les requêtes de services d'une machine vers une autre ?
Vous pouvez rediriger des requêtes FTP (et autre services) avec le
paquetage 'socket', disponible dans l'arbre des ports dans la catégorie
'sysutils'. Remplacer simplement la ligne de commande de
service pour appeler socket à la place, ainsi:
ftp stream tcp nowait nobody /usr/local/bin/socket socket ftp.foo.com ftp
où 'ftp.foo.com' et 'ftp' sont les hôtes et les ports où se diriger
respectivement.
diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/preface.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/preface.sgml
index 63095afcb9..6bbf081975 100644
--- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/preface.sgml
+++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/preface.sgml
@@ -1,785 +1,785 @@
PréfaceQuel est le but de cette FAQ ?Comme toutes les FAQ Usenet, ce document contient les
questions les plus fréquemment posées à propos du système
d'exploitation FreeBSD, ainsi que leurs réponses. Bien que
destinées, à l'origine, à réduire le trafic et éviter que
-les même questions soient posées encore et encore, les FAQ
+les mêmes questions soient posées encore et encore, les FAQ
sont maintenant reconnues comme de précieuses sources
d'information. Tous les efforts ont été apportés pour rendre
cette FAQ la plus complète possible. Si vous avez des commentaires
la concernant ou
si vous voulez y contribuer, envoyez un e-mail au responsable de cette
FAQ.
FreeBSD c'est quoi ?Pour résumer, FreeBSD 2.X est un système d'exploitation
UN*X basé sur la distribution 4.4BSD-lite de l'université de
Berkeley pour des plate-formes i386.
Il est aussi basé indirectement sur le
portage de William Jolitz de la distribution Net/2 de l'université de
Berkeley, plus connu sous le nom de 386BSD, mais très peu de code de
386BSD subsiste. Une description plus complète de ce qu'est
FreeBSD et à quoi il peut vous servir, peut être trouvée à la page d'accueil de
FreeBSD. FreeBSD est utilisé par des sociétés commerciales,
fournisseurs d'accès à l'Internet, chercheurs, professionnels de
l'informatique, étudiants et particuliers à travers le monde entier
pour travailler, apprendre et se divertir. Reportez-vous à la galerie
FreeBSD pour vous faire une idée.Pour plus de détails et d'informations sur FreeBSD,
référez vous au manuel de FreeBSDQuels sont les buts de FreeBSD ?L'objectif du projet FreeBSD est de fournir un logiciel qui
puisse être utilisé à n'importe quelle fin et sans aucun restriction.
Nombre d'entre nous sont impliqués de façon significative dans le
code (et dans le projet) et ne refuseraient certainement pas une
petite compensation financière de temps à autre, mais ce n'est
certainement pas dans nos intentions d'insister là dessus. Nous
croyons que notre première et principale “mission”
est de fournir du code à tout le monde, pour n'importe quel projet,
de façon à ce que l'il soit utilisé le plus possible et avec
le maximum d'avantages. C'est, nous le pensons, l'un des objectifs
les plus fondamentaux du Logiciel Libre et l'un de ceux que nous
soutenons avec enthousiasme.Le code de l'arborescence des sources, qui est régi par la
Licence Publique GNU (“GNU Public
License” - GPL) ou
la Licence Publique GNU pour les Bibliothèques (“GNU Library
Public License” - GLPL) impose légèrement plus de
contraintes, bien que plutôt liées à une disponibilité plus grande
qu'au contraire, comme c'est généralement le cas. En raison des
complications supplémentaires qui peuvent résulter de l'utilisation
commerciale de logiciels GPL, nous essayons, cependant de remplacer
ces derniers par des logiciels soumis à la licence BSD qui est plus
souple, chaque fois que c'est possible.Pourquoi le nom FreeBSD ?Il peut être utilisé gratuitement, même pour un usage commercial.L'intégralité des sources est disponible
gratuitement, et le moins de restrictions possible ont été placées sur
son utilisation, sa distribution et son incorporation dans d'autres travaux
(à des fins commerciales ou non).N'importe quelle personne qui a une nouvelle fonctionnalité
et/ou une correction de bogue peut soumettre une portion de
code, qui pourra être inclus dans l'arbre de
développement (moyennant une ou deux conditions évidentes). Pour ceux de nos lecteurs dont la langue maternelle n'est
pas l'anglais, il est important de rappeler que le mot "free"
est utilisé ici de deux manières, l'une signifiant "gratuitement"
et l'autre "vous pouvez faire ce que vous voulez".
Excepté une ou deux choses que vous ne pouvez
pas faire avec le code FreeBSD, par exemple prétendre que vous l'avez
développé, vous pouvez réellement faire ce que vous en voulez. Quelle est la dernière version de FreeBSD ?La version 3.1 est la dernière version stable ; elle a été mise en circulation en février 1999.
C'est aussi la dernière version
RELEASE.
En quelques mots, la branche-stable est destinée aux fournisseurs d'accès à
l'Internet et autres utilisateurs professionnels qui
recherchent un système stable ainsi que des changements mineurs lors de la
mise à jour de leur système en dernière version.
Qu'est-ce que FreeBSD-current ?FreeBSD-current
est la version de développement du système d'exploitation, qui
deviendra en temps utile la version 4.0-RELEASE. Comme telle, cette version ne peut
intéresser que les développeurs du noyau ainsi que certains
passionnés. Voyez la section
appropriée du manuel
pour plus de détails sur l'utilisation de -current.Si vous n'êtes pas familier avec ce système d'exploitation,
ou que vous n'êtes pas capable de différencier un problème temporaire
d'un problème critique, vous ne devez pas utiliser
FreeBSD-current. Cette branche évolue assez rapidement et peut ne pas
être compilée pendant un certain temps.
Les personnes utilisant
FreeBSD-current doivent être capables d'analyser n'importe quel
problème et de ne rapporter que les erreurs utiles.
Assez souvent, une version de
test est créée depuis la branche de développement -current et
occasionnellement une distribution sur CDROM est disponible. Les buts
de chaque version de test sont les suivants:
Tester la dernière version du programme d'installation.Donner aux personnes voulant utiliser -current mais
n'ayant pas le temps ou la bande passante pour suivre jour après jour
les évolutions du système, une façon simple de faire
évoluer leur système.Garder un point de synchronisation pour les sources
du système actuel, juste au cas ou nous casserions quelque chose
plus tard d'une façon irrécupérable (Bien sur, CVS nous empêche
normalement d'en arriver là :-).Vérifier que toutes les nouvelles fonctionnalités nécessitant
des tests ont le nombre maximum de testeurs potentiels.Aucune garantie ne peut être donnée sur le fait que les
versions de test puissent être considérées comme des versions "de
production". Pour des systèmes en production, vous devez attendre la
version finale.Les versions de test sont directement téléchargeables
depuis ce
site et sont générées en moyenne une fois par jour pour les
branches 4.0-current et 3.0-stable.Quel est le concept de la branche FreeBSD-stable ?Revenons un peu en arrière, lorsque la version 2.0.5 de
FreeBSD fut livrée, nous avons décidé de scinder le développement en
deux branches. Une nommée -stable,
où nous avons décidé de n'inclure que les correctifs testés et
contenant quelques ajouts de fonctionnalités (pour les fournisseurs
d'accès ou les sociétés à vocation commerciale où les fonctionnalités
expérimentales sont plus qu'indésirables). L'autre nommée
-current
qui nous emmènera jusqu'à la version 4.0-RELEASE (et audelà) depuis la livraison 2.0. Un dessin
ASCII qui vous montre à quoi ressemble l'arbre de développement :
La branche -current progresse lentement vers la version 4.0 et au-delà,
la branche 2.2-stable étant terminée avec la version 2.2.8.
La branche 3.0-stable l'a maintenant remplacée, la prochaine version arrivant avec la 3.1 au début 1999 .
La version 4.0-current est maintenant la "branche
courante" avec les premières versions 4.0 apparaissant au premier trimestre 2000.Quand sont livrées les versions de FreeBSD ?Les nouvelles versions de FreeBSD sont livrées quand
l'équipe principale de FreeBSD décide qu'il y a suffisamment de
nouveautés et/ou de correctifs pour justifier d'une version, et
lorsqu'ils sont satisfaits des modifications apportées et qu'elles ne
compromettent pas la stabilité de la version. Beaucoup d'utilisateurs
pensent que cela fait partie des meilleures choses de FreeBSD, même si
cela peut être un peu frustrant d'attendre que les derniers ajouts
soient disponibles. Les versions sont livrées à peu près tous les 4 mois en moyenne. Pour les personnes qui ont besoin (ou veulent) d'un peu
plus de risques, il y a les versions SNAP qui sont livrées un peu plus
souvent (à peu près tous les mois). Sur quelles plate-formes, autre que les PC, est disponible FreeBSD ?Actuellement FreeBSD 3.x tourne sur une plate-forme DEC Alpha aussi bien que sur les architecture x86. Un intérêt a été exprimé pour un portage sur UltraSPARC
mais les détails de ce projet ne sont pas encore clairs.Si vous disposez d'une autre architecture, nous vous
conseillons d'aller voir aux URLs suivantes:
NetBSDOpenBSDQui sont les responsables de FreeBSD ?Les décisions concernant le projet FreeBSD, comme les
directions que vont prendre le projet ainsi que les personnes
autorisées à ajouter du code dans le noyau, sont fixées par l'équipe principale ,
composée d'environ 15 personnes. Il y a une équipe un peu plus large
d'environ 150
personnes qui ont le droit d'effectuer des changements dans le
code.Bien sûr, la plupart des changements sont discutés au
préalable dans les listes de messagerie, et il n'y a aucune restriction
sur qui peut prendre part à la discussion.Où peut-on trouver FreeBSD ?Toutes les versions sont disponibles via un ftp anonyme
sur le site ftp de
FreeBSDPour la version 2.2-stable, 2.2.8R, voir le répertoire
2.2.8-RELEASE.Pour la version 3.0-stable, 3.0-RELEASE, voir le
répertoire 3.0-RELEASE.Les versions de tests 2.2
sont compilées une fois par jour tout au long de la vie de la branche
RELENG_2_2 (post 2.2.8). Sauf gros incident, la branche RELENG_2_2
est maintenue avec extrêmement d'attention (pas de changements
expérimentaux, correctifs ajoutés après test dans la branche -current
uniquement).Les versions de test 3.0 sont
compilées une fois par jour depuis la branche RELENG_3 (post 3.0-release)jusqu'à la 3.1-RELEASE.Les versions de test 4.0 sont
compilées une fois par jour depuis la branche -current, ce service
étant juste là pour les personnes voulant la tester, ou les
développeurs. FreeBSD est aussi disponible par CDROM chez :En France
Le Monde en Tique
6 rue du Maître Albert
75005 PARIS
FRANCE
Téléphone :01 55 42 73 73
Télécopie :01 55 42 73 74
WWW:Serveur WWW du Monde en Tique
Ouverture : Du lundi au samedi, de 9h30 à 19h30 sans interruption
Métro : Ligne 10 : Station Maubert - Mutualité
Rer B : Cluny - La Sorbonne, Sortie : Boulevard Saint-Michel - Boulevard Saint-Germain
Rer C : Saint Michel - Notre Dame, Sortie : Notre-Dame
Infothèque
32, rue de Moscou
75008 Paris
Téléphone:01 45 22 67 01
Télécopie:01 42 93 73 83
WWW: Serveur WWW de infothequeAux USA
Walnut Creek CDROM
4041 Pike Lane, Suite F
Concord, CA 94520 USA
Commandes: +1 800 786-9907
Questions: +1 925 674-0783
FAX: +1 925 674-0821
email: Commandes Walnut Creek
WWW: Serveur WWW de Walnut Creek En Australie chez :
Advanced Multimedia Distributors
Factory 1/1 Ovata Drive
Tullamarine, Melbourne
Victoria
Australia
Tel: +61 3 9338 6777
CDROM Support BBS
17 Irvine St
Peppermint Grove WA 6011
Tel: +61 9 385-3793
Fax: +61 9 385-2360
En Angleterre :
The Public Domain & Shareware Library
Winscombe House, Beacon Rd
Crowborough
Sussex. TN6 1UL
Tel: +44 1892 663-298
Fax: +44 1892 667-473
Où trouver de l'information sur les listes de messagerie ?Vous trouverez ces informations dans la section sur les listes de diffusion du manuelQuels sont les forums de discussion disponibles sur FreeBSD ? Tous les forums sont listés dans la section sur les forums de
discussion du manuelExiste-t-il des canaux IRC(Internet Relay Chat) sur FreeBSD ?Oui, la plupart des réseaux IRC comportent un canal FreeBSD.
Le canal #FreeBSD sur EFNET est sûrement le plus populaire et est disponible sur irc.chat.org.Le canal #FreeBSD sur DALNET est disponible sur irc.dal.net pour les US et sur irc.eu.dal.net pour l'Europe.Le canal #FreeBSD sur UNDERNET est disponible sur us.undernet.org pour les US et sur eu.undernet.org pour l'Europe.Enfin vous pouvez rejoindre #FreeBSD sur BSDNET, un petit serveur de chat BSD sur irc.FreeBSD.orgTous ces canaux sont distincts et ne sont pas
interconnectés entre eux. Les discussions sur chaque canal diffèrent,
donc essayez-les tous avant de trouver celui qui vous convient.Quels sont les livres parlant de FreeBSD ?Le livre de Greg Lehey's stalling and Running
FreeBSD est disponible chez Walnut Creek CDROM et comprend le CDROM
de la version 2.2.8. Il y a aussi un livre plus important nommé The
Complete FreeBSD qui est lui livré avec certaines pages de manuel et
qui inclut aussi les CDROMs de la version 2.2.8. Ils devraient aussi
etre disponibles dans toutes les bonnes librairies.Il existe aussi un projet se nommant "FreeBSD
Documentation Project", que vous pouvez contacter (ou mieux, joindre)
sur la liste de diffusion doc<freebsd-doc@FreeBSD.ORG>.
Cette liste a pour but de discuter sur la documentation de FreeBSD.
Les questions plus générales sur FreeBSD sont à poser dans la "mailing
list" <freebsd-questions@FreeBSD.ORG>.Un ``manuel'' sur FreeBSD est
disponible. Sachez, pour information, que ce manuel est en perpétuelle
évolution, et que certaines parties peuvent être incomplètes.Comme FreeBSD 2.2.X est basé sur la version 4.4.BSD-lite2,
la plupart des manuels relatifs à 4.4BSD peuvent s'appliquer à
FreeBSD. Des versions imprimées sont disponibles chez O'Reilly:
4.4BSD System Manager's Manual By Computer Systems Research Group, UC
Berkeley 1st Edition June 1994, 804 pages ISBN 1-56592-080-5
4.4BSD User's Reference Manual By Computer Systems Research Group, UC
Berkeley 1st Edition June 1994, 905 pages ISBN 1-56592-075-9
4.4BSD User's Supplementary Documents By Computer Systems Research
Group, UC Berkeley 1st Edition July 1994, 712 pages ISBN 1-56592-076-7
4.4BSD Programmer's Reference Manual By Computer Systems Research
Group, UC Berkeley 1st Edition June 1994, 886 pages ISBN 1-56592-078-3
4.4BSD Programmer's Supplementary Documents By Computer Systems
Research Group, UC Berkeley 1st Edition July 1994, 596 pages ISBN 1-56592-079-1Une courte description de ces livres est disponible via
WWW à l'adresse suivante : http://gnn.com/gnn/bus/ora/category/bsd.html.
Vu le peu de ventes, ces livres sont relativement difficiles a trouver.Pour plus d'informations sur le noyau 4.4BSD vous pouvez vous
reporter au livre suivant :
McKusick, Marshall Kirk, Keith Bostic, Michael J Karels, and John Quarterman.
The Design and Implementation of the 4.4BSD Operating System.
Reading, Mass. : Addison-Wesley, 1996.
ISBN 0-201-54979-4Un bon livre sur l'administration système:
Evi Nemeth, Garth Snyder, Scott Seebass & Trent R. Hein,
``Unix System Administration Handbook'', Prentice-Hall, 1995
ISBN 0-13-151051-7Attention à bien acheter la deuxième édition,
version avec la couverture rouge, et non pas la première.Ce livre couvre les bases de l'administration système
aussi bien que TCP/IP, le DNS, NFS, SLIP/PPP, sendmail, INN/NNTP,
l'impression, etc... Il est assez onéreux (environ 300-350 FF) mais
est indispensable. Il comprend en plus un CDROM contenant énormément
d'outils, dont la plupart sont inclus sur les CDROM de FreeBSD.Comment accèder à la base de données des problèmes ?La base de données des problèmes est accessible (pour
soumission ou interrogation) en utilisant votre navigateur WWW pour la soumission
ou pour
l'interrogation . La commande send-pr(1)
peut aussi être utilisée pour soumettre des problèmes et des
modifications par courrier électronique.Où peut-on trouver des versions ASCII/PostScript de cette FAQ ? La dernière version de cette FAQ est disponible sur le serveur
-WWW de FreeBSD ou sur tout serveur miroir en PostScript ou texte (ASCII 7 bits et Latin1 8bit).
+WWW de FreeBSD ou sur tout serveur miroir en PostScript ou texte (ASCII 7 bits et Latin1 8 bits).
Le PostScript (environ 370Ko) :http://www.freebsd-fr.org/FAQ/FAQ.psEn format texte ISO 8859-1 (environ 220Ko): http://www.freebsd-fr.org/FAQ/FAQ.txtOù peut-on trouver des versions ASCII/PostScript du manuel ? La dernière version du manuel est disponible sur le serveur
-WWW de FreeBSD ou sur tout serveur miroir en PostScript ou texte (ASCII 7 bits et Latin1 8bit).
+WWW de FreeBSD ou sur tout serveur miroir en PostScript ou texte (ASCII 7 bits et Latin1 8 bits).
Le PostScript (environ 1.7Mo) :http://www.freebsd-fr.org/handbook/handbook.psEn format texte ISO 8859-1 (environ : 1.1Mo) :http://www.freebsd-fr.org/handbook/handbook.txtLa version ASCII du manuel ne contient pas que du texte !C'est vrai. Les versions ASCII et Latin1 de la FAQ et du
manuel ne contiennent pas que du texte. Elles
contiennent des soulignés et d'autres codes qui supposent que
l'impression sera faite sur une imprimante matricielle. Si vous avez
besoin de reformater ces fichiers sous une forme plus lisible, lancez
la commande col sur le fichier :
$ col -b < fichierOrigine > fichierSortie
Je voudrais devenir un miroir WWW de FreeBSD !Bien sûr ! Différents moyens permettent de synchroniser les pages WWW.
En utilisant CVSUP: vous pouvez retrouver les pages
formatées en HTML en utilisant CVSUP depuis cvsup.freebsd.org. Ajoutez
simplement cette ligne à votre fichier cvsup:
www release=current hostname=/home base=/usr/local/etc/cvsup
prefix=/usr/local/www/data/www.freebsd.org delete old use-rel-suffix
En utilisant rsync: voir la page sur les
miroirs pour les informations.En utilisant un miroir ftp: vous pouvez télécharger
la copie sur serveur WWW se trouvant sur le serveur ftp. Les fichiers
se trouvent à ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/FreeBSD-current/www
.Je veux traduire la documentation en Javanais On ne peut pas vous payer, mais on peut s'arranger pour
vous envoyer un CDROM gratuit ou un T-shirt et une entrée dans la
liste des contributeurs du Handbook si vous nous soumettez une
traduction de la documentation.Autres sources d'informations.Les forums de discussion suivants se rapportent à FreeBSD
fr.comp.os.bsd (en francais)
comp.unix.bsd.freebsd.announce (en anglais - modéré) comp.unix.bsd.freebsd.misc (en anglais)comp.unix.bsd.misc (en anglais)Ressources WWW:
La page
principale de FreeBSDLa page
principale de fr.FreeBSDSi vous possédez un portable, vous devez visiter la
page de Tatsumi Hosokawa's
Mobile Computing au JaponPour plus d'informations sur SMP (Symmetric
MultiProcessing) voyez la page du support
SMPPour plus d'informations sur les applications multimedia FreeBSD
, voyez la page
multimédia. Si vous vous intéressez plus spécialement à la capture vidéo Bt848
suivez ce
lien.Le manuel de FreeBSD contient une section bibliographie plus
importante, si vous recherchez d'autres livres ou informations.
diff --git a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/serial.sgml b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/serial.sgml
index 0aaacc1d51..72b43bbc0e 100644
--- a/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/serial.sgml
+++ b/fr_FR.ISO8859-1/books/faq/serial.sgml
@@ -1,626 +1,626 @@
Communications par port sérieCette section comporte les réponses aux différentes
questions sur la communication par port série sur FreeBSD. Les
protocoles PPP et SLIP sont couverts dans la section Réseaux.Comment savoir si FreeBSD a trouvé mes ports séries ? Lorsque FreeBSD démarre, il recherche les ports série sur
votre machine qui sont configurés dans le noyau. Vous pouvez voir ces
ports en regardant avec attention au moment du démarrage les messages
affichés, ou en lançant la commande suivante:
dmesg | grep sio
Lorsque votre système a démarré. Voici quelques exemples
de l'affichage de la commande précédente.
sio0 at 0x3f8-0x3ff irq 4 on isa
sio0: type 16550A
sio1 at 0x2f8-0x2ff irq 3 on isa
sio1: type 16550A
Vous voyez alors apparaitre deux ports série. Le premier se trouve à
l'adresse 0x3f8 sur l'IRQ 4 et est composé d'une
puce de type 16550A. Le second est de meme type que le premier, mais
se trouve lui à l'adresse 0x2f8 sur l'IRQ 3. Les
cartes modems internes sont traités comme des ports série -- sauf
qu'ils ont toujours un modem sur le port.
Le noyau GENERIC comprends
le support pour deux ports série dont les adresses et les IRQ sont les
memes que celles ci-dessus. Si ces valeurs ne vous conviennent pas, ou
si vous avez des cartes modems additionnelles ou des cartes série,
reconfigurez un noyau. Voyez la section sur la reconstruction d'un
noyau pour plus de détails.Comment savoir si FreeBSD a trouvé mes cartes modemsRéférez vous à la section précédente Je viens de mettre à jour ma machine en 2.0.5 et mes tty0x ont diparus ! Ne vous inquitez pas, ils sont été remplacés par les
devices ttydX. Vous devrez donc
changer toutes vos anciennes configurations pour utiliser ces
devices.Comment accéder aux ports série sous FreeBSD ? Le troisième port série sio2 (aussi
appelé COM3 sous DOS), s'appelle
/dev/cuaa2 en sortie, et
/dev/ttyd2 en entrée. Quelle est la différence entre ces
deux classes de devices ?Vous devez utiliser ttydX
pour des appels sortants. Lorsque vous ouvrez /dev/ttydX en mode bloquant, un processus
attend, sur le device cuaaX
correspondant, qu'il soit inactif, et attends alors de détecter la
porteuse sur la ligne. Lorsque vous ouvrez le port cuaaX , un processus vérifie déjà que le port
ttydX correspondant est
disponible. Si le port est disponible, alors il se l'approprie depuis
le port ttydX . Le port cuaaXX ne tient pas compte de la détection de
porteuse. Graçe a cette fonctionnalité et un modem, vous pouvez avoir
des utilisateurs se logguant sur votre machine tout en vous laissant
appeller via le meme modem, c'est le système qui se préocupera de
gérer les conflits.Comment activer le support pour les cartes séries multiportsEncore une fois, reportez vous à la section sur la
configuration du noyau. Pour une carte série multiports placez
une ligne sio
pour chaque port série de la carte dans le fichier de
configuration du noyau. Ne mettez pour une valeur l'irq et le
vecteur d'adresse de la carte. Tous les ports de la cartes
doivent partager la même irq. Pour des raisons de
cohérence, spécifiez l'irq pour le dernier port. N'oubliez pas
d'ajouter l'option COM_MULTIPORT .
L'example suivant correspond à une carte série 4ports AST
sur l'irq 7
options "COM_MULTIPORT"
device sio4 at isa? port 0x2a0 tty flags 0x781
device sio5 at isa? port 0x2a8 tty flags 0x781
device sio6 at isa? port 0x2b0 tty flags 0x781
device sio7 at isa? port 0x2b8 tty flags 0x781 irq 7 vector siointr
Les drapeaux (flags) indiquent que le port maitre à un
nombre mineur de 7 (0x700),
que nous désirons afficher les diagnostics (0x080) et que tous les ports
partagent la même irq (0x001).
Est-ce que FreeBSD sait gérer les cartes séries multiports en partageant les IRQ ?Pas pour le moment. Vous devez utiliser une IRQ différente
pour chaque carte.Puis-je définir les paramètres par défaut de la liaison série pour un port?Les périphériques ttydX
(ou cuaaX) sont des
périphériques normaux que vous pouvez ouvrir dans vos
applications. Lorsqu'un processus ouvre le périphérique, il
utilise les paramètres par défaut d'entrées sorties de
terminal. Vous pouvez voir ces paramètres en utilisant la
commande:
stty -a -f /dev/ttyd1
Lorsque vous changez les paramètres du périphérique, ces
paramètres sont effectifs jusqu'au moment ou vous arreterez de
vous servir de ce périphérique. S'il est ouvert de nouveau, il
reprendra les paramètres par défaut. Pour changer les
paramètres par défaut , vous devez ouvrir le périphérique et
changer les paramètres de l'``état initial'' du
périphérique. Par exemple pour définit un mode LOCAL, 8bits et un controle de flux
+ remap="tt">LOCAL, 8 bits et un controle de flux
XON/XOFF par défaut sur le
ttyd5, voud devez :
stty -f /dev/ttyd5 clocal cs8 ixon ixoff
Le mailleur endroit pour effectuer ceci est le fichier de
démarrage /etc/rc.serial. Maintenant
lorsqu'une application ovrira
ttyd5 elle obtiendra les valeurs ci-dessus.
Vous pouvez empecher certaines valeurs d'etre modifiées en
utilisant le fonction de ``lock'' du périphérique. Par exemple
pour forcer la vitesse à 57600bauds sur
ttyd5 :
stty -f /dev/ttyd5 57600
Maintenant lorsqu'un programme ouvrira ttyd5 et tentera de changer la vitesse
du port, il obtiendra toujours 57600 bauds. Bien sur, vous devez laisser la possibilité de changer les
états initiaux et de lock que pour l'utilisateur root. Le
script MAKEDEV
ne le fait pas par
défaut lorsqu'il crée les noeuds.Comment mettre en place un login dialup sur mon modem?Vous voulez devenir fournisseur d'accès à l'Internet ?
Pour commencer vous devez disposer de plus d'un modem pouvant
répondre automatiquement. Votre modem doit pouvoir detecter
une émission de porteuse lorsque qu'elle se présente et ne doit pas en
détecter constemment. Il doit aussi etre capable de racrocher la ligne
lorsqu'il détecte le passage de 1 à 0 du signal DTR. Il doit aussi utiliser un controle de flux
de type RTS/CTS ou aucun controle
de flus. Enfin, il doit etre capable de négocier la vitesse de
transmission entre lui-même et le modem distant tout en gardant
une vitesse constante vis à vis de l'ordinateur.Pour la plupart des modems comprennant les commande Hayes,
cette commande met en place les bonnes valeurs et les enregistre en
mémoire morte:
AT &C1 &D3 &K3 &Q6 S0=1 &W
Voyez la section sur l'envoi direct de commandes AT, pour
savoir comment les mettre en place sans avoir besoin de lancer un
émulateur de terminal sous MS-DOS.Ensuite créez une entrée dans /etc/ttys pour
le modem. Ce fichier comporte tous les ports sur lesquels le système
d'exploitation attend des commandes de login. Ajoutez une ligne
ressemblant à celle ci:
ttyd1 "/usr/libexec/getty std.57600" dialup on insecure
Cette ligne indique que sur le deuxième port série
(/dev/ttyd1) est attaché un modem
dialoguant à 57600 bauds sans parité (std.57600) se trouvant dans le fichier /etc/gettytab
). Le type de terminal est ``dialup''. Le port est ``on'' et
``insecure'' -- ce qui veut dire que les logins sous root ne sont pas
autorisés sur ce port. Pour utiliser d'autres ports en entrée,
utilisez les autres entrées ttydX .
Il est d'usage courant d'utiliser ``dialup'' comme type de
terminal. Beaucoup d'utilisateurs affichent un prompt dans leur
.profile ou .login si le type de terminal est ``dialup''. L'exemple
ci-dessus affecte au port le mode ``insecure''. Pour passer root, vous
devez donc vous logguer en temps qu'utilisateur ordinaire et utiliser
la commande su
pour devenir root. Si vous
définissez le port en tant que ``secure'', alors vous pourrez vous
logguer sous root directement.Après avoir effectué les modifications au fichier /etc/ttys ,
vous devez envoyer un signal HUP au
processus init
kill -HUP 1
Cela force le processus init à relire le fichier /etc/ttys. Le
processus init démarrera donc des processus getty sur tous les ports
marqués comme on. Vous pouvez alors vérifiez que le login est
possible sur le port en tapant :
ps -ax | grep '[t]tyd1'
Et vous devez voir apparaitre quelque chose comme
ceci:
747 ?? I 0:00.04 /usr/libexec/getty std.57600 ttyd1
Comment connecter un terminal sur mon système FreeBSD?Si vous utilisez un autre ordinateur en tant que terminal,
vous devez vous procurer un cable null modem pour relier les deux
ports série. Si vous utilisez un vrai terminal (de type WYSE-50), suivez
les instructions du manuelEnsuite, modifez /etc/ttys comme
expliqué à la section précedente. Par exemple, pour un terminal
WYSE-50 connecté sur le 5ème port série, utilisez une entrée
ressemblant à la suivante:
ttyd4 "/usr/libexec/getty std.38400" wyse50 on secure
Cet exemple assume que le port
/dev/ttyd4 est connecté sur un terminal wyse50 à
la vitesse de 38400 bauds sans parité (std.38400 se trouvant dans le fichier /etc/gettytab)
et les logins root sont permis (mot clé secure)Pourquoi ne puis-je pas executer tip ou cu?Sur votre système, les programmes tip et cu ne sont
probablement executable que par l'utilisateur uucp et par le
groupe dialer. Le groupe
dialer vous permet de controler qui
a accès à votre modem ainsi qu'aux systèmes distants. Ajoutez vous
dans ce groupe pour pouvoir utiliser ces commandes.Sinon, vous pouvez autoriser tous les utilisateurs de
votre système à utiliser les programmes tip et
cu en tapant:
# chmod 4511 /usr/bin/cu
# chmod 4511 /usr/bin/tip
Mon modem Hayes n'est pas supporté; que dois-je faire ?Pour l'instant la page de manuel de tip n'est pas à
jour. Il existe un support générique des commandes Hayes intégré dans le
programme. Il suffit de mettre la ligne suivante
ar=hayes dans votre fichier /etc/remoteLe gestionnaire Hayes ne sait pas reconnaitre les
fonctions avancées des nouveaux modems. Des messages comme
BUSY, NO DIALTONE, CONNECT 115200 ne sont pas
reconnus. Vous devez absolument désactiver ces messages lorsque vous
utilisez tip (en tapant
ATX0&W).De plus le timeout de tip est de 60
secondes. Votre modem doit absolument utiliser une valeur plus faible,
sinon tip pensera qu'il y a un problème de
communication. Essayez la commande
ATS7=45&WLe version de tip livrée ne comporte
pas toutes ces fonctionnalités. La solution est d'éditer le fichier
tipconf.h se trouvant dans le répertoire
/usr/src/usr.bin/tip/tip. Bien sur cela nécessite
que vous ayez installé les sources.Remplacez alors la ligne #define HAYES
0 par #define HAYES 1. Puis tapez
make et make install. Tout
doit marcher correctement après cela.Comment faire pour entrer certaines commandes AT ?Créez une entrée de type direct dans
votre fichier /etc/remote.
Par exemple, si votre modem est attaché sur le premier port série,
/dev/cuaa0, ajoutez la ligne suivante:
cuaa0:dv=/dev/cuaa0:br#19200:pa=none
Utilisez le taux maximum, de transfert de votre modem,
pour la fonctionnalitée br. Ensuite tapez tip cuaa0 et vous
serez alors connecté sur votre modem.S'il n'existe pas de fichier
/dev/cuaa0 sur votre système, executez la
commande suivante:
# cd /dev
# ./MAKEDEV cuaa0
Sinon utilisez la commande cu sous
root de la façon suivante.
# cu -l``port'' -s``vitesse''
Avec port le nom du port
série(ex:/dev/cuaa0) et vitesse(la
vitesse maximum de votre
modem)(ex:57600). Lorsque vous avez entrer les
commandes AT apropriées, tapez ~. pour quitterLe symbole @ pour la fonctionnalité pn ne marche pas!Le symbole @ dans le numéro de
téléphone demande à tip de regarder dans le
fichier
/etc/phones pour trouver le numéro aproprié. Mais le symbole
@ est aussi un caractère spécial pour le fichier
/etc/remote.
Mettez un backslash devant pour qu'il soit correctement interprété.
pn=\@
Comment composer un numéro de téléphone depuis la ligne de commande?Mettez une ligne
generic dans le fichier /etc/remote.
Par exemple:
tip115200|Dial any phone number at 115200 bps:\
:dv=/dev/cuaa0:br#115200:at=hayes:pa=none:du:
tip57600|Dial any phone number at 57600 bps:\
:dv=/dev/cuaa0:br#57600:at=hayes:pa=none:du:
Vous pourrez alors utilisez la commande suivante
tip -115200 5551234 . Si vous
préferez cu
à tip,
utilisez une ligne générique pour cu:
cu115200|Use cu to dial any number at 115200bps:\
:dv=/dev/cuaa1:br#57600:at=hayes:pa=none:du:
et utilisez la commande cu 5551234 -s
115200.Dois-je spécifier la vitesse en bauds à chaque connexionMettez une ligne tip1200 ou
cu1200, mais mettez la vitesse que vous voulez
pour la fonctionnalité br.tip pense que la
vitesse par défaut est de 1200 bauds, donc il cherche une entrée
tip1200. Bien sur, vous n'etes pas
obligez d'utiliser cette vitesse.J'ai accès à plusieurs machines depuis mon serveur de terminalPlutot que d'attendre d'etre connecté et de taper la
commande CONNECT <host> chaque fois,
utilisez la fonctionnalité cm de tip. Voyez, par
exemple, les entrèes suivantes du fichier /etc/remote:
pain|pain.deep13.com|Forrester's machine:\
:cm=CONNECT pain\n:tc=deep13:
muffin|muffin.deep13.com|Frank's machine:\
:cm=CONNECT muffin\n:tc=deep13:
deep13:Gizmonics Institute terminal server:\
:dv=/dev/cua02:br#38400:at=hayes:du:pa=none:pn=5551234:
Cela vous permet de taper directement tip
pain ou tip muffin pour vous connectez
sur les machines pain ou muffin, et tip deep13
pour accéder au serveur de terminaux.Est-ce que tip peut utiliser plusieurs numéros de téléphones pour se connecter à un site?C'est un problème courant lorsqu'une université a
plusieurs lignes pour les modems et plusieurs milliers d'étudiants qui
les utilisent.Créez une ligne pour votre université dans le fichier
/etc/remote
et utilisez \@ comme valeur pour la
fonctionnalité pn.
big-university:\
:pn=\@:tc=dialout
dialout:\
:dv=/dev/cuaa3:br#9600:at=courier:du:pa=none:
Ensuite listez tous les numéros de téléphones de l'université
dans le fichier /etc/phones
big-university 5551111
big-university 5551112
big-university 5551113
big-university 5551114
tip essaiera
alors tous les numéros de téléphones dans l'ordre de la liste puis
s'arretera. Si vous voulez qu'il réessaye à l'infini, lancez
tip dans une boucle sans finPourquoi dois-je appuyer deux fois sur CTRL+P pour envoyer un CRTL+P?CTRL+P est le caractère par défaut pour tip, pour lui
dire que le caractère suivant est une donnée brute. Vous pouvez
changez ce caractère en n'importe quel autre en utilisant la séquence
d'échappement ~s, qui équivaut à set a
variable.Tapez
~sforce=<single-char> suivit
d'un saut de ligne. <single-char>
correspondant à un simple caractère.Si vous laissez
<single-char> vide, alors le caractère de
``force'' est le caractère nul, que vous pouvez obtenir par CTRL+2 ou
CTRL+SPACE. La meilleur valeur pour ce caractère est SHIFT+CTRL+6, que
je n'ai vu que utilisé que sur peu de terminaux.Vous pouvez affecter la valeur que vous voulez pour ce
caractère en le spécifiant dans le fichier
$HOME/.tiprc:
force=<single-char>
Tout d'un coup, tout ce que je tape est en majuscule?Vous devez avoir pressé CTRL+A, le caractère ``raise'' de
tip,
spécialement concus pour les gens n'ayant pas de caps-lock. Utilisez
comme auparavant, ~s, et fixez la variable
raisechar a une valeur plus raisonnable. En fait, vous
pouvez le mettre à la meme valeur que le caractère de ``force'', si
vous ne désirez jamais utiliser ces fonctionnalités.Voici un exemple de fichier .tiprc
pour les utilisateurs d'Emacs qui utilisent beaucoup CTRL+2 et
CTRL+A:
force=^^
raisechar=^^
Le caractère ^^ correspond à SHIFT+CTRL+6.Comment effectuer des transferts de fichiers en utilisant tip?Si vous dialoguez avec un autre système UNIX, vous pouvez
envoyer et recevoir des fichiers en utilisant la commande
~p(put) et ~t(take). Ces
commandes utilisent les commandes cat et echo sur le
système distant pour recevoir et envoyer les fichiers. La syntaxe de
ces commandes est:
~p <fichier-local> [<fichier-distant>]
~t <fichier-distant> [<fichier-local>]
Il n'y a aucun controle d'erreur, donc il vaut mieux
utiliser un autre protocol comme zmodem.Comment dialoguer en zmodem avec tip?Il faut, pour commencer, installer un des programmes
zmodem depuis les ports(un de ceux de la catégorie comms lrzsz ou
rzsz).
Pour recevoir un fichier, démarrez le programme d'envoi
des données sur le système distant. Ensuite pressez entrée puis tapez
~C rz (ou ~C
lrz si vous avez installé lrzsz) pour recevoir le
fichier.Pour envoyer des fichiers, démarrez le programme de
réception sur le système distant. Ensuite tapez entrée et tapez
~C sz <files>(ou
~C lsz <files>) pour envoyer
le fichier. FreeBSD ne trouve pas mes ports séries, même avec les bonnes valeurs de configuration . Certaines cartes mères et les cartes comportant des Composants
UART Acer, ne sont pas reconnues correctement par le programme de
détection de FreeBSD. Un patch est disponible à www.lemis.com
pour résoudre votre problème.
diff --git a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/admin.sgml b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/admin.sgml
index b9afc7c57f..9aed48536b 100644
--- a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/admin.sgml
+++ b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/admin.sgml
@@ -1,893 +1,893 @@
Administration systèmeOù sont les fichiers de démarrage du système ?De la version 2.0.5R à la version 2.2.1R, le fichier de
configuration principal était /etc/sysconfig .
Toutes les options sont spécifiées dans ce fichier et les autres
fichiers comme
/etc/rc et /etc/netstart ne font
que l'inclure.Regardez dans le fichier /etc/sysconfig
et changez les valeurs nécessaires pour configurer votre
système. Ce fichier inclut des commentaires indiquant les valeurs à
mettre.Pour les versions 2.2.1 et suivantes, le fichier
/etc/sysconfig a été renommé en
rc.conf et a été épuré au passage. Le fichier
/etc/netstart a aussi été renommé en
rc/network comme cela tous les fichiers peuvent être
copiés grâce à une seule commande : cp /usr/src/etc/rc* /etc. Le fichier /etc/rc.local existe
toujours et peut être utilisé pour démarrer des services additionnels
comme INN ou pour
positionner certaines valeurs.Le fichier /etc/rc.serial permet
d'initialiser les ports série (par exemple mettre en place les
caractéristiques du port, etc..).Le fichier /etc/rc.i386 est
spécifique aux paramètres des plateformes Intel, comme l'émulation
iBCS2 ou la configuration de la console système d'un PC.Avec la version 2.1.0R, vous pouvez définir des fichiers de
démarrage "locaux" se trouvant dans un répertoire spécifié dans le
fichier /etc/sysconfig (ou le fichier
/etc/rc.conf ):
# Emplacement des fichiers de démarrage locaux
local_startup=/usr/local/etc/rc.local.d
Chaque fichier se terminant par .sh
sera éxécuté dans l'ordre alphabétique.Si vous voulez vous assurez d'un certain ordre de
démarrage sans changer le nom des fichiers, vous pouvez utiliser un
schéma similaire à celui qui suit, en faisant précéder chaque fichier
de chiffres pour assurer l'ordre de démarrage:
10news.sh
15httpd.sh
20ssh.sh
Cela peut vous sembler un peu laid (ou SysV :-)) mais cela
fournit une façon simple pour les packages locaux ajoutés sans être
obligé d'éditer /etc/rc.local . La plupart des
ports ou des packages assument que le répertoire
/usr/local/etc/rc.d permet le démarrage des programmes
locaux.Comment ajouter simplement un utilisateur ?Utilisez la commande adduser
Il existe aussi un autre outil nommé
``new-account'' écrit en Perl par Ollivier Robert. Demandez le
lui. Cet outil est actuellement en cours de développements supplémentairesPour retirer un utilisateur, utilisez la commande rmuser.Comment ajouter un nouveau disque dur à mon système FreeBSD ? Voyez le tutoriel sur le formatage des
disques dur.Comment utiliser mon nouveau disque amovible ? Que ce soit un disque amovible de type ZIP ou EZ (ou
même une disquette), ou un disque dur, une fois installé et
reconnu par le système et que vous avez inséré une cartouche/disquette, la
manipulation est la même pour tous les périphériques.(Cette section est basée sur la FAQ des lecteurs ZIP de Mark Mayo)Si c'est un disque ZIP ou une disquette DOS, il y a déjà un système de fichier DOS installé, vous pouvez utilisez les commandes suivantes:
mount -t msdos /dev/fd0c /floppy
s'il s'agit d'une disquette; ou:
mount -r msdos /dev/sd2s4 /zip
s'il s'agit d'un lecteur ZIP dans sa configuration d'origine.
Pour les autres types de disques, voyez leur partitionnement en utilisant fdisk ou /stand/sysinstall .Les exemples qui suivent supposent que vous disposez d'un disque ZIP sur sd2, le troisième disque SCSI.Si votre disque amovible n'est pas une disquette, ou tout autre disque amovible que vous ne désirez par partager avec d'autres personnes, il vaut mieux mettre un système de fichiers BSD dessus. Vous pourrez avoir des noms longs, une amélioration de performances et une meilleur stabilité. Pour commencer, vous devez effacer la partition ou le système de fichiers DOS. Vous pouvez utiliser l'utilitaire fdisk ou /stand/sysinstall , ou pour un disque d'une petite capacité, détruire la table des partitions FAT et utiliser le partitionnement BSD standard :
dd if=/dev/zero of=/dev/rsd2 count=2
disklabel -Brw sd2 auto
Vous pouvez utiliser disklabel ou /stand/sysinstall pour créer plusieurs partitions BSD. Vous effectuerez probablement ces opérations si vous ajoutez de l'espace de "swap" sur un disque fixe, mais il est inconcevable de le faire sur un disque amovible ZIP.Pour finir construisez un nouveau système de fichier, utilisant tout l'espace disponible sur votre lecteur ZIP :
newfs /dev/rsd2c
et montez le :
mount /dev/sd2c /zip
C'est surement une bonne idée d'ajouter la ligne suivante au fichier /etc/fstab , cela vous permettra de ne taper que "mount /zip" par la suite :
/dev/sd2c /zip ffs rw,noauto 0 0
Comment monter une partition DOS étendue ?Les partitions DOS étendues se trouvent après la fin de toutes les partitions primaires. Par exemple, si vous avez une partition "E" en tant que partition DOS étendue sur le deuxième disque SCSI, vous devez créer le fichier spécial pour la partition 5 dans /dev et monter /dev/sd1s5 :
# cd /dev
# ./MAKEDEV sd1s5
# mount -t msdos /dev/sd1s5 /dos/e
Puis-je monter d'autres systèmes de fichiers sous FreeBSD ?Les CDROM Digital UNIX
au format UFS peuvent être montés directements sous FreeBSD. Il peut
être très difficile, par contre, de monter des partitions disques de
Digital UNIX, ou d'autres systèmes supportant l'UFS. Cela dépend des
partitionnements effectués sur le système en question.Linux: Les version 2.2 et
supérieures incluent le support des partitions
ext2fs . Pour plus d'informations voyez la page de manuel
de
mount_ext2fs .Toute autre information sur le sujet est appréciée.Comment utiliser le programme de démarrage de NT pour démarrer FreeBSD ?Il faut pour cela copier le premier secteur de votre
partition FreeBSD dans un fichier sur une partition DOS/NT. Nous
supposerons qu'il s'appelle c:\bootsect.bsd
(équivalent de c:\bootsect.dos
). Il suffit d'éditer le fichier
c:\boot.ini pour qu'il ressemble à ceci:
[boot loader]
timeout=30
default=multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS
[operating systems]
multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS="Windows NT"
C:\BOOTSECT.BSD="FreeBSD"
C:\="DOS" Cette
procédure implique que DOS, NT ou FreeBSD soient installés sur le
même disque. Dans mon cas DOS et NT sont installés
respectivement sur la première partition du disque et FreeBSD sur la
seconde. FreeBSD est aussi configuré pour démarrer depuis sa partition
et non depuis le MBR du
disque.Monter une disquette préformatée DOS (si vous cette
partition n'est pas en FAT, mais en NTFS) sous /mnt
.
dd if=/dev/rsd0a of=/mnt/bootsect.bsd bs=512 count=1
Redémarrez en mode DOS ou NT. Si vous
avez une partition NTFS copiez le fichier bootsect.bsd
de la disquette dans le répertoire C:\. Modifiez les
attributs (permissions) du fichier boot.ini.
attrib -s -r c:\boot.ini
Ajoutez la ligne correcte au fichier boot.ini et
restaurez les anciens attributs.
attrib -s -r c:\boot.ini
Si FreeBSD démarre depuis le MBR, restaurez-le avec
la commande DOS fdisk /MBR après avoir
reconfiguré FreeBSD pour démarrer depuis sa partition native.Comment démarrer FreeBSD et Linux grace à LILO ?Si vous avez installé FreeBSD et Linux sur le mème disque,
suivez les instructions du manuel de LILO pour démarrer sur d'autres
systèmes que Linux. En résumé il faut :Démarrer sous Linux et ajouter les lignes suivantes au
fichier /etc/lilo.conf :
other=/dev/hda2
table=/deb/hda
label=FreeBSD
(l'exemple précédant suppose que la partition FreeBSD
est connue par linux sous le nom /dev/hda2 .
Ensuite lancez lilo sous root, et c'est
fini.Si FreeBSD se trouve sur un autre disque vous devez
ajouter loader=/boot/chain.b au fichier de
configuration de lilo :
other=/dev/sdb4
table=/dev/sdb
loader=/boot/chain.b
label=FreeBSD
Dans certains cas, vous devez spécifier le numéro du disque connu par
le BIOS au programme de démarrage de FreeBSD pour démarrer sur le
deuxième disque. Par exemple, si votre disque SCSI contenant FreeBSD
est trouvé par le BIOS comme disque numéro 1, vous devez taper la ligne
suivante au prompt du programme de démarrage:
Boot: 1:sd(0,a)/kernel
Vous pouvez configurer le programme de
démarrage de FreeBSD version 2.2.5 ou supérieure pour prendre
cette chaine par défaut.Le document Linux+FreeBSD
mini-HOWTO est une très bonne référence sur
l'interopérabilité entre FreeBSD et Linux.Comment démarrer FreeBSD et Linux depuis BootEasy ?Il faut installer LILO au début de votre partition de
démarrage de Linux au lieu du MBR. Vous pouvez alors démarrer LILO
depuis BootEasy.Si vous utilisez Linux et Windows-95, c'est la meilleur
façon d'installer LILO si vous voulez continuer à démarrer Linux après
avoir réinstallé Windows-95 (qui lui ne tient pas contre des autres
systèmes et se croit seul sur le MBR).Est-ce dangereux d'utiliser un disque dédié ?La procédure d'installation vous permet de choisir deux
façons différentes pour partitionner vos disques. Par défaut, elle
permet de les rendre compatibles avec d'autres systèmes d'exploitation
se trouvant sur votre ordinateur en utilisant les entrées des tables
de fdisk (appelés "slices" sous FreeBSD), en faisant en sorte qu'une
"slice" FreeBSD corresponde à une partition. Vous pouvez aussi
installer un selecteur de démarrage pour choisir de démarrer sous un
autre système d'exploitation.Comme ceci correspond à la plupart des cas de personnes
venant des PC, les personnes venant d'Unix et qui désirent mettre en
place une machine pour y faire tourner FreeBSD et juste FreeBSD,
utilisent la procédure classique d'installation d'Unix, ou Unix
utilise le disque au complet, du premier secteur au dernier. Une
véritable table pour fdisk n'est d'aucune utilité dans le vas d'une
machine utilisant FreeBSD 24h/24, 7jours sur 7, car aucun autre
système d'exploitation ne sera démarré. Donc si vous sélectionnez
``A)ll FreeBSD '' dans l'éditeur de partition du programme
d'installation et répondez ``No'' à la question qui suit, vous serez
dans ce cas. Notez que cela implique que le programme de
démarrage BSD correspond au MBR de ce disque. N'essayez pas d'en
réinstaller un sous peine de détruire le précédent.Donc pourquoi est-ce donc ``dangereux'' ? Un disque
configuré de la sorte ne contient pas de table fdisk valides, pour la
plupart des utilitaires PC. Suivant la façon dont ils ont été conçus,
ils vous avertissent ou tout simplement ne disent rien et détruisent
le programme de démarrage BSD sans avertissement. Certains systèmes
d'exploitation très utilisés sur PC, sont connus pour agir de la
sorte (bien sûr, ils agissent de la sorte sous le couvert de système
"orienté-utilisateur"). Au moins un BIOS de chez Award, qui est par
exemple utilisé sur les HP Netserver (mais sur d'autre systèmes
aussi), est connu pour ignorer tout disque dur n'ayant pas de table
fdisk valide. Lorsque votre machine démarre il ignore tout simplement
de tels disques, tente de démarrer sur une disquette, et vous affiche
un ``Read error''. Très impressionnant, non ?. C'est ce que certains
appellent un système "orienté-utilisateur".Les avantages de ce partitionnement sont : FreeBSD utilise
le disque au complet, il n'y a donc pas de besoin de garder quelques
'pistes' au début du disque qui ne servaient à rien sauf pour un
modèle de partitionnement vieux et simpliste qui n'a maintenant plus
aucun sens. Ces contraintes étant ce que l'on peut appeler la plus
grosse prise de tête lors de l'installation des systèmes
d'exploitations sur PS, et qui menaient le plus souvent à deux façon
complètement redondantes de stockage des informations dans les tables
fdisk. Voyez le chapitre sur ``Missing
Operating System''. Dans le cas d'un disque ``dangereusement dédié'',
le programme de démarrage BSD commence au secteur 0, qui est le seul
secteur ne changeant de valeur C/H/S, pour les valeurs du disque du
BIOS. Vous pouvez donc, dans ce cas, interchanger des disques entre
plusieurs controleurs ou systèmes utilisant des schémas de translation
différents sans vous poser de questions.Pour passer d'un disque ``dangereusement dédié'' à un
disque normal de PC, il y a deux solutions simples. La première est de
recouvrir le MBR d'octets vides, pour permettre de faire croire que le
disque est vierge. Pour pouvez le faire de la façon suivante:
dd if=/dev/zero of=/dev/rds0 count=15
Ou en utilisant une fonctionnnalité non-documentée de DOS :
fdisk /mbr qui installe aussi un
nouveau MBR, en recouvrant le programme de démarrage BSD.Comme faire pour ajouter plus de "swap" ?La meilleur façon de faire, est d'augmenter la taille de
votre partition de swap, ou de prendre cette excuse pour ajouter un
autre disque.Ajouter du "swap" sur un autre disque permet plus d'augmenter
la rapidité que d'en ajouter sur le même disque. Par exemple, si
vous compilez des fichiers qui se trouvent sur un disque et que le "swap"
se trouve sur un autre disque, cela va beaucoup plus vite d'avoir
le "swap" et les sources sur le même disque. Ceci est
spécialement vrai pour les disques SCSI.Les disques IDE ne permettent pas l'accès à deux disques
sur le même canal au même moment (FreeBSD ne supporte pas
le mode 4, donc toutes les entrées/sorties disques sont
``programmées''). Je vous suggère de mettre le "swap" sur un autre
disque aussi. Les disques durs sont si peu couteux, que cela ne vaut
pas le coup de tout mettre sur un.C'est une très mauvaise idée de mettre le fichier de
"swap" sur une partition NFS, sauf si vous disposez d'un environnement
réseau extrèmement rapide, et d'un très bon serveur NFS.Voici un exemple pour ajouter 64Mo de swap en utilisant un
fichier se nommant /usr/swap0 .Assurez vous que votre noyau est compilé avec la ligne
pseudo-device vn 1 # #Vnode driver (turns a file into a device)
Le noyau GENERIC la contient par
défaut.
Créez un vn-device :
cd /dev
sh./MAKEDEV vn0
Créez le fichier de "swap" (/usr/swap0).
dd if=/dev/zero of=/usr/swap0 bs=1024k count=64 Activez le fichier de "swap" dans le fichier
/etc/rc.conf
swapfile="/usr/swap0" # Set to name of swapfile if aux swapfile desired.
Rebootez la machinePour activer le fichier de "swap" immédiatement, tapez
vnconfig -ce /dev/vn0c /usr/swap0 swap
J'ai des problèmes pour installer mon imprimante.Référez-vous à la section sur les imprimantes du Handbook. Elle
couvre l'essentiel des problèmes que l'on peut rencontrer.Le clavier est mal configuré sur mon ordinateur.Le programme kbdcontrol comporte une
option permettant de charger une configuration clavier différente.
Vous trouverez dans /usr/share/syscons/keymaps
différents fichiers de configuration. Choisissez celle voulue et
chargez la : kbdcontrol -l fr.iso
Dans tous les cas le programme kbdcontrol
recherche dans /usr/share/syscons/keymaps un
fichier se terminant par .kbd.Vous pouvez le configurer dans le fichier
/etc/sysconfig (ou rc.conf).
Regardez les commentaires apropriés dans ce fichier.Pour les versions 2.0.5 et suivantes, tout ce qui est
relatif aux fontes du texte, à la configuration du clavier se trouve dans
/usr/share/syscons.Actuellement les configurations de claviers suivantes sont supportées :
Belgian ISO-8859-1 Brazilian 275 keyboard Codepage 850 Brazilian 275 keyboard ISO-8859-1 Danish Codepage 865 Danish ISO-8859-1 French ISO-8859-1 German Codepage 850 German ISO-8859-1 Italian ISO-8859-1 Japanese 106 Japanese 106x Latin American Norwegian ISO-8859-1 Polish ISO-8859-2 (programmer's) Russian Codepage 866 (alternative) Russian koi8-r (shift) Russian koi8-r Spanish ISO-8859-1 Swedish Codepage 850 Swedish ISO-8859-1 Swiss-German ISO-8859-1 United Kingdom Codepage 850 United Kingdom ISO-8859-1 United States of America ISO-8859-1 United States of America dvorak United States of America dvorakx Comment faire en sorte que les quotas utilisateurs fonctionnent correctement ?Ne mettez pas de quotas sur '/',Mettez le fichier des quotas sur le système de fichiers
qui en dispose, par ex :
Système de fichier Emplacement du fichier des quotas
/usr /usr/admin/quotas
/home /home/admin/quotas
...
Qu'est-ce qui ne va pas avec ma configuration de ccd ?Le symptome est le suivant :
# ccdconfig -C
ccdconfig: ioctl (CCDIOCSET): /dev/ccd0c: Inappropriate file type or format
#
Ceci apparait la plupart du temps lorsque vous essayez de
concaténer les partitions ``c'', qui par défaut ont comme type
``unused''. Le gestionnaire de disque ccd nécessite que le type de la
partition soit de type FS_BSDFFS. Dans ce cas, éditez le label des
disques à concaténer et changez le type des partitions en type
``4.2BSD''.Pourquoi je ne peux pas éditer le label de mes disques concaténés ? Le symptome est le suivant :
# disklabel ccd0
(ça affiche quelque chose de particulier ici, donc essayons de l'éditer)
# disklabel -e ccd0
(édition, sauvegarde, sortie)
disklabel: ioctl DIOCWDINFO: No disk label on disk;
use "disklabel -r" to install initial label
#
Cela apparait souvent lorsque le label retourné par le
gestionnaire de disques concaténé est un faux, un qui n'est pas
véritablement sur le disque. Pour résoudre ce problème il faut écrire
explicitement sur le disque, comme ceci :
# disklabel ccd0 > /tmp/disklabel.tmp
# disklabel -Rr ccd0 /tmp/disklabel.tmp
# disklabel -e ccd0
(maintenant cela doit fonctionner correctement)
Est-ce que FreeBSD supporte les communications inter-processus de type Système V (IPC) ?Oui, FreeBSD supporte les communications inter-processus
de type Système V, IPC. Cela inclue la mémoire partagée, les files de
messages et les sémaphores. Vous devez ajouter les lignes suivantes à
votre fichier de configuration du noyau pour les activer :
options SYSVSHM
options "SHMMAXPGS=64" # 256Ko de mémoire partagée
options SYSVSEM # activation des sémaphores
options SYSVMSG # activation des files de messages
Recompilez le noyau et installez le.Note : Vous aurez sûrement
besoin d'augmenter SHMMAXPGS à un nombre plus élevé, comme 4096 (16M!)
si vous avez besoin d'utiliser GIMP. 256Ko est largement suffisant
pour la mémoire partagée dont à besoin X11R6.Comment configurer sendmail pour fonctionner avec UUCP ?La configuration de sendmail fournie avec FreeBSD,
correspond à un site directement connecté à l'Internet. Les sites qui
utilisent UUCP pour échanger du courrier électronique doivent
installer un autre fichier de configuration pour sendmail. Modifier directement le fichier
/etc/sendmail.cf est réservé la plupart du temps aux
gourous. La version 8 de sendmail dispose d'une interface m4 de génération
du fichier de configuration, qui encapsule le fichier de configuration
dans un format abstrait de haut niveau. Vous devez trouvez les
différents fichiers de configuration dans le répertoire
/usr/src/usr.sbin/sendmail/cf .Si vous n'avez pas installé tous les sources du système,
vous pouvez trouver les différents fichiers de configuration de
sendmail dans un fichier séparé des autres sources sur le CD-ROM. Si
vous avez monté le CD-ROM exécutez les commandes suivantes :
cd /usr/src
tar -xvzf /cdrom/dists/src/ssmailcf.aa
Cela correspond juste à une centaine de kilo-octets. Le
fichier README dans le répertoire
cf vous explique rapidement comment fonctionnne
m4.Pour utiliser UUCP, vous devez utiliser la fonctionnnalité
mailertable. Elle permet à sendmail de constituer
une base de données pour lui permettre de router le courrier
correctement.Pour commencer, vous devez créer une fichier de
configuration .mc. Tous ces types de fichiers se
trouvent dans le répertoire
/usr/src/usr.sbin/sendmail/cf/cf. Il y a quelques
fichiers d'exemples dans ce répertoire pouvant vous aider. En
supposant que vous avez appelé ce fichier foo.mc,
tout ce que vous devez faire pour le convertir en un
fichier valide de configuration de sendmail,
sendmail.cf est :
cd /usr/src/usr.sbin/sendmail/cf/cf
make foo.cf
cp foo.cf /etc/sendmail.cf
Un fichier classique ressemble à ceci:
include(`../m4/cf.m4')
VERSIONID(`Votre numéro de version)
OSTYPE(bsd4.4)
FEATURE(nodns)
FEATURE(nocanonify)
FEATURE(mailertable)
define(`UUCP_RELAY', nom.du.relai.uucp)
define(`UUCP_MAX_SIZE', 200000)
MAILER(local)
MAILER(smtp)
MAILER(uucp)
Cw alias.de.votre.nom.de.machine
Cw votrenomdenoeuduucp.UUCP
Les directives nodnset
nocanonify forcent sendmail à ne pas utiliser le
DNS lors de l'envoi du courrier. La directive
UUCP_RELAY est utilisée pour des raisons assez
bizarres; ne posez pas de questions et utilisez-la. Mettez juste un nom
de machine capable de recevoir du courrier en UUCP. La plupart du
temps il faut mettre le nom du serveur de messagerie de votre
fournisseur d'accès.Après avoir défini tout ceci, vous avez besoin d'un
fichier /etc/mailertable. Voici un exemple de ce
type de fichier :
#
# makemap hash /etc/mailertable.db < /etc/mailertable
#
horus.interface-business.de uucp-dom:horus
.interface-business.de uucp-dom:if-bus
interface-business.de uucp-dom:if-bus
.heep.sax.de smtp8:%1
horus.UUCP uucp-dom:horus
if-bus.UUCP uucp-dom:if-bus
. uucp-dom:sax
Les trois premières lignes font en sorte d'envoyer
le courrier à des serveurs UUCP ``voisins'' et non pas au serveur par
défaut, pour permettre de racourcir le temps d'envoi des messages. La
ligne suivante permet d'envoyer le courrier sur le domaine local en
protocole SMTP. Et pour finir, les ``voisins'' UUCP sont mentionner
dans la la notation de domaine .UUCP, permettant au format de mail
``voisin-uucp!destinataire'' d'écraser les règles par défaut. La
dernière ligne doit toujours être un ``.'', qui représente toutes les
destinations, qui doit correspondre à un serveur de messagerie UUCP
voisin, et qui sert de passerelle de courrier éléctronique vers le
reste du monde. Tous les noms de noeuds se trouvant après le mot clé
uucp-dom:doivent être des noms valides de voisins
UUCP, que vous pouvez vérifier en utilisant la commande
uunamePour vous rappeler que ce fichier doit être converti en
fichier DBM pour pouvoir être utilisé, la ligne de commande
nécessaire à sa création est rappelée dans les commentaires du fichier
mailertable. Vous devez lancer cette commande à chaque fois que vous
changez quelque chose dans ce fichier.Pour finir : si vous n'etes pas certain de votre
configuration d'envoi de messages électroniques, rappellez-vous
l'option -bt de sendmail. Cela lance sendmail en
mode test ; entrez simplement ``0 '' suivi de
l'adresse que vous voulez tester. La dernière ligne vous indiquera
alors le type d'agent utilisé pour l'envoi, la machine auquelle
l'agent enverra le courrier, et l'adresse à laquelle il l'enverra. Pour
quitter ce mode tapez Control-D.
j@uriah 191% sendmail -bt
ADDRESS TEST MODE (ruleset 3 NOT automatically invoked)
Enter <ruleset> <address>
> 0 foo@interface-business.de
rewrite: ruleset 0 input: foo @ interface-business . de
...
rewrite: ruleset 0 returns: $# uucp-dom $@ if-bus $: foo \
< @ interface-business . de >
> ^D
j@uriah 192%
Comment mettre en oeuvre le courrier électronique avec une connexion temporaire à un réseau ?Si vous disposez d'un adresse IP statique, vous ne devez rien changer. Definissez juste votre nom de machine pour qu'il corresponde à votre nom de machine internet et sendmail s'occupera du reste.Dans le cas ou vous disposez d'une adresse IP
-dynamiquement assignée et que vous utilisez une connection ppp pour
+dynamiquement assignée et que vous utilisez une connexion ppp pour
accèder à l'internet, vous diposez probablement d'une boite aux
lettres chez votre fournisseur d'accès. Prenons comme exemple que le
domaine de votre fournisseur soit monISP.com, que
votre nom d'utilisateur soit monlogin, que votre nom
de machine soit bsd.perso et que votre
fournisseur vous aie indiqué la machine
relai.monISP.com comme serveur relai de
messagerie électronique.Pour pouvoir recevoir votre courrier depuis votre boite à
lettres, vous devez installer un agent de rapatriement de
mail.Fetchmail est un bon choix, car
il supporte la plupart des protocoles de messagerie. La plupart du
temps, votre fournisseur offre l'accès à travers le protocole POP3. Si
vous avez décidé d'utiliser la partie utilisateur de ppp, vous pouvez
automatiquement rapatrier votre courrier lorsque la connexion vers le
réseau est établie en ajoutant la ligne suivante au fichier
/etc/ppp/ppp.linkup :
MYADDR:
!bg su monlogin -c fetchmail
Ici nous assumons que vous disposez d'un compte nommé
monlogin sur la machine
bsd.perso. Vous devez alors créer un fichier
.fetchmailrc dans votre répertoire principal
contenant :
poll monISP.com protocol pop3 fetchall pass monPasswd:
Naturellement, ce fichier ne doit être lisible que par
l'utilisateur monlogin car il contient le mot de
passe monPasswd.Pour permettre d'envoyer du courrier avec l'entête
from: correcte, vous devez configurer
sendmail pour utiliser l'adresse
monlogin@monISP.com plutôt que
monlogin@bsd.perso. Vous devez aussi dire à votre
sendmail d'envoyer tout le courrier via le serveur
relai.monISP.com, permettant au courrier
d'être envoyé plus rapidement.Le fichier de configuration .mc suivant doit convenir :
VERSIONID(`bsd.perso.mc version 1.0')
OSTYPE(bsd4.4)dnl
FEATURE(nouucp)dnl
MAILER(local)dnl
MAILER(smtp)dnl
Cwlocalhost
Cwbsd.perso
MASQUERADE_AS(`monISP.com')dnl
FEATURE(allmasquerade)dnl
FEATURE(masquerade_envelope)dnl
FEATURE(nocanonify)dnl
FEATURE(nodns)dnl
define(SMART_HOST, `relai.monISP.com')
Dmbsd.perso
define(`confDOMAIN_NAME',`bsd.perso')dnl
define(`confDELIVERY_MODE',`deferred')dnl
Reférez-vous à la section précédente pour l'explication
détaillée de conversion du fichier .mcen fichier
sendmail.cf. N'oubliez pas non plus de redémarrer
sendmail après avoir modifié le fichier
/etc/sendmail.cfHorreur !! J'ai perdu le mot de passe de root !! Ne paniquez pas! Redémarrez tout simplement le système en
tapant -s au "prompt" Boot: pour passer en mode mono-utilisateur. A la
question sur le shell à utiliser, appuyez sur ENTREE. Vous obtiendrez
alors un prompt "#". Tapez la commande mount -u
pour remonter votre partition primaire en lecture/écriture et lancez
la commande mount -a pour remonter tous les
systèmes de fichiers. Tapez passwd root pour
changer le mot de passe root puis tapez exit pour
continuer le processus de démarrage du système.Comment empècher le redémarrage du système en appuyant sur les touches Control-Alt-Delete ?Editez le fichier de configuration du clavier que vous
utilisez pour la console et remplacez le mot clé
boot par nop. Le fichier de
configuration du clavier utilisé par défaut est
/usr/share/syscons/keymaps/us.iso.kbd. Vous
pouvez changer la configuration en éditant le fichier
/etc/rc.conf. Bien sur si vous utilisez une autre
configuration, il faut éditer le fichier de configuration la
décrivant.Comment transformer les fichiers textes au format DOS en fichiers UNIX ?Utilisez tout simplement la commande perl suivante :
perl -i.bak -pe 's/\r\n/\n/g' fichier.dos ...
fichier.dos étant le fichier à modifier. Cette commande
remplace dans le fichier et sauvegarde l'ancien sous le nom
fichier.dos.bak.Comment tuer un processus par son nom ?Utilisez killall(1)Pourquoi la commande su me dit sans arrêt que je ne suis pas dans les ACL de root ?Cette erreur vient du système d'authentification distribué
Kerberos. Ceci n'est pas un problème très grave. Un palliatif consiste
à utiliser l'option "-k" de su ou de désinstaller Kerberos comme
expliqué à la section suivante.Comment désinstaller Kerberos ?Pour désinstaller Kerberos de votre système, vous devez
réinstaller la distribution bin depuis votre
version de FreeBSD. Si vous disposez d'un CDROM, vous devez monter le
cd (la plupart du temps dans /cdrom) et lancer :
cd /cdrom/bin
./install.sh
Comment ajouter des pseudo-terminaux au système ?Si vous avez un grand nombre de telnet, ssh, X, or screen users,
vous risquez probablement de manquer de pseudo-terminaux.
Voici comment en ajouter plusieurs :Créer et installer un nouveau noyau avec la ligne
pseudo-device pty 256
dans le fichier de configuration.Exécuter la commande :
# cd /dev
# ./MAKEDEV pty{1,2,3,4,5,6,7}
pour créer 256 device nodes pour les nouveaux terminaux.Editer /etc/ttys et
jouter une ligne pour chacun des 256 terminaux.
Elles doivent correspondre à la forme des entrées existantes.
c'est à dire ressembler à :
ttyqc none network
L'ordre des lettres de désignation est
tty[pqrsPQRS][0-9a-v],
en utilisant une expression régulière. Démarrez le système avec le nouveau noyau
et vous êtes prêts à travailler.
diff --git a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/applications.sgml b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/applications.sgml
index ce9f6f1dcd..0239ae5296 100644
--- a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/applications.sgml
+++ b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/applications.sgml
@@ -1,149 +1,149 @@
ApplicationsOu puis-je trouver toutes les applications utilisateurs?Allez voir sur la page des
ports pour plus d'informations sur les packages portés sur
FreeBSD. La liste complète inclut plus de 1000 ports, et grossit chaque
jours, donc vérifiez souvent cette liste, ou souscrivez à la mailing
liste freebsd-announce pour
vous tenir au courant des mises à jour.La plupart des ports sont disponibles pour la branche 2.2
et 3.0, et la plupart d'entre eux sont susceptibles de fonctionner sur
des systèmes 2.1.x. A chaque fois qu'une version de FreeBSD est
livrée, une version des ports, au moment de la livraison de la
version, est incluse dans le répertoire ports
.FreeBSD supporte aussi le concept de ``package'', qui
n'est rien de plus qu'une distribution binaire compressée avec
quelques informations en plus, permettant de l'installer très
simplement. Un ``package'' peut être installé et désinstallé
facilement, sans avoir besoin de savoir les détails sur les fichiers
qu'il inclut.Il vous suffit d'utiliser le menu d'installation des
``package'' du programme /stand/sysinstall ou
servez vous de la commande pkg_add(1) pour
installer les ``packages'' que vous désirez. Les fichiers des
``packages'' sont très simple à identifiés de part leur suffixe
.tgz . Les personnes disposant d'une
distribution sur CDROM les trouveront dans le répertoire
packages/All . Ils sont aussi disponibles sur ces
différents serveurs ftp:
Pour les versions 2.1.x-release: ftp://ftp.FreeBSD.ORG/pub/FreeBSD/packages-2.1.7/Pour les versions 2.2.6-release/2.2.-stable: ftp://ftp.FreeBSD.ORG/pub/FreeBSD/packages-2.2.6/Pour la version 3.0-current: ftp://ftp.FreeBSD.ORG/pub/FreeBSD/packages-3.0/ ou sur un site mirroir.Notez, que tous les ports ne sont pas obligatoirement
disponibles sous forme de ``package''. C'est une bonne idée de
vérifier régulièrement la disponibilité des différents packages sur le
site principal de
FreeBSDOu trouver la librairie libc.so.3.0?Cela veut dire que vous essayez d'utiliser un ``package''
compilé pour des versions 2.2/3.0 sur un système 2.1.x. Voyez la
section précedente et retrouvez le port/package correct pour votre
système. ghostscript m'affiche énormément d'erreurs sur mon 386/486SX. Vous n'avez pas de coprocesseur mathématique, n'est-ce pas ? Vous
devez absolument compiler l'émulateur mathématique fournit dans votre
noyau; il vous suffit d'ajouter la ligne suivante dans votre fichier
de configuration du noyau: options GPL_MATH_EMULATE
NOTE: Vous devez retirer la ligne contenant l'option
MATH_EMULATE si vous activez la
précédente.Lorsque je lance des applications SCO/iBCS2, elles plantent sur socksys Vous devez en tout premier éditer le fichier
/etc/sysconfig (ou /etc/rc.conf
) et positionner la variable suivante sur YES :
# à positionner sur YES si vous voulez que l'émulation ibcs2(SCO) soit chargée au démarrage
ibcs2=NO
Cela activera le module ibcs2 au
démarrage.Vous devrez aussi créer le répertoire
/compat/ibcs2/dev et mettre en place ce qui suit :
lrwxr-xr-x 1 root wheel 9 Oct 15 22:20 X0R@ -> /dev/null
lrwxr-xr-x 1 root wheel 7 Oct 15 22:20 nfsd@ -> socksys
-rw-rw-r-- 1 root wheel 0 Oct 28 12:02 null
lrwxr-xr-x 1 root wheel 9 Oct 15 22:20 socksys@ -> /dev/null
crw-rw-rw- 1 root wheel 41, 1 Oct 15 22:14 spx
Il suffit de faire pointer socksys vers /dev/null
pour tromper les open & close. Le code, dans la version -current,
fera le reste. Si vous avez besoin du driver spx
- pour la connection d'une socket X, définissez
+ pour la connexion d'une socket X, définissez
SPX_HACK lors de la compilation de votre
système.Comment dois-je configurer INN (Internet News) pour mon système ?Après avoir installé le package ou le port de inn, la
meilleur façon de commencer est de voir la page de Fabien TASSIN
sur INN, ou vous trouverez la FAQ de INN.Quelle version de Microsoft FrontPage dois-je utiliser ?Utilisez les ports ! Une pré-version patchée pour Apache est
disponible dans les ports
diff --git a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/book.sgml b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/book.sgml
index df5c82ddf9..ec6d2d1736 100644
--- a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/book.sgml
+++ b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/book.sgml
@@ -1,93 +1,97 @@
%urls;
+ %translators;
+
+ %authors;
+ %mailing-lists;
%includes;
]>
Questions Fréquemment Posées sur FreeBSD 2.XSébastienGIORIA
- gioria@francenet.fr
+ gioria@FreeBSD.orgTuyet TramDANG NGOCdntt@prism.uvsq.frSeptembre - Décembre 1998
Ceci est la FAQ pour les versions de FreeBSD 2.X. Toutes les entrées sont
relatives à FreeBSD 2.05 et les versions ultérieures.Toutes
les entrées finissant avec <XXX> sont en cours de
construction. Si vous êtes intéressé par ce projet,
envoyez un email sur la "mailing-list" : freebsd-france@freebsd.francenet.fr.
La dernière version de ce document est disponible en anglais à
l'adresse suivante : FreeBSD
World Wide Web server . Ce document est également disponible
en format texte et en format
postscriptNous recherchons des relecteurs pour la correction de cette FAQ.
&preface;
&install;
&hardware;
&troubleshoot;
&commercial;
&applications;
&kernelconfig;
&admin;
&x;
&network;
&serial;
&misc;
&hackers;
&acknowledgments;
diff --git a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/hardware.sgml b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/hardware.sgml
index 43deb6cabf..19b482805c 100644
--- a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/hardware.sgml
+++ b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/hardware.sgml
@@ -1,478 +1,478 @@
Compatibilité matérielleQuels sont les types de disques durs supportés par FreeBSD ?FreeBSD supporte les disques EIDE et SCSI (pour les contrôleurs
compatibles, voir la section suivante), ainsi que tous les disques
utilisant l'interface originale "Western Digital" (MFM, RLL, ESDI
et bien sûr IDE).
Quelques contrôleurs ESDI utilisant des interfaces propriétaires
peuvent ne pas marcher: utilisez les interfaces WD1002/3/6/7 et leurs
clones.Quels sont les contrôleurs SCSI supportés ?Voir la liste complète dans le
Handbook.Quels sont les lecteurs CD-ROM supportés par FreeBSD ?N'importe quel lecteur SCSI connecté à un contrôleur supporté
est supporté.Les interfaces CD-ROM propriétaires suivantes sont aussi supportées:
- Mitsumi LU002 (8bit), LU005 (16 bits) et FX001D
+ Mitsumi LU002 (8 bits), LU005 (16 bits) et FX001D
(16 bits double vitesse).Sony CDU 31/33ACD-ROM Sound Blaster Non-SCSICD-ROM Matsushita/PanasonicCD-ROM ATAPI compatible IDEToutes les cartes non-SCSI sont connues pour être extrêmement lentes
par rapport aux lecteurs SCSI, et certains CDROM ATAPI peuvent ne pas
être pris en charge.A partir de la version 2.2, le CD-ROM FreeBSD de Walnut Creek
permet de démarrer directement FreeBSD depuis le CD.Est-ce que FreeBSD supporte les lecteurs ZIP ?FreeBSD supporte bien sûr les lecteurs ZIP SCSI de base
- out of the box.
Les lecteurs ZIP ne peuvent être réglés que pour marcher sur les cibles
SCSI d'adresse 5 ou 6, mais si le BIOS de votre adaptateur SCSI hôte
le permet, vous pourrez même démarrer à partir du ZIP.
Je ne sais pas quel adaptateur SCSI hôte vous permet de démarrer
depuis des cibles autres que 0 ou 1... regardez votre documentation
(et dites moi si cela marche pour vous).Les ZIP ATAPI (IDE) sont pris en charge par FreeBSD 2.2.6
ainsi que par les versions ultérieures.FreeBSD 3.0-STABLE contient le support pour lecteur ZIP
sur port parallèle, mais pour cela, vous aurez à construire
un nouveau noyau avec support pour ppbus (Parallel Port Bus)
afin d'utiliser le ZIP.
Prendre le fichier de configuration LINT comme exemple.Regarder aussi cette note traitant des
disques amovibles, ainsi que celle sur
le 'formatage'.Est-ce que FreeBSD supporte JAZ, EZ et autres disques amovibles ?A part la version IDE du lecteur EZ, ce sont tous des
périphériques SCSI, alors pour FreeBSD, ils sont considérés comme des
disques SCSI, et le lecteur IDE EZ est considéré comme un lecteur IDE.
Je ne suis pas sûr que FreeBSD supporte
correctemement un changement de media en cours de fonctionnement.
Vous devrez bien sûr démonter le lecteur avant l'échange, et vous
assurer que les unités externes soient allumées pendant le démarrage
du système de sorte que FreeBSD puisse les voir. Quelles sont les cartes séries multi-ports prises en charge par FreeBSD ?Une liste est disponible à la section
périphériques divers
du handbook.A notre connaissance, certaines cartes clone sans marque
sont connues pour fonctionner, en particulier celles qui se disent
être compatibles AST.Regarder la page de manuel
sio pour
plus d'informations sur la configuration de telles cartes.J'ai une souris bus inhabituelle. Comment la configurer ?FreeBSD supporte les souris bus et les souris bus InPort de
constructeurs tels que Microsoft, Logitech et ATI. Le contrôleur du bus
est compilé dans le noyau GENERIC par défaut. Si vous construisez un noyau
personalisé avec le contrôleur de souris bus, assurez-vous d'avoir bien
mis la ligne suivante dans le fichier de configuration du noyau :
device mse0 at isa? port 0x23c tty irq5 vector mseintr
La souris bus vient souvent avec une interface dédiée.
Cela vous permet de mettre une adresse de port et un numéro
d'IRQ autres que ceux donnés ci-dessus.
Reportez-vous au manuel de votre souris et à la page de manuel
mse
pour plus d'informations.Comment utiliser ma souris PS/2 (``port souris'' ou ``clavier'') ?Si vous utilisez une version de FreeBSD post-2.2.5, le pilote
nécessaire, psm, est inclu et activé dans le noyau.
Le noyau devrait détecter votre souris PS/2 au moment du démarrage.Si vous utilisez une version précédente mais assez récente de
FreeBSD (2.1.x ou mieux), alors vous pouvez simplement l'activer
dans le menu de configuration du noyau à l'installation, ou plus tard
avec -c à l'invite du démarrage (boot). Il est désactivé par défaut,
c'est pourquoi vous aurez à l'activer explicitement.Si vous utilisez une version plus ancienne du noyau, alors
vous aurez à ajouter la ligne suivante dans la configuration
de votre noyau, et compiler un nouveau noyau :
device psm0 at isa? port "IO_KBD" conflicts tty irq 12 vector psmintr
Voir la section du
Handbook sur la configuration du noyau si vous n'avez aucune
expérience dans la construction d'un noyau.Un fois que vous aurez un noyau détectant correctement psm0 au
moment du démarrage, assurez vous qu'une entrée pour psm0 existe bien
dans /dev. Vous pouvez le faire en tapant :
cd /dev; sh MAKEDEV psm0
une fois loggué sous root.Puis-je utiliser ma souris en dehors de X Window ?Si vous utilisez le pilote de console par défaut, syscons, vous
pourrez utiliser un curseur souris dans les consoles texte pour couper
et coller du texte.
Lancer le démon (de gestion de la) souris : moused, et déclencher
le curseur de souris dans la console virtuelle.
moused -p /dev/xxxx -t yyyy
vidcontrol -m on
Où xxxx est le nom du périphérique souris et
yyyy le type de protocole pour la souris.
Voir la page de manuel
moused
pour les types de protocoles supportés. Peut-être préférez-vous lancer le démon gérant la souris au
moment du démarrage du système.
Dans la version 2.2.1, positionnez les variables suivantes dans
/etc/sysconfig.
mousedtype="yyyy"
mousedport="xxxx"
mousedflags=""
Dans les versions 2.2.2 et plus, positionnez les variables
suivantes dans /etc/rc.conf.
moused_type="yyyy"
moused_port="xxxx"
moused_flags=""
A partir de la version 2.2.6 de FreeBSD, le démon souris
est capable de déterminer le type de protocole approprié
automatiquement à moins que votre souris série ne soit d'un modèle
relativement ancien.
Spécifiez ``auto'' comme protocole pour activer la
détection automatique.Quand le démon souris tourne, l'accès à la souris doit être
coordonné entre le démon souris et les autres programmes
comme X-Window. Se référer à une autre
section de ce document.Comment puis-je couper et coller du texte avec ma souris dans ma console texte ?Une fois que vous aurez réussi à lancer le démon souris
(voir section précédente), appuyez
en le maintenant sur le bouton 1 (bouton de gauche) et déplacez la
souris afin de sélectionner une partie du texte. Puis, appuyez
(clicquez) sur le bouton 2 (bouton du milieu) ou bouton 3 (bouton
de droite) pour le coller à l'endroit du curseur texte.Dans les versions 2.2.6 et plus, un clic sur le bouton 2 collera
le texte. Un clic sur le bouton droit ``étendra'' la partie de
texte sélectionné.
Si votre souris n'a pas de bouton du milieu, vous
pouvez l'émuler ou redéfinir les boutons en utilisant les
options de la souris. Se reporter à la page de référence
moused
pour plus de détails.Ma souris a une roulette et des boutons ésotériques. Puis-je les utiliser sous FreeBSD ? Malheureusement, la réponse est: ``Cà dépend''.
Ces souris avec des fonctionnalités supplémentaires ont
besoin de pilotes spéciaux dans la majorité des cas.
Alors, à moins que le pilote de la souris ou que le
programme utilisateur ait un support spécifique pour cette
souris, la souris se comportera comme une souris standard 2 ou 3
boutons.Comment utiliser la souris/trackball/touchpad de mon portable ? Se référer à la réponse à la question
précédente, ainsi qu'à cette section sur
les ordinateurs portables.Quels types de lecteurs de bandes sont supportés ? FreeBSD supporte les lecteurs de bandes magnétique SCSI,
QIC-36 (avec une interface QIC-02) et QIC-40/80 (basés sur
l'interface Floppy).
Ceci inclut les lecteurs 8-mm (connus sous le nom d'Exabyte) et
lecteurs DAT. Les lecteurs QIC-40/80 sont connus pour être lents.Parmi les premiers lecteurs 8-mm, quelques-uns ne sont pas tout à
fait compatibles SCSI-2, et peuvent de ce fait ne pas très bien
marcher avec FreeBSD.FreeBSD supporte-t-il les changeurs de bandes ?FreeBSD 2.2 gère les changeurs SCSI en utilisant le périphérique
ch ainsi
que la commande
chio.
Pour avoir plus de détails sur le contrôle du changeur, lisez la page du
manuel chio.
Si vous n'utilisez pas
AMANDA
ou un autre produit qui gère déjà les changeurs,
souvenez-vous qu'ils ne savent que déplacer une bande d'un
point à un autre. Par conséquent, vous devrez garder une
trace de l'emplacement dans lequel une bande est mise, ainsi que celui
où la bande courante devra revenir.Quelles sont les cartes son supportées par FreeBSD ?FreeBSD prend en charge les cartes son: SoundBlaster,
SoundBlaster Pro, SoundBlaster 16, Pro Audio Spectrum 16,
AdLib et Gravis UltraSound.
Il y a aussi un support limité pour les cartes MPU-401 et
compatible MIDI.
Les cartes conformes aux spécifications Microsoft Sound System
sont aussi supportées par l'intermédiaire du pilote pcm.Ceci n'est valable que pour les sons!
Ce pilote ne supporte pas les CD-ROMs, SCSI ou joysticks sur
ces cartes, excepté pour la SoundBlaster.
L'interface SCSI SoundBlaster et quelques CD-ROM non-SCSI sont
aussi supportés.
Mais vous ne pourrez pas démarrer depuis ces périphériques.Quels sont les cartes réseau supportées par FreeBSD ?Regarder la section
cartes éthernet du handbook pour une liste complète.Je n'ai pas de coprocesseur arithmétique. Est-ce un problème ?Cela ne touche que ceux qui ont un 386/486SX/486SLC -
toutes les autres machines en ont déjà un intégré dans la CPU.En règle générale, il n'y a pas d'inconvénient, mais il
existe des circonstances dans lesquelles cela peut causer
des problèmes aussi bien au niveau des performances qu'au niveau de la
précision du code d'émulation arithmétique (voir la section
sur l'émulation FP).
En particulier, le dessin de courbes sous X sera TRES lent.
Il est hautement recommandé d'acheter un coprocesseur arithmétique :
c'est quand même mieux avec !Certains coprocesseurs mathématiques sont meilleurs que d'autres.
Cela nous peine de le dire, mais personne n'a jamais été licencié
pour avoir acheté de l'Intel.
A moins que d'être sûr qu'ils fonctionnent avec FreeBSD,
méfiez-vous des clones !Quels autres périphériques la version 2.X supporte-t-elle ?Lire le Handbook
pour obtenir la liste des périphériques supportés.FreeBSD supporte-t-il le gestionnaire d'énergie de mon portable ?FreeBSD supporte l'APM sur certaines machines.
Regardez dans le fichier de configuration du noyau
LINT, et cherchez le mot-clef
APM.Solutions de contournement pour des problèmes matériels particuliers.Cette section traite de solutions de contournement pour des
problèmes rencontrés par nos utilisateurs sur certains matériels
particuliers.Les systèmes Micron sont suspendus au moment du démarrage. Certaines cartes mères Micron ont des implémentations
non-conformes de PCI BIOS, ce qui peut poser des problèmes
lorsque FreeBSD démarre car les périphériques PCI ne sont pas
configurés à l'adresse annoncée.Désactivez l'option "Système d'exploitation Plug and Play"
dans le BIOS pour contourner ce problème.
Des compléments d'informations peuvent être trouvés à
"http://cesdis.gsfc.nasa.gov/linux/drivers/vortex.html#micron"J'ai un nouveau contrôleur Adaptec, et FreeBSD ne le reconnait pas. Les nouvelles puces de la série Adaptec AIC789x sont supportées
dans le cadre du CAM SCSI qui démarre avec la 3.0.
Des patches pour la version 2.2-STABLE sont disponibles à
ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/cam/
Une disquette d'amorce avec CAM est disponible à
http://www.freebsd.org/~abial/cam-boot/.
Dans les deux cas, lisez le fichier README avant toute chose.J'ai un modem interne plug'n play, et FreeBSD ne le reconnait pas.Vous devez ajouter l'ID PnP du modem à la liste des ID PnP dans
le pilote série.
Pour activer le support Plug & Play, il faut compiler un nouveau
noyau avec controller pnp0 dans le fichier de
configuration, puis redémarrer le système. Le noyau affichera alors
l'ID PnP de tous les périphériques qu'il trouvera.
Copier alors l'ID PnP du modem dans le tableau de
/sys/i386/isa/sio.c, vers la ligne 1200.
Cherchez la chaîne de caractère "SUP1310" dans la structure
"siopnp_ids[]" pour trouver le tableau.
Construire à nouveau le noyau, installer, redémarrer, et votre
modem devrait être reconnu.Vous pouvez configurer manuellement les périphériques PnP en
utilisant la commande `pnp' à la configuration au moment du démarrage,
avec une commande du style :
pnp 1 0 enable os irq0 3 drq0 0 port0 0x2f8
pour afficher le modem.Comment puis-je obtenir l'invite de commande ``boot:'' sur la console série ?
Construire un noyau avec options COMCONSOLE.
Créer un fichier /boot.config avec pour seul contenu
-P
Déconnecter le clavier du système.
Redardez /usr/src/sys/i386/boot/biosboot/README.serial
pour plus d'informations.Pourquoi ma carte réseau 3Com PCI ne marche pas avec mon Micron ?Certaines cartes mères Micron ont une implémentation non-conforme
du BIOS PCI qui ne configure pas les périphériques PCI à l'adresse
annoncée.
Cela cause des problèmes quand FreeBSD démarre. Pour contourner ce problème, désactiver l'option "Système
d'exploitation Plug and Play" dans le BIOS.Pour plus d'informations sur ce problème, allez voir à l'URL:
http://cesdis.gsfc.nasa.gov/linux/drivers/vortex.html#micron FreeBSD supporte-t-il les Multiprocesseurs Symétriques (SMP) ?SMP n'est supporté que dans la version 3.0-STABLE et les versions
suivantes.
diff --git a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/misc.sgml b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/misc.sgml
index 31282d2eee..4025d8adb4 100644
--- a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/misc.sgml
+++ b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/misc.sgml
@@ -1,353 +1,353 @@
Questions diverses FreeBSD utilise beaucoup plus d'espace swap que Linux. pourquoi ?
Non. Vous voulez peut-être dire "pourquoi mon swap semble être plein ?".
Si cela est vraiment ce que vous voulez dire, c'est en fait parce que
mettre les choses dans le swap plutôt que les mettre de côté rend toujours
plus facile sa récupération que si le pager devait aller chercher à travers
tout le système de fichier afin de récupérer des blocs propres (non modifié)
d'un exécutable.
La quantité actuelle de pages "sales" que vous pouvez avoir dans le
noyau en même temps n'est pas réduit, les pages propres sont déplacées
si nécessaires.
Pourquoi utiliser (qu'est-ce) a.out et les formats exécutables ELF ?
Afin de comprendre pourquoi FreeBSD utilise le format
a.out, vous devez d'abord savoir
quelques trucs sur les 3 formats exécutables courant "dominants" pour
UNIX :
a.out Le
vieux et `classique' format des objets unix. Il utilise un court et
compact en-tête avec un nombre magique au début, qui est souvent
utilisé pour caractériser le format (voir a.out(5)
pour plus de détails). Il contient trois segments chargés : .text,
.data, et .bss plus une table de symboles et une table de chaînes.
COFF Le formats des
objets SVR3. L'en-tête comprend une table de section, de telle sorte
que vous avez plus de sections que juste .text, .data, et .bss.
ELF Le successeur de
COFF, qui permet des sections
multiples et des valeurs possibles de 32 bits et 64 bits. Un
inconvénient majeur : ELF a aussi été
conçu en supposant le fait qu'il y qu'un seul ABI par architecture
système. Cette hypothèse est assez incorrecte, et même dans le monde
SYSV (qui a au moins 2 ABIs : SVR4, Solaris, SCO) cela ne se vérifie
pas.
FreeBSD essaye de contourner ce problème en
fournissant un utilitaire pour marquer un exécutable connu ELF avec des informations sur l'ABI qui va avec.
Regardez la page de manuel pour brandelf
pour plus d'informations.
FreeBSD vient du camp "classique" et utilise traditionnellement le
format
a.out,
une technologie esssayée et éprouvée à travers des générations de
releases BSD. Bien qu'il a aussi été quelques fois possible de
construire et de lancer des binaires natifs ELF (et noyau)
sur un système FreeBSD, FreeBSD a initiallement résisté à la "pression"
de passer à ELF comme format par défaut.
Pourquoi ? Bien, quand le camp Linux ont fait leur difficile
transition vers ELF,
il ne suffisait pas de fuir le format exécutable
a.out.
mais leur mécanisme de librairies partagées
basé sur des table de sauts inflexible ce
qui rendait la
construction de librairies partagées difficiles pour les
vendeurs et développeurs.
Depuis
comme les outils ELF offrent une solution
au problème des librairies partagées et semblent
en général perçus comme "la voie du progrès" de
toute façon, le coût de migration a été
entendu comme nécessaire, et la transition a
été réalisée.
Dans le cas FreeBSD, notre mécanisme de librairie partagée se rapproche
plus des style de mécanisme de librairie partagée des
SunOS de Sun, et de la sorte, est très simple à utiliser.
Quoiqu'il en soit, à partir de 3.0, FreeBSD supportera officiellement
les binaires ELF comme format par défaut. Même si les
formats exécutables a.out nous ont beaucoup servis, les gens du GNU
auteurs des outils de compilation que nous utilisons ont arrêté leur
supports pour le format a.out.
Cela nous a forcé à maintenir des versions divergentes du compilateur et
de l'éditeur de liens, et nous a empêché de bénéficier des
derniers efforts du développement GNU. Et puis, les demandes de
ISO-C++, notemment pour les constructeurs et les destructeurs,
nous ont aussi conduit à supporter de l'
ELF natif pour les futures release de FreeBSD. Pourquoi chmod ne veulent pas changer les permissions sur les liens symboliques ?
Vous devez utiliser soit ``-H'' ou
``-L'' ensemble avec
l'option ``-R'' pour que cela marche.
Regardez les pages de manuels de
chmod et
symlink.
ATTENTION l'option
``-R'' fait un chmod
RECURSIFchmod. Faites attention en spécifiant
le répertoire
ou les liens symboliques vers les repertoires où vous lancerez
chmod. Si vous voulez changer les permissions
d'un répertoire référencé par un symlink, utiliser
chmod
sans aucune option et suivre le lien symbolique avec un slash final
(``/''). Par exemple, si
``foo'' est un lien
symbolique vers le répertoire ``bar'',
et que vous voulez changer les
permissions de ``foo''
(actuellement ``bar''),
vous devrez sans doute faire quelque chose comme :
chmod 555 foo/
Avec un slash final,
chmod
suivra le lien symbolique, ``foo'', pour changer les droits sur
le répertoire ``bar''. Pourquoi les noms de logins sont encore restreints à 8 caractères ?
Vous pouvez penser qu'il est assez simple de changer
UT_NAMESIZE
et de reconstruire tout le monde, et que tout marcherait.
Malheureusement, il y a souvent une escouade d'applications et
d'utilitaires (y compris les outils systèmes) qui ont codé en dur les
petits nombres (pas toujours "8" ou "9", mais d'autres plus étranges
comme "15" ou "20") dans les structures et les buffers. Non seulement cela
vous donnera des fichiers logs qui seront altérés (à cause des longueurs
des variables enregistrés là où des enregistrement de taille fixées sont
attendus), mais cela peut planter les clients NIS de Sun, et
potentiellement causer d'autres problèmes lors de l'interaction avec
d'autres systèmes UNIX.
Dans FreeBSD 3.0 et plus, la longueur maximale des noms a été
augmentée à
16 caractères et tous ces divers utilitaires avec des tailles de noms codés
en dur ont été trouvés et corrigés. Le fait que cela touche tant de
domaines du système explique en fait pourquoi le changement n'a pas été
fait avant la 3.0.
Si vous êtes absolument confiant dans votre habileté à trouver et à
corriger ces sortes de problèmes par vous-même quand ils arrivent, vous
pouvez augmenter la taille des noms de login dans les releases
précédentes en éditant
/usr/include/utmp.h et en changeant en fonction de la taille que vous
voulez donner, la variable UT_NAMESIZE. Vous devez aussi mettre à jour la
variable MAXLOGNAME dans /usr/include/sys/param.h pour correspondre au
changement de UT_NAMESIZE. Au final, si vous construisez depuis les
sources, n'oubliez pas que /usr/include est mis à jour à chaque fois !
Changer les fichiers appropriés dans /usr/src/... à la place.
Puis-je lancer des binaires DOS sous FreeBSD?
Oui, à partir de la version 3.0, vous pouvez utiliser
rundos l'émulateur DOS de BSDI,
qui a été intégré et perfectionné.
Envoyez un courrier électronique à
la liste de discussion sur les émulations de FreeBSD
si cela vous interesse de vous joindre à cet effort en progression.
Pour les systèmes pre-3.0, il y a un bel utiltaire appelé
pcemu
dans la collection de pports, qui émule un 8088 et assez de services
BIOS pour pouvoir lancer des applications DOS en mode texte. Cela requiert
le système X Windows (fourni comme XFree86). Qu'est ce ``sup'', et comment l'utilise je ? SUP
veut dire Software Update Protocol, et a été développé par CMU
pour pouvoir synchroniser leurs arbres de développement. Nous l'utilisons
pour garder les sites distants en synchronisation avec nos sources
centraux de développement
SUP n'est pas très ami avec la bande passante et a été retiré. La méthode
actuelle recommandé pour pouvoir garder vos sources à jour est
Handbook entry on CVSupJusqu'à quel point FreeBSD est-il cool ?
Q. Quelqu'un a-t-il déjà fait des tests de température de FreeBSD ?
Je sais que Linux tourne moins chaudement que DOS, mais je n'ai jamais
vu aucune mention sur FreeBSD. Ca semble tourner vraiment très
chaudement.
A. Non, mais nous avons effectué de nombreux tests gustatifs sur des
volontaires ayant les yeux bandés et aussi 250 microgrammes de
LSD-25 administré préalablement. 35%des volontaires ont dit
que FreeBSD avait un goût d'orange, alors que Linux avait un goût
de purple haze. Aucun des groupes n'a mentionné une variance de
température particulière (si je me souviens bien).
Nous avons de toute façon dû jeter tous les résultats quand
nous nous sommes aperçu que de nombreux volontaires s'étaient
promené en dehors de la salle durant les tests, faussant ainsi les
résultats. Je pense que la plupart des volontaires sont à
présent chez Apple, travaillant pour leur nouveau GUI 'scratch and
sniff'. C'est un drôle de monde dans lequel nous vivons !
Sérieusement, FreeBSD et Linux utilisent tous les deux l'instruction
``HLT'' (halt) quand le système est idle de telle sorte à baisser
leur consommation d'énergie et donc la chaleur que cela génère. Et aussi,
si vous avez APM (automatic power management) configuré, alors FreeBSD
peut aussi mettre le CPU dans un mode basse énergie.Qui est-ce qui fait grésiller mes banques mémoires ?
Q. Y a t il quelque chose d'"étrange" que fait FreeBSD quand il compile le
noyau qui pourrait faire que la mémoire fasse un grésillement ?
Quand ça compile (et pour un bref moment après avoir reconnu le lecteur de
-disquette au démarrage), un étrange grésillement émane dpuis ce qui semble
+disquette au démarrage), un étrange grésillement émane depuis ce qui semble
être les banques mémoire.
A. Oui! Vous verrez des fréquentes références aux "démons" dans la
documentation BSD, et ce que les gens ne savent pas, c'est que cela se
réfère aux entités non-corporelle qui possède à présent votre ordinateur.
Le grésillement venant de la mémoire est en fait le murmure échangé entre
les démons lorsqu'ils débattent sur les différentes tâches de
l'administration système.
Si le bruit vous parvient, un bon ``fdisk /mbr''
depuis le DOS vous en débarassera, mais ne soyez pas surpris s'il
réagissent et qu'ils essayent de vous contrer. De plus, si jamais à un
moment de l'opération, vous entendez la voix satanique de Bill Gates
vous parvenant du haut-parleur interne, continuez, et ne regardez jamais
en arrière !
Délivré de l'influence contre-balançante des démons BSD, les démons
jumeaux de DOS et Windows pourront alors prendre le contrôle totale de
votre machine jusqu'à la damnation éternelle de votre âme.
S'il fallait choisir, je pense que je préfèrerais m'habituer au
grésillement !Que veut dire 'MFC' ?
MFC est un acronyme pour 'Merged From -CURRENT.' C'est utilisés dans
les logs CVS pour noter quand un changement a migré depuis un
CURRENT vers une branche STABLE
diff --git a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/network.sgml b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/network.sgml
index 67645d9612..8fda1dc746 100644
--- a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/network.sgml
+++ b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/network.sgml
@@ -1,1588 +1,1588 @@
RéseauxOù puis-je trouver des informations sur le ``boot sans disque''?
Le ``boot sans disque'' veut dire que la machine sous FreeBSD est bootée depuis le
réseau, et lit les fichiers nécessaires depuis un serveur et non depuis
son disque dur. Pour plus de détails, lisez la section du Handbook sur le Diskless booting Une machine sous FreeBSD peut-elle être utilisée comme routeur dédié ?
Les standards de l'Internet et de bonnes pratiques techniques nous
interdisent de faire par défaut du routage de paquets avec
FreeBSD. Mais vous pouvez néamoins activer cette fonctionnalité en
changeant la variable suivante à YES
dans rc.conf:
gateway_enable=YES # L'hote agira comme routeur s'il est positionne a YES
Cette option mettra la variable sysctlnet.inet.ip.forwarding à 1.
Dans la plupart des cas, vous aurez aussi à lancer un processus de routage
afin de renseigner les autres systèmes sur votre routeur.
FreeBSD est fourni avec le démon de routage standard BSD
routed,
ou pour des situations plus complexes, vous pouvez essayer GaTeD (disponible par FTP depuis ftp.gated.Merit.EDU)
qui supporte FreeBSD depuis 3_5Alpha7.
Nous nous devons de vous prévenir que lorsque FreeBSD est
configuré de cette manière, il ne correspond pas tout à fait
aux requis standards de l'Internet sur les routeurs. Néamoins,
-il s'en rapproche asez pour un usage ordinaire.
+il s'en rapproche assez pour un usage ordinaire.
Puis-je connecter ma machine sous Win95 à l'Internet via FreeBSD ?
Typiquement, les gens qui posent cette questions sont ceux qui ont 2 PC
à la maison, un avec FreeBSD et un avec Win95. L'idée est d'utiliser
la machine sous FreeBSD pour se connecter à l'Internet et puis
pouvoir ensuite accéder à l'Internet depuis la machine sous Windows 95
via la machine sous FreeBSD.
Ce n'est en réalité qu'un cas particulier de la question précédente.
Il y a un document très pratique qui explique comment configurer
FreeBSD comme routeur par connexion PPPNOTE:
Cela requiert que vous ayez au moins deux adresses IP fixes, et
probablement 3 ou plus, cela dépend du travail que vous voulez effectuer
pour pouvoir mettre en place la machine sous Windows.
Comme alternative, si vous n'avez pas d'adresse IP fixe, vous pouvez
utiliser une des adresses IP privés et installer des proxies
comme
SQUID et
le TIS firewall toolkit
sur la machine sous FreeBSD.
Voir aussi la section sur
natd .
Pourquoi la recompilation du dernier BIND de ISC échoue-t-elle ?
Il y a un conflit entre le fichier ``cdefs.h''
de la distribution et celui fourni par FreeBSD.
Vous n'avez qu'à enlever
compat/include/sys/cdefs.h.
FreeBSD supporte-t-il SLIP et PPP?
Oui, regardez les pages de manuel
slattach,
sliplogin,
pppd et
ppp.
pppd et ppp
permettent les connexions entrantes et sortantes
Sliplogin ne peut s'utiliser qu'avec des connexions entrantes
et
slattach qu'avec des connexions sortantes.
Ces programmes sont décrits dans les sections suivantes du
handbook:
référence du handbook sur SLIP (côté serveur)référence du handbook sur SLIP (côté client)référence du handbook sur PPP (mode noyau)référence du handbook sur PPP (mode utilisateur)
Si vous avez accès à l'Internet à travers un "compte shell"
vous pouvez jeter un coup d'oeil au paquetage
slirp.
Il peut vous fournir un accès (limité) aux services tels que ftp
et http directement depuis votre machine locale.
- Est-ce que FreeBSD supporte NAT ou le Masquerading
+ Est-ce que FreeBSD supporte NAT ou le Masquerading ?
Si vous avez un sous-réseau local (une ou plusieur machines), mais qu'une
seule adresse IP vous a été allouée (même si ce n'est qu'une adresse IP
dynamique), vous pouvez regarder le programme
natd
. Natd vous permet de connecter un sous-réseau entier
à l'Internet en n'utilisant qu'une seule adresse IP.
-Le programme ppp a des fonctionnalité similaires construit par l'intermédiaire
+Le programme ppp a des fonctionnalités similaires construit par l'intermédiaire
de l'option -alias switch.
La
bibliothèque alias
est utilisée dans les deux cas.
Je n'arrive pas à faire marcher ppp. Où me suis-je trompé ?
Vous devriez tout d'abord lire la page de manuel
ppp et
la section du handbook sur ppp.
Activer le logging avec la commande
set log Phase Chat Connect Carrier lcp ipcp ccp command
Cette commande peut-être tapée à l'invite de commande de ppp
ou peut-être entrée dans le fichier de configuration
/etc/ppp/ppp.conf.
(le début de la section par défaut default
est l'endroit idéal pour le mettre).
Assurez vous que le fichier /etc/syslog.conf contienne les lignes
!ppp
*.* /var/log/ppp.log
et que le fichier /var/log/ppp.log existe.
Vous pouvez aussi tirer pas mal de renseignements sur ce qui se passe en
lisant les fichiers log.
Ne vous inquiétez pas même si cela vous semble dénué de sens, si vous obtenez
de l'aide de quelqu'un, pour lui, cela aura un sens.
Si votre version de ppp ne comprend pas la commande "set log"
vous devriez charger la
dernière version.
Il pourrra se construire sur FreeBSD version 2.1.5 et plus.
Ppp se bloque quand je le lance
Cela est usuellement dû au fait que votre nom d'hôte ne peut être résolu. La meilleure solution pour résoudre ce problème est de s'assurer que votre
/etc/hosts est consulté en
premier par votre résolveur en éditant
/etc/host.conf et en mettant la ligne
hosts en premier.
Puis, ajoutez simplement une entrée pour votre machine locale
dans /etc/hosts.
Si vous n'avez pas de réseau local, changez simplement votre
ligne localhost :
127.0.0.1 foo.bar.com foo localhost
Sinon, ajoutez simplement une autre entrée pour votre hôte. Consultez les pages de manuels appropriées pour plus de détails.
Vous devrez être alors capable de réussir à faire un
ping -c1 `hostname` quand vous aurez fini.
Ppp ne veut pas communiquer en mode -auto
Tout d'abord, vérifiez que vous avez bien un routage par défaut
en lançant netstat -rn, vous devriez voir deux entrées comme suivent :
Destination Gateway Flags Refs Use Netif Expire
default 10.0.0.2 UGSc 0 0 tun0
10.0.0.2 10.0.0.1 UH 0 0 tun0
-ici, on supposera que vous avez utilisés les adresses données en exemple
+ici, on supposera que vous avez utilisé les adresses données en exemple
dans le handbook, les pages man ou depuis le fichier
ppp.conf.sample.
Si vous n'avez pas de routage par défaut, c'est peut-être parce que vous
utilisez une vieille version de ppp qui ne comprend pas le mot
HISADDR dans le fichier ppp.conf.
Si votre version de
ppp est antérieure à FreeBSD 2.2.5,
changer la ligne
add 0 0 HISADDR
par celle-ci :
add 0 0 10.0.0.2
Une autre raison au fait que la ligne du routage par défaut soit
-manquant est que vous avez pu réglé un routage par défaut erroné dans
+manquante est que vous avez pu régler un routage par défaut erroné dans
le fichier /etc/rc.conf (ce fichier est appelé
/etc/sysconfig avant la release 2.2.2), et que vous avez
oublié la ligne suivante :
delete ALL
from ppp.conf. Si cela est le cas, revenez à la section du
handbook sur
la configuration finale du système section of the handbook.
Que veut dire "No route to host" ?
Cette erreur est usuellement dûe à une omission de la section
MYADDR:
delete ALL
add 0 0 HISADDR
dans votre fichier /etc/ppp/ppp.linkup.
Cela est seulement nécessaire si vous avez une adresse IP dynamique ou que
vous ne savez pas l'adresse de votre routeur. Si vous utilisez le mode
interactif, vous pouvez taper les lignes suivantes après être entré
en mode paquet (le mode paquet est indiqué par le
PPP en majuscule à l'invite):
delete ALL
add 0 0 HISADDR
Se référer à la section du handbook sur
PPP et les adresses IP dynamiques pour plus de détails.
- Ma connection se termine au bout de 3 minutes
+ Ma connexion se termine au bout de 3 minutes
La limite de temps (timeout) par défaut de ppp est de 3 minutes. Cela peut-être
ajusté avec les lignes :
set timeout NNN
où NNN est le nombre de secondes d'inactivité avant que la connexion ne
soit fermée.
Si NNN est égal à zero, la connexion ne sera jamais fermée pour cause
de limite de temps écoulée.
Il est possible de mettre cette commande dans le fichier
-ppp.conf, ou de le taper à l'invite en mode interactif.
+ppp.conf, ou de la taper à l'invite en mode interactif.
Il est également possible de l'ajuster au vol alors que la ligne est
active, en se connectant à la socket du serveur ppp
en utilisant
telnet ou
pppctl.
Se réferer à la page de manuel de
ppp
pour plus de détails.
Ma connexion se termine lors de gros chargements.
-Si vous avez configuré le report de la qualité de connexion (Link Quality Reporting (LQR)),
+Si vous avez activé le report de la qualité de connexion (Link Quality Reporting (LQR)),
il est possible ce soit parce que que trop de paquets LQR sont perdus entre la machine
et son interlocuteur. PPP en déduit que la ligne doit être trop
mauvaise, et se déconnecte. Avant la version 2.2.5 de FreeBSD,
-LQR était activée par défaut.
+LQR était activé par défaut.
Il est maintenant désactivé par défaut.
LQR peut-être désactivé avec la ligne suivante :
disable lqr
Ma connexion se termine après un certain temps aléatoire.
Parfois, sur une ligne de téléphone avec des parasites, ou même
sur une ligne avec des attentes d'appels activées, le modem peut se
suspendre parce qu'il pense (de manière erronée) qu'il y a une perte du
support de connexion (lost carrier)
Il y a un réglage sur la plupart des modems qui déterminent le degré de
tolérance sur la perte temporaire de la ligne porteuse. Sur un
USR Sportster par exemple, cela est mesuré par le registre S10 en
dixième de secondes. Pour rendre votre modem plus tolérant, vous
pouvez ajouter la séquence envoi-attente suivante à votre chaîne de
connexion :
set dial "...... ATS10=10 OK ......"
-Se référer à votre manuel du modem pour plus de détails.
+Se référer au manuel de votre modem pour plus de détails.
Rien ne se passe après le message Login Ok!
Avant la version 2.2.5 de FreeBSD, une fois la ligne établie,
ppp devait attendre que ce soit l'autre parti (peer)
qui initialise le protocole de
contrôle de ligne (Line Control Protocol (LCP).
Or, plusieurs ISPs ne débuteront pas la négociation et attendront du client
qu'il le fasse. Pour forcer ppp
à initialiser le LCP, utiliser la ligne suivante :
set openmode active
Note:
Cela ne fait pas de dégats si chacun des deux parties initialisent tous les deux
la connexion, c'est pourquoi openmode est à présent activé par défaut.
Quoiqu'il en soit, la prochaine section expliquera quand est-ce ce que
cela peut gêner.
Je n'arrête pas de voir des erreurs à propos de magic being the same
De temps en temps, juste après la connexion, vous pouvez voir des
messages dans le log qui dit "magic is the same".
Parfois ces messages sont sans conséquences, et parfois l'un ou l'autre des
partis quitte.
La plupart des implémentations ppp ne peuvent survivre à ce problème, et
même si la ligne semble venir, vous verrez régulièrement des demandes de
configuration et des accusés de réception de configuration dans le
fichier log à moins que ppp abandonne et ne ferme la connexion.
Cela apparaît normallement sur les machines serveurs avec des disques
lents qui diffusent un getty sur le port, et qui exécute ppp depuis un
script ou programme de login après le login.
J'ai aussi eu vent de cela arrivant lorsqu'on utilise slirp.
La raison est qu'entre le temps où getty quitte et que ppp commence,
le ppp côté-client commence par envoyer des paquets
Line Control Protocol (LCP). Parce que l'ECHO est toujours actif
sur les ports du côté serveur, le client ppp verra ces paquets qui lui
seront "reflèté".
Une partie de la négociation LCP est d'établir un nombre magique
(magic number)
de chaque côté de la ligne, ceci afin que les "réflexions" soient
détectées. Le protocole dit que lorsque l'autre parti essaye de
négocier le même nombre magique, un NAK devrait être envoyé et un
nouveau nombre magique choisi.
Durand la période où le serveur où le port serveur a l'ECHO activé, le
client ppp envoie des paquets LCP, voit le même nombre magique dans les
paquets reflètés et il le "NAK".
Il voit aussi les reflexions de NAK (qui veut aussi dire que ppp devrait
changer son nombre magique). Cela produit potentiellement un énorme
nombre de nombre magiques à changer, chacun d'entre eux tous
s'empilant joyeusement dans le buffer stty du serveur.
Aussitôt que ppp démarre sur le serveur, il est innondé par des
changement de nombre magique et souvent décide qu'il a assez essayé
de négociation LCP et abandonne.
Pendant ce temps, le client qui ne voit alors plus de réflexions,
se réjouit juste le temps de voir que le serveur l'a déconnecté.
Cela peut-être évité en autorisant l'autre parti à démarrer la
négociation avec la ligne suivante dans le fichier ppp.conf
set openmode passive
Cela dit à ppp d'attendre que le serveur débute la négociation LCP.
Certains serveurs toutefois peuvent ne jamais initier la négociation. Si
cela est le cas, vous pouvez faire quelque chose du genre :
set openmode active 3
Cela dit à ppp de rester passif pendant 3 secondes, et puis commencer à
envoyer les requêtes LCP/ Si l'autre parti commence à envoyer des
requêtes durant cette période, ppp répondra immédiatement plutôt qu'en
attendant que la période des 3 secondes se termine.
Les négociations LCP continuent jusqu'à ce que la connexion soit fermée.
Cela est pour l'instant un défaut d'implémentation dans
ppp où il n'associe pas les réponses
LCP, CCP & IPCP avec leur requête originale.
Comme conséquence, si l'une des implémentations
ppp est 6 secondes plus lente que
l'autre côté, l'autre côté enverra 2 requêtes de configuration LCP
supplémentaire. Cela est fatal.
Soient 2 implémentations, A et
B. A
commence à envoyer des requêtes LCP immédiatement après s'être connecté
et B met 7 secondes à démarer.
Quand B démarre,
A a envoyé 3 requêtes LCP.
Nous supposons que la ligne a désactivée l'ECHO, car dans le cas
contraire nous verrions des problèmes de nombres magiques comme décrit
dans la section précédente.
B envoi un REQ, puis un ACK au premier
REQ de A.
Le résultat est que A entre
dans l'état OPENED et envoie un ACK
(le premier) en retour à B.
Pendant ce temps, B renvoi 2 ACK de plus
en réponse au 2 REQ supplémentaires envoyés par
A avant
B que B n'ait commencé.
B reçoit alors le premier ACK
de A et entre dans l'état
OPENED.
A reçoit le deuxième ACK de
B et revient à l'état
REQ-SENT, et envoie un autre (quatrième)
REQ comme décrit dans la RFC.
Il envoie alors un troisième ACK et entre dans l'état
OPENED.
Durant ce moment, B
reçoit le quatrième REQ de A,
par conséquent, revient dans l'état
ACK-SENT et envoie un autre (second)
REQ et (quatrième) ACK as per the RFC.
A reçoit le REQ, va dans l'état
REQ-SENT et envoie un autre REQ.
Il reçoit alors immédiatement le ACK suivant et entre dans l'état
OPENED.
Cela continue tant qu'un des partis ne s'aperçoive qu'ils n'iront
nulle part comme cela et abandonne.
La meilleure façon d'éviter cela est de configurer un côté comme étant
passif - cela fait,
faire de telle sorte qu'un des côtés attende que l'autre commence la
négociation. Cela peut-être fait par la commande :
set openmode passive
Faire attention avec cette option, vous devriez aussi utiliser
la commande
set stopped N
afin de limiter la durée avant que
ppp attende de l'autre parti de
commencer la négociation.
D'une autre façon, la commande
set openmode active N
(où N est le nombre de secondes
qu'il faut attendre avant que le démarrage de la négociation ne soit
faite). Regardez les pages de manuels pour plus de détails.
Ppp se verrouille peu après la connexion.
Avant la version 2.2.5 de FreeBSD, il était possible que votre
-ligne soit désactivée peu après la connection, dûe à
+ligne soit désactivée peu après la connexion, dûe à
une mauvaise négociation de compression Predictor1 de
ppp
Cela ne devrait arriver que si
deux côtés essayent de négocier des protocoles de
contrôle de compression (
Compression Control Protocols (CCP) différents.
Ce problème est à présent résolu, mais si vous utilisez toujours une
vieille version de
ppp,
le problème peut-être sauté avec la ligne
disable pred1
Ppp se verrouille quand je "shell" pour le tester.
Quand vous exécutez le shell ou la
commande !,
ppp exécute un shell (ou si vous avez
passé des arguments, ppp
exécutera ces arguments). Ppp attendra que la commande se termine avant
de continuer. Si vous avez l'intention d'utiliser la connexion ppp
pendant que vous lancez la commande, la connexion apparaîtra
alors comme ayant été gelée.
Cela parce que ppp attend que la
commande se termine.
Si vous voulez exécuter des commandes comme cela, utilisez plutôt la
commande !bg.
Cela exécutera la commande en arrière plan, et ppp
pourra continuer de servir la connexion.
Ppp sur un null-modem ne quitte jamais.
Il n'y a aucune manière pour que ppp
détermine automatiquement qu'une connexion directe
s'est achevée. Cela est dû aux lignes utilisées dans un câble série
null-modem. Quand on utilise cette sorte de connexion, LQR devrait
être toujours activé avec la ligne :
enable lqr
LQR est accepté pas défaut si négocié par l'autre parti.
Pourquoi ppp tente de se connecter sans raison em mode -auto ?
Si ppp tente de se comnnecter
sans raison aucune, vous devez en déterminer la cause et mettre en place
des filtrages d'appels (dfilters) pour prévenir de tels appels.
Afin d'en déterminer la cause, utilisez la ligne suivant :
set log +tcp/ip
Cela tracera tous le trafic à travers une connexion. La prochaine fois
que la connexion se mettra en place de manière inattendue, vous verrez
la raison tracé avec le moment où cela s'est produit à côté.
Vous pouvez à présent désactiver les appels sous ces circonstances.
D'habitude, ces sortes de problèmes arrivent à cause des DNS lookup.
Pour empêcher le DNS lookup d'établir une connexion (cela n'empêchera
pasppp
de passer les paquets à travers une connexion établie), utilisez les
lignes suivantes :
set dfilter 1 deny udp src eq 53
set dfilter 2 deny udp dst eq 53
set dfilter 3 permit 0/0 0/0
Cela ne convient pas toujours puisqu'il
enlèvera effectivement vos fonctionnalités de demandes d'appels - la
plupart des programmes auront besoin du DNS lookup
avant de faire quelque chose ayant un rapport avec le réseau.
Dans le cas DNS, vous pouvez essayer de déterminer qui est-ce qui essaye
actuellement de résoudre le nom de l'hôte.
La plupart du temps, c'est
sendmail le coupable.
Vous devez vous assurer que vous avez dit à sendmail de ne faire aucun
DNS lookup dans ses fichiers de configuration,
regardez la section sur
la configuration du mail pour les détails de comment créer son propre fichier de
comfiguration, et qu'est ce qu'on doit mettre dedans.
Vous pouvez aussi vouloir ajouter les lignes suivantes dans votre
fichier .mc :
define(`confDELIVERY_MODE', `d')dnl
Cela fera que sendmail mettra tout en file d'attente
jusqu'à ce que la file soit lancée (habituellement, sendmail est
invoqué avec ``-bd -q30m'', lui disant de lancer la file
d'attente toutes les 30 minutes) ou jusqu'à ce que un
``sendmail -q'' soit effectué (peut-être dans votre fichier ppp.linkup).
Que veulent dire ces erreurs CCP ?
Je n'arrête pas de voir les erreurs suivantes dans mon fichier log :
CCP: CcpSendConfigReq
CCP: Received Terminate Ack (1) state = Req-Sent (6)
Ceci est obtenu parce que ppp est en train de négocier la compression
Predictor1 et que l'autre parti ne veut pas du tout négocier de compression.
Ces messages sont sans conséquences aucune, mais si vous voulez les enleverm
vous pouvez désactiver la compression Predictor1 aussi en local.
disable pred1
Ppp se bloque durant les transferts de fichiers avec une erreur IO.
Sous FreeBSD 2.2.2 et avant, il y avait un bug dans le driver tun
qui stoppait tous les paquets entrants d'une taille plus grande que la taille
MTU de l'interace tun.
La réception de paquets plus grands que la taille du MTU
résultait en une erreur IO qui était alors tracé avec syslogd,
Les spécifications ppp disent qu'un MTU de 1500 devrait
toujours être accepté
comme un minimum, ceci
quelque soit la négociation LCP. Il est toutefois possible que vous
diminuez le MTU à moins de 1500, votre ISP vous transmettra des paquets
de 1500 sans s'en préoccuper, et cela vous bloquera,
gelant ainsi la ligne.
Ce problème peut être contourné en ne réglant jamais un MTU en dessous
de 1500 sous FreeBSD 2.2.2 et avant.
Pourquoi ppp ne trace-t-il pas ma vitesse de connexion ?
La façon de tracer toutes les lignes de la ``conversation'' de
votre modem est d'activer :
set log +connect
Cela permettra à
ppp
de tout tracer jusqu'à la dernière chaîne de requête d'"attente"
Si vous voulez voir votre vitesse de connexion et que vous utilisez
PAP ou CHAP (et donc ne rien avoir avec "chat" après le CONNECT
dans le script dial - pas de script "set login"), vous devez
vous assurer que vous prévenez ppp de s'attendre tout la ligne CONNECT,
quelque chose comme :
set dial "ABORT BUSY ABORT NO\\sCARRIER TIMEOUT 4 \"\" ATZ OK-ATZ-OK ATDT\\T TIMEOUT 60 CONNECT \\c \\n"
Ici, nous avons notre CONNECT, ne rien envoyer, et puis attendre
un saut de ligne, forçant
ppp à lire toute la réponse
CONNECT.
Ppp ignore le caractère `\' dans mon script chat
Ppp parse chacune des lignes de votre fichier de configuration, de telle
sorte qu'il puisse interprêter des chaines comme
set phone "123 456 789" correctement
(et réaliser qu'il n'y a que un
seul argument.
Pour pouvoir spécifier un caractère ``"'', vous devez
l'échapper avec un backslash (``\'').
Quand l'interprêteur chat parse chaque argument, il re-interprête
l'argument de telle sorte à trouver des séquences de caractères
d'échappement comme
``\P'' ou ``\T'' (voir les pages de manuel). En conséquence de
ce double-parsing, vous devez vous souvenir d'utiliser le nombre
correct d'échappement.
Si vous voulez envoyer un caractère ``\'' à votre modem,
vous aurez besoin de faire quelque chose comme :
set dial "\"\" ATZ OK-ATZ-OK AT\\\\X OK"
qui se résultera en la séquence suivante :
ATZ
OK
AT\X
OK
ou encore
set phone 1234567
set dial "\"\" ATZ OK ATDT\\T"
résultera en la séquence suivante :
ATZ
OK
ATDT1234567
Ppp reçoit une erreur de segmentation, mais je ne trouve pas de fichier ppp.core
Ppp (ou n'importe quel programme dans le même cas) ne devrait jamais
faire de coredump. Parce que ppp tourne avec une identité d'utilisateur
effectif de 0, le système d'exploitation n'écrira pas d'image du core sur le
disque avant de l'avoir terminé. Si, malgrè tout, ppp se
termine actuellement à cause d'une violation
de segmentation, ou n'importe quel autre signal qui cause normalement un
core dump, et que vous êtes sûr
que vous utilisez la dernière version (voir le début de cette section),
alors vous devriez faire la chose suivante :
$ tar xfz ppp-*.src.tar.gz
$ cd ppp*/ppp
$ echo STRIP= >>Makefile
$ echo CFLAGS+=-g >>Makefile
$ make clean all
$ su
make install
chmod 555 /usr/sbin/ppp
Vous aurez alors une version déboguable de ppp installé. Vous aurez à être
root pour lancer ppp puisque tous ses privilèges auront été révoqués. Quand
vous démarrez ppp, retenez soigneusement le répertoire courant dans lequel
vous étiez.
A présent, si et quand ppp recevra une violation de segmentation, cela
crééra un fichier core nommé ppp.core. Vous aurez alors à faire la chose
suivante :
$ su
gdb /usr/sbin/ppp ppp.core
(gdb) bt
.....
(gdb) f 0
.....
(gdb) i args
.....
(gdb) l
.....
Toutes ces informations devront être données suivant votre question,
rendant ainsi possible le diagnostique de votre problème.
Si vous êtes familier avec gdb, vous pouvez vouloir trouver d'autres
techniques pour trouver ce qui a causé le dump, et les adresses et
valeurs des variables concernées.
Le processus qui force un appel en mode auto ne se connecte jamais.
Cela est un problème connu quand ppp
est réglé de telle sorte à négocier une adresse IP dynamique avec son
homologue. Quand ce programme initial appelle
connect(2) ,
l'adresse IP de l'interface tun est assignée à l'extrêmité de la
socket. Le noyau crée le premier paquet sortant et l'écrit sur le
périphérique tun. Ppp
lit alors le paquet et établit alors la connexion. Si, comme
résultat de l'assignation dynamique de
ppp,
l'adresse de l'interface est changée, l'extrêmité originale de
la socket sera invalide. Tout paquet envoyé à l'autre parti sera alors
en principe perdu. Et même s'il ne l'était pas, toute réponse ne
pourrait pas être renvoyée à la machine originelle puisque l'adresse IP
ne serait plus possèdée par cette machine.
Théoriquement, il y a plusieurs manières d'aborder ce problème.
Le mieux serait que l'homologue re-assigne la même adresse IP si
possible :-)
La meilleure méthode de notre côté, serait de ne jamais changer
l'adresse IP de l'interface tun, mais à la place, changer tous les
paquets sortant de telle sorte que les adresses IP de la source soient
changées de l'interface Ip à l'IP négocié au vol. C'est essentiellement ce
que
libalias(3)
(et l'option -alias de ppp)
font actuellement.
Une autre alternative (et probablement la plus sûre); est d'implémenter
un appel système qui change tous les sockets reliées depuis une
adresse IP à une autre.
Ppp utiliserait cet appel pour
modifier la socket de tous les programmes existant lorsqu'une nouvelle
adresse IP est négociée.
Une troisième possibilité est d'autoriser à une interface de
s'activer sans adresse IP. Les paquets sortant auront une adresse IP de
255.255.255.255 jusqu'à ce que le premier SIOCAIFADDR ioctl soit fait.
Cela reviendrait à lier entièrement la socket, et
ça serait à ppp
de changer l'adresse IP source, mais seulement si il est à
255.255.255.255, et seulement si le numéro IP et le checksum IP
doivent être changés. Quoiqu'il en soit, c'est de la
bidouille puisque le noyau enverra des paquets invalides à une
interface mal configurée, en supposant que d'autres
mécanismes seront capables de réparer les choses
retrospectivement.
Aucune de ces solutions n'a (encore) été implémentée.
Pourquoi la plupart des jeux ne marchent pas avec l'option -alias ?
La raison pour laquelle les jeux et assimilés ne marchent pas avec
libalias est que la machine extérieure essaye d'ouvrir une connexion
ou envoyer des paquets UDP (non sollicités) à la machine
interne. Le logiciel packet alias ne sait alors pas qu'il faut envoyer
ces paquets à une machine interne.
Pour que ça marche, assurez vous que la seule chose qui tourne est le
logiciel avec lequel vous avez des problèmes, puis alors, soit vous
lancez tcpdump sur votre interface tun de votre routeur, soit vous
activez le login ppp tcp/ip (``set log +tcp/ip'') sur votre routeur.
Quand vous démarrez le logiciel incriminé, vous devriez voir les paquets
passer à travers la machine routeur. Quand quelque chose revient depuis
l'extérieur, il sera retiré (c'est ça le problème). Noter le numéro
de port de ces paquets, puis arrêtez le logiciel incriminé. Faite ceci
quelques fois pour voir si les numéro de ports sont consistants. Si ils
le sont, alors la ligne suivante dans la section appropriée de
/etc/ppp/ppp.conf rendra le logiciel fonctionnel.
alias port proto internalmachine:port port
où ``proto'' est soit ``tcp'' ou ``udp'',
``internalmachine'' est la machine à laquelle vous voulez que les
paquets soient envoyés et ``port'' le numéro de port de destination des
paquets.
Vous ne pourrez pas utiliser le logiciel sur d'autres machines sans
changer la commande du dessus, et lancer le logiciel sur 2 machines
internes en même temps est hors de question - après tout, le monde
extérieur voit tout votre réseau entier comme une seule machine.
Si les numéros de ports ne sont pas consistants, il y a 3 autres
options :
1) Soumettre le support dans libalias.
Des exemples de ``cas spéciaux'' peuvent être trouvés dans
/usr/src/lib/libalias/alias_*.c (alias_ftp.c
iest un bon prototype).
Cela implique habituellement la lecture de certains paquets sortant
reconnus, identification des instructions qui dit à la machine
extérieure d'initialiser la connexion en retour vers machine interne sur un port
(aléatoire) spécifique, et mettre en place une
``route'' dans la table d'alias de telle sorte que les paquets concernés
sachent où aller.
C'est la solution la plus difficile, mais c'est la meilleure et
permettra au logiciel de marcher sur plusieurs machines
2)
Utiliser un proxy. L'application peut pouvoir supporter socks5 par
exemple, ou (comme dans le cas de ``cvsup'') peut avoir une option
``passive'' qui évite d'avoir à toujours demander que l'autre parti
ouvre une connexion en retour sur la machine locale.
3)
Tout rediriger vers une machine interne utilisant
``alias addr''. C'est l'approche "bourrin".
Rien de cela ne marche - je suis désespéré !
Si tout le reste échoue, envoyer autant d'informations que vous pouvez,
y compris vos fichiers de configuration, comment vous avez démarré
ppp, les parties pertinentes de
votre fichier log, et la sortie de la commande
netstat -rn (avant et après connexion) à la liste de diffusion
freebsd-questions@FreeBSD.org ou au newsgroup
comp.unix.bsd.freebsd.misc, et quelqu'un devrait vous orienter dans la bonne direction.
Je ne peux pas créer un périphérique /dev/ed0 !
Dans le cadre des réseaux Berkeley, les interfaces réseaux sont
seulement directement accessibles par le code du noyau.
Regarder le fichier
/etc/rc.network
et les pages de manuels pour les différents programmes réseaux mentionnés
ici pour plus d'informations. Si cela vous est complètement confus, vous
devriez prendre un livre décrivant l'administration réseaux sur un autre
système d'exploitation relatif à BSD; à quelques exceptions
mineures, administrer un réseau sous FreeBSD est basiquement la
même chose que sur un SunOS 4.0 ou un Ultrix.
Comment puis-je régler les alias éthernet ?
Ajouter ``netmask 0xffffffff'' à votre
ligne de commande
ifconfig
comme ci-dessous :
ifconfig ed0 alias 204.141.95.2 netmask 0xffffffff
Comment puis-je faire pour que mon 3C503 utilise l'autre port réseau ?
Si vous voulez utiliser les autres ports, vous avez à spécifier un
paramêtre supplémentaire dans la ligne de commande
ifconfig.
Le port par défaut est``link0''.
Pour utiliser le port AUI à la place du BNC,utiliser
``link2''.
Ces paramêtres devraient être spécifiés en utilisant les variables
de ifconfig_* variables dans /etc/rc.conf.
J'ai des problèmes avec NFS depuis/vers FreeBSD.
Certaines cartes réseaux sont meilleures que d'autres
et peuvent causer quelquefois des problèmes lors d'applications
réseaux intensives comme NFS.
Regarder la partie du Handbook sur NFS pour plus d'informations à ce sujet.
Pourquoi ne puis-je pas monter par NFS depuis une machine sous Linux ?
Certaines versions du code NFS de Linux ne peuvent accepter des
requêtes de montages que depuis un port privilègié; essayez
mount -o -P linuxbox:/blah /mnt
Pourquoi ne puis-je pas monter un NFS depuis une machine Sun ?
Les stations de travail Sun sous SunOS 4.X n'acceptent seulement des
requêtes de montage que depuis un port privilègié; essayez
mount -o -P sunbox:/blah /mnt
J'ai des problème pour parler PPP à des machines NeXTStep.
Essayer de désactiver l'extension TCP dans /etc/rc.conf en changeant la variable à NO :
tcp_extensions=NO
les machines Xylogic's Annex ne marchent pas non plus dans ce contexte,
et vous devez changer de même que ci-dessus pour pouvoir vous
connecter au travers d'elles.
Comment activer le support multicast IP ?
Les opérations multicast sont entièrement supportées par FreeBSD 2.0 et
plus par défaut. Si vous voulez que votre machine marche comme un
routeur multicast, vous devez recompiler votre noyau avec l'option
MROUTING et lancer
mrouted. FreeBSD 2.2 et plus
démarrera mrouted au moment du boot si
l'option mrouted_enable est mis à
"YES" dans /etc/rc.conf.
Les outils MBONE tools sont disponibles dans leur
propre catégorie de ports, mbone. Si vous cherchez les outils de
conférence vic et
vat,
c'est là qu'il faut voir !
Pour plus d'informations, regarder
le web d'information Mbone.
Quelles cartes réseaux sont basées sur le chipset DEC PCI ?
Voici une liste compilée par
Glen Foster,
avec quelques ajouts récents :
Vendor Model
----------------------------------------------
ASUS PCI-L101-TB
Accton ENI1203
Cogent EM960PCI
Compex ENET32-PCI
D-Link DE-530
Dayna DP1203, DP2100
DEC DE435
Danpex EN-9400P3
JCIS Condor JC1260
Linksys EtherPCI
Mylex LNP101
SMC EtherPower 10/100 (Model 9332)
SMC EtherPower (Model 8432)
TopWare TE-3500P
Zynx ZX342
Pourquoi dois-je utiliser le FQDN pour les hôtes de mon site ?
Vous verrez probablement que l'hôte est actuellement dans un domaine
différent; par exemple, si vous êtes dans foo.bar.edu
et que vous voulez atteindre un hôte nommé ``mumble''
dans le domaine bar.edu domain, vous aurez à vous y référer
par son nom de domaine entièrement qualifié, ``mumble.bar.edu'', à la place de
juste ``mumble''.
Traditionellement, cela était autorisés par les résolveurs
BSD BIND. Malgrè tout, la version courante de
bind
qui est fournie avec FreeBSD ne fournit plus d'abbréviation par défaut
pour un domaine non entièrement qualifié; autre que le domaine dans
lequel vous êtes.
Ainsi, un hôte non-qualifié mumble
doit soit être trouvé comme
mumble.foo.bar.edu,
ou alors il sera cherché dans le domaine racine.
Cela est différent du comportement décrit auparavant, où la recherche
continuait à travers mumble.bar.edu,
et mumble.edu.
Jetez un coup d'oeil à la RFC 1535 pour savoir pourquoi cela est
considéré comme une mauvaise pratique, ou encore même un trou de
sécurité.
Comme détour, vous pouvez placer la ligne :
search foo.bar.edu bar.edu
à la place de la précédente :
domain foo.bar.edu
dans votre fichier
/etc/resolv.conf .
Quoiqu'il en soit, assurez vous que l'ordre de recherche
ne vas pas en dehors des ``limites entre l'administration locale
et publique'', comme appelée dans la RFC 1535.
``Permission denied'' pour toutes les opérations réseaux.
Si vous avez compilé votre noyau avc l'option
IPFIREWALL, vous devez être prévenu, que la
politique par défaut depuis le
2.1.7R (cela a changé durant le développement
du 2.1-STABLE) est de refuser tous les paquets qui ne sont pas
explicitement autorisés.
Si vous avez inintentionnellement mal configuré votre système pour le
firewall, vous pouvez rétablir les fonctionnalité réseaux en tapant la
commande suivante sous root :
ipfw add 65534 allow all from any to any
Vous pouvez aussi régler "firewall_type='open'" dans
/etc/rc.conf.
Pour plus d'informations sur la configuration d'un firewall FreeBSD,
voir la section correspondante du handbook.
Combien d'overhead, IPFW implique-t-il ?
La réponse à ceci dépend pour la plupart à votre ensemble de règle et à
votre vitesse de processeur. Pour la plupart des applications
utilisant ethernet et de petits ensembles de règles, la réponse est :
négligeable. Pour tous ceux d'entre vous qui veulent des mesures
actuelles pour satisfaire leur curiosité, continuez à lire :
Les mesures suivantes ont été réalisées en utilisant 2.2.5-STABLE sur
un 486-66. IPFW a été modifié pour mesurer le temps écoulé par
l'intermédiaire de la routine ip_fw_chk
en affichant les résultats sur la console tous les 1000 paquets.
2 ensembles de règles, chacun avec 1000 règles ont été testés.
Le premier ensemble a été conçu pour démontrer le scénario du pire des
cas en répétant la règle :
ipfw add deny tcp from any to any 55555
Cela démontre le pire des cas en faisant que chaque paquet IPFW entraine l'exécution de
la routine de vérification qui finallement décide que le
paquet ne correspond pas aux règles (en vertu du numéro de port)?
Apès la 999eme itération de cette règle, il y avait un
allow ip from any to any.
Le second ensemble de règles a été conçu pour annuler la vérification de
règle très rapidement :
ipfw add deny ip from 1.2.3.4 to 1.2.3.4
Les adresses IP des sources non correspondantes aux règles énoncées
ci-dessus font que ces règles sont sautées très rapidement. Comme
auparavant, la 1000eme règle était un
allow ip from any to any.
L'étude par paquet dans le premier cas a été approximativement de
2.703ms/paquet, soit en gros 2.7 microseconds par règle
.
Ainsi, la limite théorique d'étude de paquet avec ces règles est de 370
paquets par secondes. En supposant un éthernet 10Mbps et des paquets
d'environ 1500 bytes, nous ne pourrons être capable que d'obtenir une
utilisation de la bande passante de 55.5%
Pour le dernier cas, chaque paquet a été étudié en approximativement
1.172ms, soit en gros 1.2 microseconds par règle.
La limite théorique de l'étude des paquets ici, serait d'environ de 853
paquets par secondes, ce qui pourrait consommer une bande passante
d'un éthernet 10Mbps.
Le nombre excessif de règle testés, et la nature de ces règles ne
fournissent pas un scénario du monde réel -- ils ont été utilisés que
pour générer les informations de temps présentés ici.Voici certaines
choses à garder à l'esprit pour construire un ensemble de règles
efficaces :
Placer une règle d'`établissement' très tôt afin de pouvoir
gérer la majorité du trafic TCP. Ne mettre aucun
allow tcp
avant cette règle.
Placer les règles souvent sollicitées le plus au début de l'ensemble
des règles plutôt que celles rarement utilisées
(sans changer la permissivité du firewall , bien sûr).
Vous pourrez voir quels sont les règles les plus souvent utilisées en
examinant les statistiques des comptages des paquets avec
ipfw -a l.
Comment puis-je rediriger les requêtes de services d'une machine vers une autre ?
Vous pouvez rediriger des requêtes FTP (et autre services) avec le
paquetage 'socket', disponible dans l'arbre des ports dans la catégorie
'sysutils'. Remplacer simplement la ligne de commande de
service pour appeler socket à la place, ainsi:
ftp stream tcp nowait nobody /usr/local/bin/socket socket ftp.foo.com ftp
où 'ftp.foo.com' et 'ftp' sont les hôtes et les ports où se diriger
respectivement.
diff --git a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/preface.sgml b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/preface.sgml
index 63095afcb9..6bbf081975 100644
--- a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/preface.sgml
+++ b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/preface.sgml
@@ -1,785 +1,785 @@
PréfaceQuel est le but de cette FAQ ?Comme toutes les FAQ Usenet, ce document contient les
questions les plus fréquemment posées à propos du système
d'exploitation FreeBSD, ainsi que leurs réponses. Bien que
destinées, à l'origine, à réduire le trafic et éviter que
-les même questions soient posées encore et encore, les FAQ
+les mêmes questions soient posées encore et encore, les FAQ
sont maintenant reconnues comme de précieuses sources
d'information. Tous les efforts ont été apportés pour rendre
cette FAQ la plus complète possible. Si vous avez des commentaires
la concernant ou
si vous voulez y contribuer, envoyez un e-mail au responsable de cette
FAQ.
FreeBSD c'est quoi ?Pour résumer, FreeBSD 2.X est un système d'exploitation
UN*X basé sur la distribution 4.4BSD-lite de l'université de
Berkeley pour des plate-formes i386.
Il est aussi basé indirectement sur le
portage de William Jolitz de la distribution Net/2 de l'université de
Berkeley, plus connu sous le nom de 386BSD, mais très peu de code de
386BSD subsiste. Une description plus complète de ce qu'est
FreeBSD et à quoi il peut vous servir, peut être trouvée à la page d'accueil de
FreeBSD. FreeBSD est utilisé par des sociétés commerciales,
fournisseurs d'accès à l'Internet, chercheurs, professionnels de
l'informatique, étudiants et particuliers à travers le monde entier
pour travailler, apprendre et se divertir. Reportez-vous à la galerie
FreeBSD pour vous faire une idée.Pour plus de détails et d'informations sur FreeBSD,
référez vous au manuel de FreeBSDQuels sont les buts de FreeBSD ?L'objectif du projet FreeBSD est de fournir un logiciel qui
puisse être utilisé à n'importe quelle fin et sans aucun restriction.
Nombre d'entre nous sont impliqués de façon significative dans le
code (et dans le projet) et ne refuseraient certainement pas une
petite compensation financière de temps à autre, mais ce n'est
certainement pas dans nos intentions d'insister là dessus. Nous
croyons que notre première et principale “mission”
est de fournir du code à tout le monde, pour n'importe quel projet,
de façon à ce que l'il soit utilisé le plus possible et avec
le maximum d'avantages. C'est, nous le pensons, l'un des objectifs
les plus fondamentaux du Logiciel Libre et l'un de ceux que nous
soutenons avec enthousiasme.Le code de l'arborescence des sources, qui est régi par la
Licence Publique GNU (“GNU Public
License” - GPL) ou
la Licence Publique GNU pour les Bibliothèques (“GNU Library
Public License” - GLPL) impose légèrement plus de
contraintes, bien que plutôt liées à une disponibilité plus grande
qu'au contraire, comme c'est généralement le cas. En raison des
complications supplémentaires qui peuvent résulter de l'utilisation
commerciale de logiciels GPL, nous essayons, cependant de remplacer
ces derniers par des logiciels soumis à la licence BSD qui est plus
souple, chaque fois que c'est possible.Pourquoi le nom FreeBSD ?Il peut être utilisé gratuitement, même pour un usage commercial.L'intégralité des sources est disponible
gratuitement, et le moins de restrictions possible ont été placées sur
son utilisation, sa distribution et son incorporation dans d'autres travaux
(à des fins commerciales ou non).N'importe quelle personne qui a une nouvelle fonctionnalité
et/ou une correction de bogue peut soumettre une portion de
code, qui pourra être inclus dans l'arbre de
développement (moyennant une ou deux conditions évidentes). Pour ceux de nos lecteurs dont la langue maternelle n'est
pas l'anglais, il est important de rappeler que le mot "free"
est utilisé ici de deux manières, l'une signifiant "gratuitement"
et l'autre "vous pouvez faire ce que vous voulez".
Excepté une ou deux choses que vous ne pouvez
pas faire avec le code FreeBSD, par exemple prétendre que vous l'avez
développé, vous pouvez réellement faire ce que vous en voulez. Quelle est la dernière version de FreeBSD ?La version 3.1 est la dernière version stable ; elle a été mise en circulation en février 1999.
C'est aussi la dernière version
RELEASE.
En quelques mots, la branche-stable est destinée aux fournisseurs d'accès à
l'Internet et autres utilisateurs professionnels qui
recherchent un système stable ainsi que des changements mineurs lors de la
mise à jour de leur système en dernière version.
Qu'est-ce que FreeBSD-current ?FreeBSD-current
est la version de développement du système d'exploitation, qui
deviendra en temps utile la version 4.0-RELEASE. Comme telle, cette version ne peut
intéresser que les développeurs du noyau ainsi que certains
passionnés. Voyez la section
appropriée du manuel
pour plus de détails sur l'utilisation de -current.Si vous n'êtes pas familier avec ce système d'exploitation,
ou que vous n'êtes pas capable de différencier un problème temporaire
d'un problème critique, vous ne devez pas utiliser
FreeBSD-current. Cette branche évolue assez rapidement et peut ne pas
être compilée pendant un certain temps.
Les personnes utilisant
FreeBSD-current doivent être capables d'analyser n'importe quel
problème et de ne rapporter que les erreurs utiles.
Assez souvent, une version de
test est créée depuis la branche de développement -current et
occasionnellement une distribution sur CDROM est disponible. Les buts
de chaque version de test sont les suivants:
Tester la dernière version du programme d'installation.Donner aux personnes voulant utiliser -current mais
n'ayant pas le temps ou la bande passante pour suivre jour après jour
les évolutions du système, une façon simple de faire
évoluer leur système.Garder un point de synchronisation pour les sources
du système actuel, juste au cas ou nous casserions quelque chose
plus tard d'une façon irrécupérable (Bien sur, CVS nous empêche
normalement d'en arriver là :-).Vérifier que toutes les nouvelles fonctionnalités nécessitant
des tests ont le nombre maximum de testeurs potentiels.Aucune garantie ne peut être donnée sur le fait que les
versions de test puissent être considérées comme des versions "de
production". Pour des systèmes en production, vous devez attendre la
version finale.Les versions de test sont directement téléchargeables
depuis ce
site et sont générées en moyenne une fois par jour pour les
branches 4.0-current et 3.0-stable.Quel est le concept de la branche FreeBSD-stable ?Revenons un peu en arrière, lorsque la version 2.0.5 de
FreeBSD fut livrée, nous avons décidé de scinder le développement en
deux branches. Une nommée -stable,
où nous avons décidé de n'inclure que les correctifs testés et
contenant quelques ajouts de fonctionnalités (pour les fournisseurs
d'accès ou les sociétés à vocation commerciale où les fonctionnalités
expérimentales sont plus qu'indésirables). L'autre nommée
-current
qui nous emmènera jusqu'à la version 4.0-RELEASE (et audelà) depuis la livraison 2.0. Un dessin
ASCII qui vous montre à quoi ressemble l'arbre de développement :
La branche -current progresse lentement vers la version 4.0 et au-delà,
la branche 2.2-stable étant terminée avec la version 2.2.8.
La branche 3.0-stable l'a maintenant remplacée, la prochaine version arrivant avec la 3.1 au début 1999 .
La version 4.0-current est maintenant la "branche
courante" avec les premières versions 4.0 apparaissant au premier trimestre 2000.Quand sont livrées les versions de FreeBSD ?Les nouvelles versions de FreeBSD sont livrées quand
l'équipe principale de FreeBSD décide qu'il y a suffisamment de
nouveautés et/ou de correctifs pour justifier d'une version, et
lorsqu'ils sont satisfaits des modifications apportées et qu'elles ne
compromettent pas la stabilité de la version. Beaucoup d'utilisateurs
pensent que cela fait partie des meilleures choses de FreeBSD, même si
cela peut être un peu frustrant d'attendre que les derniers ajouts
soient disponibles. Les versions sont livrées à peu près tous les 4 mois en moyenne. Pour les personnes qui ont besoin (ou veulent) d'un peu
plus de risques, il y a les versions SNAP qui sont livrées un peu plus
souvent (à peu près tous les mois). Sur quelles plate-formes, autre que les PC, est disponible FreeBSD ?Actuellement FreeBSD 3.x tourne sur une plate-forme DEC Alpha aussi bien que sur les architecture x86. Un intérêt a été exprimé pour un portage sur UltraSPARC
mais les détails de ce projet ne sont pas encore clairs.Si vous disposez d'une autre architecture, nous vous
conseillons d'aller voir aux URLs suivantes:
NetBSDOpenBSDQui sont les responsables de FreeBSD ?Les décisions concernant le projet FreeBSD, comme les
directions que vont prendre le projet ainsi que les personnes
autorisées à ajouter du code dans le noyau, sont fixées par l'équipe principale ,
composée d'environ 15 personnes. Il y a une équipe un peu plus large
d'environ 150
personnes qui ont le droit d'effectuer des changements dans le
code.Bien sûr, la plupart des changements sont discutés au
préalable dans les listes de messagerie, et il n'y a aucune restriction
sur qui peut prendre part à la discussion.Où peut-on trouver FreeBSD ?Toutes les versions sont disponibles via un ftp anonyme
sur le site ftp de
FreeBSDPour la version 2.2-stable, 2.2.8R, voir le répertoire
2.2.8-RELEASE.Pour la version 3.0-stable, 3.0-RELEASE, voir le
répertoire 3.0-RELEASE.Les versions de tests 2.2
sont compilées une fois par jour tout au long de la vie de la branche
RELENG_2_2 (post 2.2.8). Sauf gros incident, la branche RELENG_2_2
est maintenue avec extrêmement d'attention (pas de changements
expérimentaux, correctifs ajoutés après test dans la branche -current
uniquement).Les versions de test 3.0 sont
compilées une fois par jour depuis la branche RELENG_3 (post 3.0-release)jusqu'à la 3.1-RELEASE.Les versions de test 4.0 sont
compilées une fois par jour depuis la branche -current, ce service
étant juste là pour les personnes voulant la tester, ou les
développeurs. FreeBSD est aussi disponible par CDROM chez :En France
Le Monde en Tique
6 rue du Maître Albert
75005 PARIS
FRANCE
Téléphone :01 55 42 73 73
Télécopie :01 55 42 73 74
WWW:Serveur WWW du Monde en Tique
Ouverture : Du lundi au samedi, de 9h30 à 19h30 sans interruption
Métro : Ligne 10 : Station Maubert - Mutualité
Rer B : Cluny - La Sorbonne, Sortie : Boulevard Saint-Michel - Boulevard Saint-Germain
Rer C : Saint Michel - Notre Dame, Sortie : Notre-Dame
Infothèque
32, rue de Moscou
75008 Paris
Téléphone:01 45 22 67 01
Télécopie:01 42 93 73 83
WWW: Serveur WWW de infothequeAux USA
Walnut Creek CDROM
4041 Pike Lane, Suite F
Concord, CA 94520 USA
Commandes: +1 800 786-9907
Questions: +1 925 674-0783
FAX: +1 925 674-0821
email: Commandes Walnut Creek
WWW: Serveur WWW de Walnut Creek En Australie chez :
Advanced Multimedia Distributors
Factory 1/1 Ovata Drive
Tullamarine, Melbourne
Victoria
Australia
Tel: +61 3 9338 6777
CDROM Support BBS
17 Irvine St
Peppermint Grove WA 6011
Tel: +61 9 385-3793
Fax: +61 9 385-2360
En Angleterre :
The Public Domain & Shareware Library
Winscombe House, Beacon Rd
Crowborough
Sussex. TN6 1UL
Tel: +44 1892 663-298
Fax: +44 1892 667-473
Où trouver de l'information sur les listes de messagerie ?Vous trouverez ces informations dans la section sur les listes de diffusion du manuelQuels sont les forums de discussion disponibles sur FreeBSD ? Tous les forums sont listés dans la section sur les forums de
discussion du manuelExiste-t-il des canaux IRC(Internet Relay Chat) sur FreeBSD ?Oui, la plupart des réseaux IRC comportent un canal FreeBSD.
Le canal #FreeBSD sur EFNET est sûrement le plus populaire et est disponible sur irc.chat.org.Le canal #FreeBSD sur DALNET est disponible sur irc.dal.net pour les US et sur irc.eu.dal.net pour l'Europe.Le canal #FreeBSD sur UNDERNET est disponible sur us.undernet.org pour les US et sur eu.undernet.org pour l'Europe.Enfin vous pouvez rejoindre #FreeBSD sur BSDNET, un petit serveur de chat BSD sur irc.FreeBSD.orgTous ces canaux sont distincts et ne sont pas
interconnectés entre eux. Les discussions sur chaque canal diffèrent,
donc essayez-les tous avant de trouver celui qui vous convient.Quels sont les livres parlant de FreeBSD ?Le livre de Greg Lehey's stalling and Running
FreeBSD est disponible chez Walnut Creek CDROM et comprend le CDROM
de la version 2.2.8. Il y a aussi un livre plus important nommé The
Complete FreeBSD qui est lui livré avec certaines pages de manuel et
qui inclut aussi les CDROMs de la version 2.2.8. Ils devraient aussi
etre disponibles dans toutes les bonnes librairies.Il existe aussi un projet se nommant "FreeBSD
Documentation Project", que vous pouvez contacter (ou mieux, joindre)
sur la liste de diffusion doc<freebsd-doc@FreeBSD.ORG>.
Cette liste a pour but de discuter sur la documentation de FreeBSD.
Les questions plus générales sur FreeBSD sont à poser dans la "mailing
list" <freebsd-questions@FreeBSD.ORG>.Un ``manuel'' sur FreeBSD est
disponible. Sachez, pour information, que ce manuel est en perpétuelle
évolution, et que certaines parties peuvent être incomplètes.Comme FreeBSD 2.2.X est basé sur la version 4.4.BSD-lite2,
la plupart des manuels relatifs à 4.4BSD peuvent s'appliquer à
FreeBSD. Des versions imprimées sont disponibles chez O'Reilly:
4.4BSD System Manager's Manual By Computer Systems Research Group, UC
Berkeley 1st Edition June 1994, 804 pages ISBN 1-56592-080-5
4.4BSD User's Reference Manual By Computer Systems Research Group, UC
Berkeley 1st Edition June 1994, 905 pages ISBN 1-56592-075-9
4.4BSD User's Supplementary Documents By Computer Systems Research
Group, UC Berkeley 1st Edition July 1994, 712 pages ISBN 1-56592-076-7
4.4BSD Programmer's Reference Manual By Computer Systems Research
Group, UC Berkeley 1st Edition June 1994, 886 pages ISBN 1-56592-078-3
4.4BSD Programmer's Supplementary Documents By Computer Systems
Research Group, UC Berkeley 1st Edition July 1994, 596 pages ISBN 1-56592-079-1Une courte description de ces livres est disponible via
WWW à l'adresse suivante : http://gnn.com/gnn/bus/ora/category/bsd.html.
Vu le peu de ventes, ces livres sont relativement difficiles a trouver.Pour plus d'informations sur le noyau 4.4BSD vous pouvez vous
reporter au livre suivant :
McKusick, Marshall Kirk, Keith Bostic, Michael J Karels, and John Quarterman.
The Design and Implementation of the 4.4BSD Operating System.
Reading, Mass. : Addison-Wesley, 1996.
ISBN 0-201-54979-4Un bon livre sur l'administration système:
Evi Nemeth, Garth Snyder, Scott Seebass & Trent R. Hein,
``Unix System Administration Handbook'', Prentice-Hall, 1995
ISBN 0-13-151051-7Attention à bien acheter la deuxième édition,
version avec la couverture rouge, et non pas la première.Ce livre couvre les bases de l'administration système
aussi bien que TCP/IP, le DNS, NFS, SLIP/PPP, sendmail, INN/NNTP,
l'impression, etc... Il est assez onéreux (environ 300-350 FF) mais
est indispensable. Il comprend en plus un CDROM contenant énormément
d'outils, dont la plupart sont inclus sur les CDROM de FreeBSD.Comment accèder à la base de données des problèmes ?La base de données des problèmes est accessible (pour
soumission ou interrogation) en utilisant votre navigateur WWW pour la soumission
ou pour
l'interrogation . La commande send-pr(1)
peut aussi être utilisée pour soumettre des problèmes et des
modifications par courrier électronique.Où peut-on trouver des versions ASCII/PostScript de cette FAQ ? La dernière version de cette FAQ est disponible sur le serveur
-WWW de FreeBSD ou sur tout serveur miroir en PostScript ou texte (ASCII 7 bits et Latin1 8bit).
+WWW de FreeBSD ou sur tout serveur miroir en PostScript ou texte (ASCII 7 bits et Latin1 8 bits).
Le PostScript (environ 370Ko) :http://www.freebsd-fr.org/FAQ/FAQ.psEn format texte ISO 8859-1 (environ 220Ko): http://www.freebsd-fr.org/FAQ/FAQ.txtOù peut-on trouver des versions ASCII/PostScript du manuel ? La dernière version du manuel est disponible sur le serveur
-WWW de FreeBSD ou sur tout serveur miroir en PostScript ou texte (ASCII 7 bits et Latin1 8bit).
+WWW de FreeBSD ou sur tout serveur miroir en PostScript ou texte (ASCII 7 bits et Latin1 8 bits).
Le PostScript (environ 1.7Mo) :http://www.freebsd-fr.org/handbook/handbook.psEn format texte ISO 8859-1 (environ : 1.1Mo) :http://www.freebsd-fr.org/handbook/handbook.txtLa version ASCII du manuel ne contient pas que du texte !C'est vrai. Les versions ASCII et Latin1 de la FAQ et du
manuel ne contiennent pas que du texte. Elles
contiennent des soulignés et d'autres codes qui supposent que
l'impression sera faite sur une imprimante matricielle. Si vous avez
besoin de reformater ces fichiers sous une forme plus lisible, lancez
la commande col sur le fichier :
$ col -b < fichierOrigine > fichierSortie
Je voudrais devenir un miroir WWW de FreeBSD !Bien sûr ! Différents moyens permettent de synchroniser les pages WWW.
En utilisant CVSUP: vous pouvez retrouver les pages
formatées en HTML en utilisant CVSUP depuis cvsup.freebsd.org. Ajoutez
simplement cette ligne à votre fichier cvsup:
www release=current hostname=/home base=/usr/local/etc/cvsup
prefix=/usr/local/www/data/www.freebsd.org delete old use-rel-suffix
En utilisant rsync: voir la page sur les
miroirs pour les informations.En utilisant un miroir ftp: vous pouvez télécharger
la copie sur serveur WWW se trouvant sur le serveur ftp. Les fichiers
se trouvent à ftp://ftp.freebsd.org/pub/FreeBSD/FreeBSD-current/www
.Je veux traduire la documentation en Javanais On ne peut pas vous payer, mais on peut s'arranger pour
vous envoyer un CDROM gratuit ou un T-shirt et une entrée dans la
liste des contributeurs du Handbook si vous nous soumettez une
traduction de la documentation.Autres sources d'informations.Les forums de discussion suivants se rapportent à FreeBSD
fr.comp.os.bsd (en francais)
comp.unix.bsd.freebsd.announce (en anglais - modéré) comp.unix.bsd.freebsd.misc (en anglais)comp.unix.bsd.misc (en anglais)Ressources WWW:
La page
principale de FreeBSDLa page
principale de fr.FreeBSDSi vous possédez un portable, vous devez visiter la
page de Tatsumi Hosokawa's
Mobile Computing au JaponPour plus d'informations sur SMP (Symmetric
MultiProcessing) voyez la page du support
SMPPour plus d'informations sur les applications multimedia FreeBSD
, voyez la page
multimédia. Si vous vous intéressez plus spécialement à la capture vidéo Bt848
suivez ce
lien.Le manuel de FreeBSD contient une section bibliographie plus
importante, si vous recherchez d'autres livres ou informations.
diff --git a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/serial.sgml b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/serial.sgml
index 0aaacc1d51..72b43bbc0e 100644
--- a/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/serial.sgml
+++ b/fr_FR.ISO_8859-1/books/faq/serial.sgml
@@ -1,626 +1,626 @@
Communications par port sérieCette section comporte les réponses aux différentes
questions sur la communication par port série sur FreeBSD. Les
protocoles PPP et SLIP sont couverts dans la section Réseaux.Comment savoir si FreeBSD a trouvé mes ports séries ? Lorsque FreeBSD démarre, il recherche les ports série sur
votre machine qui sont configurés dans le noyau. Vous pouvez voir ces
ports en regardant avec attention au moment du démarrage les messages
affichés, ou en lançant la commande suivante:
dmesg | grep sio
Lorsque votre système a démarré. Voici quelques exemples
de l'affichage de la commande précédente.
sio0 at 0x3f8-0x3ff irq 4 on isa
sio0: type 16550A
sio1 at 0x2f8-0x2ff irq 3 on isa
sio1: type 16550A
Vous voyez alors apparaitre deux ports série. Le premier se trouve à
l'adresse 0x3f8 sur l'IRQ 4 et est composé d'une
puce de type 16550A. Le second est de meme type que le premier, mais
se trouve lui à l'adresse 0x2f8 sur l'IRQ 3. Les
cartes modems internes sont traités comme des ports série -- sauf
qu'ils ont toujours un modem sur le port.
Le noyau GENERIC comprends
le support pour deux ports série dont les adresses et les IRQ sont les
memes que celles ci-dessus. Si ces valeurs ne vous conviennent pas, ou
si vous avez des cartes modems additionnelles ou des cartes série,
reconfigurez un noyau. Voyez la section sur la reconstruction d'un
noyau pour plus de détails.Comment savoir si FreeBSD a trouvé mes cartes modemsRéférez vous à la section précédente Je viens de mettre à jour ma machine en 2.0.5 et mes tty0x ont diparus ! Ne vous inquitez pas, ils sont été remplacés par les
devices ttydX. Vous devrez donc
changer toutes vos anciennes configurations pour utiliser ces
devices.Comment accéder aux ports série sous FreeBSD ? Le troisième port série sio2 (aussi
appelé COM3 sous DOS), s'appelle
/dev/cuaa2 en sortie, et
/dev/ttyd2 en entrée. Quelle est la différence entre ces
deux classes de devices ?Vous devez utiliser ttydX
pour des appels sortants. Lorsque vous ouvrez /dev/ttydX en mode bloquant, un processus
attend, sur le device cuaaX
correspondant, qu'il soit inactif, et attends alors de détecter la
porteuse sur la ligne. Lorsque vous ouvrez le port cuaaX , un processus vérifie déjà que le port
ttydX correspondant est
disponible. Si le port est disponible, alors il se l'approprie depuis
le port ttydX . Le port cuaaXX ne tient pas compte de la détection de
porteuse. Graçe a cette fonctionnalité et un modem, vous pouvez avoir
des utilisateurs se logguant sur votre machine tout en vous laissant
appeller via le meme modem, c'est le système qui se préocupera de
gérer les conflits.Comment activer le support pour les cartes séries multiportsEncore une fois, reportez vous à la section sur la
configuration du noyau. Pour une carte série multiports placez
une ligne sio
pour chaque port série de la carte dans le fichier de
configuration du noyau. Ne mettez pour une valeur l'irq et le
vecteur d'adresse de la carte. Tous les ports de la cartes
doivent partager la même irq. Pour des raisons de
cohérence, spécifiez l'irq pour le dernier port. N'oubliez pas
d'ajouter l'option COM_MULTIPORT .
L'example suivant correspond à une carte série 4ports AST
sur l'irq 7
options "COM_MULTIPORT"
device sio4 at isa? port 0x2a0 tty flags 0x781
device sio5 at isa? port 0x2a8 tty flags 0x781
device sio6 at isa? port 0x2b0 tty flags 0x781
device sio7 at isa? port 0x2b8 tty flags 0x781 irq 7 vector siointr
Les drapeaux (flags) indiquent que le port maitre à un
nombre mineur de 7 (0x700),
que nous désirons afficher les diagnostics (0x080) et que tous les ports
partagent la même irq (0x001).
Est-ce que FreeBSD sait gérer les cartes séries multiports en partageant les IRQ ?Pas pour le moment. Vous devez utiliser une IRQ différente
pour chaque carte.Puis-je définir les paramètres par défaut de la liaison série pour un port?Les périphériques ttydX
(ou cuaaX) sont des
périphériques normaux que vous pouvez ouvrir dans vos
applications. Lorsqu'un processus ouvre le périphérique, il
utilise les paramètres par défaut d'entrées sorties de
terminal. Vous pouvez voir ces paramètres en utilisant la
commande:
stty -a -f /dev/ttyd1
Lorsque vous changez les paramètres du périphérique, ces
paramètres sont effectifs jusqu'au moment ou vous arreterez de
vous servir de ce périphérique. S'il est ouvert de nouveau, il
reprendra les paramètres par défaut. Pour changer les
paramètres par défaut , vous devez ouvrir le périphérique et
changer les paramètres de l'``état initial'' du
périphérique. Par exemple pour définit un mode LOCAL, 8bits et un controle de flux
+ remap="tt">LOCAL, 8 bits et un controle de flux
XON/XOFF par défaut sur le
ttyd5, voud devez :
stty -f /dev/ttyd5 clocal cs8 ixon ixoff
Le mailleur endroit pour effectuer ceci est le fichier de
démarrage /etc/rc.serial. Maintenant
lorsqu'une application ovrira
ttyd5 elle obtiendra les valeurs ci-dessus.
Vous pouvez empecher certaines valeurs d'etre modifiées en
utilisant le fonction de ``lock'' du périphérique. Par exemple
pour forcer la vitesse à 57600bauds sur
ttyd5 :
stty -f /dev/ttyd5 57600
Maintenant lorsqu'un programme ouvrira ttyd5 et tentera de changer la vitesse
du port, il obtiendra toujours 57600 bauds. Bien sur, vous devez laisser la possibilité de changer les
états initiaux et de lock que pour l'utilisateur root. Le
script MAKEDEV
ne le fait pas par
défaut lorsqu'il crée les noeuds.Comment mettre en place un login dialup sur mon modem?Vous voulez devenir fournisseur d'accès à l'Internet ?
Pour commencer vous devez disposer de plus d'un modem pouvant
répondre automatiquement. Votre modem doit pouvoir detecter
une émission de porteuse lorsque qu'elle se présente et ne doit pas en
détecter constemment. Il doit aussi etre capable de racrocher la ligne
lorsqu'il détecte le passage de 1 à 0 du signal DTR. Il doit aussi utiliser un controle de flux
de type RTS/CTS ou aucun controle
de flus. Enfin, il doit etre capable de négocier la vitesse de
transmission entre lui-même et le modem distant tout en gardant
une vitesse constante vis à vis de l'ordinateur.Pour la plupart des modems comprennant les commande Hayes,
cette commande met en place les bonnes valeurs et les enregistre en
mémoire morte:
AT &C1 &D3 &K3 &Q6 S0=1 &W
Voyez la section sur l'envoi direct de commandes AT, pour
savoir comment les mettre en place sans avoir besoin de lancer un
émulateur de terminal sous MS-DOS.Ensuite créez une entrée dans /etc/ttys pour
le modem. Ce fichier comporte tous les ports sur lesquels le système
d'exploitation attend des commandes de login. Ajoutez une ligne
ressemblant à celle ci:
ttyd1 "/usr/libexec/getty std.57600" dialup on insecure
Cette ligne indique que sur le deuxième port série
(/dev/ttyd1) est attaché un modem
dialoguant à 57600 bauds sans parité (std.57600) se trouvant dans le fichier /etc/gettytab
). Le type de terminal est ``dialup''. Le port est ``on'' et
``insecure'' -- ce qui veut dire que les logins sous root ne sont pas
autorisés sur ce port. Pour utiliser d'autres ports en entrée,
utilisez les autres entrées ttydX .
Il est d'usage courant d'utiliser ``dialup'' comme type de
terminal. Beaucoup d'utilisateurs affichent un prompt dans leur
.profile ou .login si le type de terminal est ``dialup''. L'exemple
ci-dessus affecte au port le mode ``insecure''. Pour passer root, vous
devez donc vous logguer en temps qu'utilisateur ordinaire et utiliser
la commande su
pour devenir root. Si vous
définissez le port en tant que ``secure'', alors vous pourrez vous
logguer sous root directement.Après avoir effectué les modifications au fichier /etc/ttys ,
vous devez envoyer un signal HUP au
processus init
kill -HUP 1
Cela force le processus init à relire le fichier /etc/ttys. Le
processus init démarrera donc des processus getty sur tous les ports
marqués comme on. Vous pouvez alors vérifiez que le login est
possible sur le port en tapant :
ps -ax | grep '[t]tyd1'
Et vous devez voir apparaitre quelque chose comme
ceci:
747 ?? I 0:00.04 /usr/libexec/getty std.57600 ttyd1
Comment connecter un terminal sur mon système FreeBSD?Si vous utilisez un autre ordinateur en tant que terminal,
vous devez vous procurer un cable null modem pour relier les deux
ports série. Si vous utilisez un vrai terminal (de type WYSE-50), suivez
les instructions du manuelEnsuite, modifez /etc/ttys comme
expliqué à la section précedente. Par exemple, pour un terminal
WYSE-50 connecté sur le 5ème port série, utilisez une entrée
ressemblant à la suivante:
ttyd4 "/usr/libexec/getty std.38400" wyse50 on secure
Cet exemple assume que le port
/dev/ttyd4 est connecté sur un terminal wyse50 à
la vitesse de 38400 bauds sans parité (std.38400 se trouvant dans le fichier /etc/gettytab)
et les logins root sont permis (mot clé secure)Pourquoi ne puis-je pas executer tip ou cu?Sur votre système, les programmes tip et cu ne sont
probablement executable que par l'utilisateur uucp et par le
groupe dialer. Le groupe
dialer vous permet de controler qui
a accès à votre modem ainsi qu'aux systèmes distants. Ajoutez vous
dans ce groupe pour pouvoir utiliser ces commandes.Sinon, vous pouvez autoriser tous les utilisateurs de
votre système à utiliser les programmes tip et
cu en tapant:
# chmod 4511 /usr/bin/cu
# chmod 4511 /usr/bin/tip
Mon modem Hayes n'est pas supporté; que dois-je faire ?Pour l'instant la page de manuel de tip n'est pas à
jour. Il existe un support générique des commandes Hayes intégré dans le
programme. Il suffit de mettre la ligne suivante
ar=hayes dans votre fichier /etc/remoteLe gestionnaire Hayes ne sait pas reconnaitre les
fonctions avancées des nouveaux modems. Des messages comme
BUSY, NO DIALTONE, CONNECT 115200 ne sont pas
reconnus. Vous devez absolument désactiver ces messages lorsque vous
utilisez tip (en tapant
ATX0&W).De plus le timeout de tip est de 60
secondes. Votre modem doit absolument utiliser une valeur plus faible,
sinon tip pensera qu'il y a un problème de
communication. Essayez la commande
ATS7=45&WLe version de tip livrée ne comporte
pas toutes ces fonctionnalités. La solution est d'éditer le fichier
tipconf.h se trouvant dans le répertoire
/usr/src/usr.bin/tip/tip. Bien sur cela nécessite
que vous ayez installé les sources.Remplacez alors la ligne #define HAYES
0 par #define HAYES 1. Puis tapez
make et make install. Tout
doit marcher correctement après cela.Comment faire pour entrer certaines commandes AT ?Créez une entrée de type direct dans
votre fichier /etc/remote.
Par exemple, si votre modem est attaché sur le premier port série,
/dev/cuaa0, ajoutez la ligne suivante:
cuaa0:dv=/dev/cuaa0:br#19200:pa=none
Utilisez le taux maximum, de transfert de votre modem,
pour la fonctionnalitée br. Ensuite tapez tip cuaa0 et vous
serez alors connecté sur votre modem.S'il n'existe pas de fichier
/dev/cuaa0 sur votre système, executez la
commande suivante:
# cd /dev
# ./MAKEDEV cuaa0
Sinon utilisez la commande cu sous
root de la façon suivante.
# cu -l``port'' -s``vitesse''
Avec port le nom du port
série(ex:/dev/cuaa0) et vitesse(la
vitesse maximum de votre
modem)(ex:57600). Lorsque vous avez entrer les
commandes AT apropriées, tapez ~. pour quitterLe symbole @ pour la fonctionnalité pn ne marche pas!Le symbole @ dans le numéro de
téléphone demande à tip de regarder dans le
fichier
/etc/phones pour trouver le numéro aproprié. Mais le symbole
@ est aussi un caractère spécial pour le fichier
/etc/remote.
Mettez un backslash devant pour qu'il soit correctement interprété.
pn=\@
Comment composer un numéro de téléphone depuis la ligne de commande?Mettez une ligne
generic dans le fichier /etc/remote.
Par exemple:
tip115200|Dial any phone number at 115200 bps:\
:dv=/dev/cuaa0:br#115200:at=hayes:pa=none:du:
tip57600|Dial any phone number at 57600 bps:\
:dv=/dev/cuaa0:br#57600:at=hayes:pa=none:du:
Vous pourrez alors utilisez la commande suivante
tip -115200 5551234 . Si vous
préferez cu
à tip,
utilisez une ligne générique pour cu:
cu115200|Use cu to dial any number at 115200bps:\
:dv=/dev/cuaa1:br#57600:at=hayes:pa=none:du:
et utilisez la commande cu 5551234 -s
115200.Dois-je spécifier la vitesse en bauds à chaque connexionMettez une ligne tip1200 ou
cu1200, mais mettez la vitesse que vous voulez
pour la fonctionnalité br.tip pense que la
vitesse par défaut est de 1200 bauds, donc il cherche une entrée
tip1200. Bien sur, vous n'etes pas
obligez d'utiliser cette vitesse.J'ai accès à plusieurs machines depuis mon serveur de terminalPlutot que d'attendre d'etre connecté et de taper la
commande CONNECT <host> chaque fois,
utilisez la fonctionnalité cm de tip. Voyez, par
exemple, les entrèes suivantes du fichier /etc/remote:
pain|pain.deep13.com|Forrester's machine:\
:cm=CONNECT pain\n:tc=deep13:
muffin|muffin.deep13.com|Frank's machine:\
:cm=CONNECT muffin\n:tc=deep13:
deep13:Gizmonics Institute terminal server:\
:dv=/dev/cua02:br#38400:at=hayes:du:pa=none:pn=5551234:
Cela vous permet de taper directement tip
pain ou tip muffin pour vous connectez
sur les machines pain ou muffin, et tip deep13
pour accéder au serveur de terminaux.Est-ce que tip peut utiliser plusieurs numéros de téléphones pour se connecter à un site?C'est un problème courant lorsqu'une université a
plusieurs lignes pour les modems et plusieurs milliers d'étudiants qui
les utilisent.Créez une ligne pour votre université dans le fichier
/etc/remote
et utilisez \@ comme valeur pour la
fonctionnalité pn.
big-university:\
:pn=\@:tc=dialout
dialout:\
:dv=/dev/cuaa3:br#9600:at=courier:du:pa=none:
Ensuite listez tous les numéros de téléphones de l'université
dans le fichier /etc/phones
big-university 5551111
big-university 5551112
big-university 5551113
big-university 5551114
tip essaiera
alors tous les numéros de téléphones dans l'ordre de la liste puis
s'arretera. Si vous voulez qu'il réessaye à l'infini, lancez
tip dans une boucle sans finPourquoi dois-je appuyer deux fois sur CTRL+P pour envoyer un CRTL+P?CTRL+P est le caractère par défaut pour tip, pour lui
dire que le caractère suivant est une donnée brute. Vous pouvez
changez ce caractère en n'importe quel autre en utilisant la séquence
d'échappement ~s, qui équivaut à set a
variable.Tapez
~sforce=<single-char> suivit
d'un saut de ligne. <single-char>
correspondant à un simple caractère.Si vous laissez
<single-char> vide, alors le caractère de
``force'' est le caractère nul, que vous pouvez obtenir par CTRL+2 ou
CTRL+SPACE. La meilleur valeur pour ce caractère est SHIFT+CTRL+6, que
je n'ai vu que utilisé que sur peu de terminaux.Vous pouvez affecter la valeur que vous voulez pour ce
caractère en le spécifiant dans le fichier
$HOME/.tiprc:
force=<single-char>
Tout d'un coup, tout ce que je tape est en majuscule?Vous devez avoir pressé CTRL+A, le caractère ``raise'' de
tip,
spécialement concus pour les gens n'ayant pas de caps-lock. Utilisez
comme auparavant, ~s, et fixez la variable
raisechar a une valeur plus raisonnable. En fait, vous
pouvez le mettre à la meme valeur que le caractère de ``force'', si
vous ne désirez jamais utiliser ces fonctionnalités.Voici un exemple de fichier .tiprc
pour les utilisateurs d'Emacs qui utilisent beaucoup CTRL+2 et
CTRL+A:
force=^^
raisechar=^^
Le caractère ^^ correspond à SHIFT+CTRL+6.Comment effectuer des transferts de fichiers en utilisant tip?Si vous dialoguez avec un autre système UNIX, vous pouvez
envoyer et recevoir des fichiers en utilisant la commande
~p(put) et ~t(take). Ces
commandes utilisent les commandes cat et echo sur le
système distant pour recevoir et envoyer les fichiers. La syntaxe de
ces commandes est:
~p <fichier-local> [<fichier-distant>]
~t <fichier-distant> [<fichier-local>]
Il n'y a aucun controle d'erreur, donc il vaut mieux
utiliser un autre protocol comme zmodem.Comment dialoguer en zmodem avec tip?Il faut, pour commencer, installer un des programmes
zmodem depuis les ports(un de ceux de la catégorie comms lrzsz ou
rzsz).
Pour recevoir un fichier, démarrez le programme d'envoi
des données sur le système distant. Ensuite pressez entrée puis tapez
~C rz (ou ~C
lrz si vous avez installé lrzsz) pour recevoir le
fichier.Pour envoyer des fichiers, démarrez le programme de
réception sur le système distant. Ensuite tapez entrée et tapez
~C sz <files>(ou
~C lsz <files>) pour envoyer
le fichier. FreeBSD ne trouve pas mes ports séries, même avec les bonnes valeurs de configuration . Certaines cartes mères et les cartes comportant des Composants
UART Acer, ne sont pas reconnues correctement par le programme de
détection de FreeBSD. Un patch est disponible à www.lemis.com
pour résoudre votre problème.